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tition de la commune de Paris, a fort concourti
a
induire
en
erreur' et
a
elever des doutes dont
nous voyons l'effet. (
On applaudit)
».
«
On
ne peut se dissimuler que nous ne nous
trouvons pas clans des circonstances o,rdi–
naires, que nous ne sommes pas encore par–
venus
a
etablir le jeu
r~gulier
de l'organisation
sociale
:
ii y a.urojt done une extreme rigueur
a
imprimer la tache d'une desapprobation sur
une muni<;:ipalite qui s'est adressee
a
vous , 'en
motivant sa concluite d'une
rnapiere
tres–
respectueuse pour le chef Je la nation. ( Les
applaudissemens
recommencent ). Je
le
d~mande
a
tOHS les opinans clans
tOUS
les sys·
temes; gue voulons-nous? Nous voulocs faire
- une <leclaration gui ne laisse aucun pretexte
a
!'infraction de la loi existante ' et qui assure
la tranquillite publique.
Eh
!
nous avons assez
d'objets de sollicitude pour ne pas donner att
voyage de Mesdames plus d'importance qu'il
n'en a! Qu'est-ce que je propose ? La decl.i- · ,
ration d'un fai t constant ' un prononce
re–
gulier et un renvoi qui est un homrnage
a
la
loi.
Je
m'expliqu e ainsi :
«
L'assemblee natio–
nale, consiclcrant qu'aucune loi existante du
royaume ne
s'oppose
au libre voyage , de
Mesdames .•• ,
»•.
Est-ce un
fait
?
y
a-t-il
une
loi? "·