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( 39)0 )

tition de la commune de Paris, a fort concourti

a

induire

en

erreur' et

a

elever des doutes dont

nous voyons l'effet. (

On applaudit)

».

«

On

ne peut se dissimuler que nous ne nous

trouvons pas clans des circonstances o,rdi–

naires, que nous ne sommes pas encore par–

venus

a

etablir le jeu

r~gulier

de l'organisation

sociale

:

ii y a.urojt done une extreme rigueur

a

imprimer la tache d'une desapprobation sur

une muni<;:ipalite qui s'est adressee

a

vous , 'en

motivant sa concluite d'une

rnapiere

tres–

respectueuse pour le chef Je la nation. ( Les

applaudissemens

recommencent ). Je

le

d~mande

a

tOHS les opinans clans

tOUS

les sys·

temes; gue voulons-nous? Nous voulocs faire

- une <leclaration gui ne laisse aucun pretexte

a

!'infraction de la loi existante ' et qui assure

la tranquillite publique.

Eh

!

nous avons assez

d'objets de sollicitude pour ne pas donner att

voyage de Mesdames plus d'importance qu'il

n'en a! Qu'est-ce que je propose ? La decl.i- · ,

ration d'un fai t constant ' un prononce

re–

gulier et un renvoi qui est un homrnage

a

la

loi.

Je

m'expliqu e ainsi :

«

L'assemblee natio–

nale, consiclcrant qu'aucune loi existante du

royaume ne

s'oppose

au libre voyage , de

Mesdames .•• ,

»•.

Est-ce un

fait

?

y

a-t-il

une

loi? "·