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-qu'edaire
un ciel plus· doux ; penseroit -
ii
'a·
les quitter, si ·une administration tyrannique
ne l:ui rendoit pas inutifos ou odieux_ les bien·
faits de lct nature
?
U~e
Joi d'<.rffranchissement,
loin
de '
disperser les hommes , les retiendra
<
clans.cequ'ilsappelle-roat aiors hmr
bonne patrie,,
et
qu'i1s prefereront
m1·x
pays
l~s
p1us
fertiles;
-car
l'homme endure tout de la part de
1a
' providence; il n.,endure rien d'injuste de son
semblable, et s.,il s1: soumet , ce n'est qu'avec
tin
CCleUT
revolte "·
Yne grande eartie de L'a's–
-sembUe applaudit.
«
ehomme ne ticnt pas par des rati-nes .
a
ta
terre ;ainsi
il
n'appartient pas aus01. L'homme
n'est .pas tm -champ,
u11
pr-e, un betail; ainsi il
ne saur-oit etre une pr·opriere. L'hcmme
a le
-sentiment interieur de , ·es verites simples ;
ainsi
l'on ne
samoit
1~1i
persuader que ses chefs
aient le droit de
l'-enchai~er
a
la glebe.
Toris
les
pouv~irs
se
reuniroient en vain pour
Jui
inculquet cette infame
d-oct~ine.
Le terns n·est
pJus ou les maitt·es
d.'.e
fa
terre pouvoient
par–
ler
au
nom de pieu,
(
~i
meme
ce
terns
a )a·
mai5 existe. Le langage de . la justice et de la
raison est le
seul qui
pnisse
a
voi r
un
~ucces
durable aujourd'hui , et les princes ne
s~~
' .roieut .trop penser_ que l'Amerique angloi9e
. B h 3