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n,ande
q·ue le tort
reproche
a
M. le
president;
soit d'crbord coastate.
,QL1ant
a
moi, je declare
qu'ayant
<lit
a
M. d'Epremesnil:
"monsi~ur,.j'in·
terpelle votre probite de declarer si v ous avez
entendu la re?onse de M. le president, comme
M. Caza1es
l';:i rapportce
H.
11 m'a
repond ~t
:
,( M. le president ne l'a pas
d~t
ainsi, M. Ca–
zales se trompe )), Mais ce gui R'est par incer–
tain , c'est qu'il seroit profondement injurieux
pour l'assamolee nationale , c'est qu'il seroit
profondement coupable de vou1oir scinder,
p our ainsi dire ,
Ir
serment que nous avons
prete '
et de· separer aucune des parties qui
le composent. Notre serment de fidelite au
roi est 'clans
la
constitution , il est constitu–
tionnel
(le
cote
gauclu, rn:nti.t
d':1ppl.wdtssemens
) •
J
e dis qu 'il est
profo:iciemer.t injurieux de mettre
en doute not re rcspect pour ce serment. Celui
qui le met en doute ', merite 12 premier blame.
(Les applaudissemens wza1!irms da
cote
gauche re–
comencent
).
A.pres cette
d~claration
non equi–
voque , et pour,)agu,Jle je lutterai avec tout le
monde en energie, bien
cl '.
cide que je fu is
a
com–
batt re toute especc de fact: eux qui voudroient
porter atteinte. aux principes de l
1
monarchie,
clans
qu 0lque
systeme
sue
se soit , clans quel–
que panie du royaume gu 'ils puisscnt se mon-
trer...