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DU

C1uv.

·G:1tANn1ssoN.

1'(

lui répondit qu'elle ne pouvoit

s'éloign~r

..

Vous aurez cette comnlaifance pour moi

>

répliqua-t-il,vous

&

vosElles:& me reprenant

par la main, mifs Byron, me dir-il, d'un

ton al?folu) comprez que vous etes

a

moi.

VosGreville, Mademoife1le, vos Fenwick

>

vos Orme, lorfqu'ils apprendront les peines

&

la dépenfe qu'il m'en a coú.tépour m'aifurer

de vous, me reconnoltront pour leur inalrre....

En cruauré, Moníieur,nc pajs-je m'empecher

d'inrerrompre. Il

n'y

a point de tigre, en effer>

qui puilfe vous le difputer.

Eri

cruauté,

me

-dit-il en affeél:ant une voix

p~ncée?

C 'eíl:

mifs Byron qui parle de cruauté

!

Vous >

Mademoifelle, en reprenant le ton violent

>

qui vous faites un triomphe de fouler aux

pieds w1e légion d'amants méprifés, fouve–

nez-vous de la maniere dont vous in'avez

traité;

a

genoux

>

humilié devant vous comme

le plús vil des hommes)

a

genoux pour implo–

rer votre pitié

!

Mes fomnillions out-elles·pu

toucher votre creur

?

ingrate

>

orgueilleufe

filie

!

Cependant je ne vous humilie point :

prenez-y garde : je ne pcnfe point

a

vous

humilier.M9nintentíon, Mademoifelle, n.'eft.

que de vous exalter, de vous rendre riche,.

heureufe..,... mais

íi

vous vous ob!linez

a

me

refufer une main que je vous préfenre..........

Il voulut porter la mienne

a

fa

bouche

>

je

la

rerirai avec dédaín. 11 s'efforcra de mefaiíir

l'aurre; je les mis tou:es deux derriere moi.

11 a::llongea promptement le con , pour me

dérober

un

baifer; mais je

r~trouvai

au!Iirot;