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( 388 )

':Au mime

instant on

fa

lectur~

de

ptusieurJ

pieces qui apprirmt

l'

arreseation de

M

esoames

a

.Ar.rzay-le-Due. L'une de ces pieces hoit Le proces–

perbal de la commune de cette ville. E ile rendoit

eompte

J ·:.

tfi.vt.fi

pour;

t~squels

elle avoit cru devoit

s'op o

<..

"-'•

p.

·

·;g~

de

Mes-lames ,

ju1qu'J. ce

'}/LC

Le d!paru rm.

St

t 1t

exptque

ace

Slljet:

dle

avoit pmse que

!a.

petition

d~

La commr;ne

de

Paris

sur la dynastie regnante

,

devoit empedt.r Leur

depart;

tt

elle avoit apper9u une conuadiction

emre le passe-port du roi

et

le renvoi qui avoit eti

fJrdonne de cctte petition art comiee de constitution.

La lecture de cette piece occasionna de longs

Jebats. Quelques membres regardoi'ent La conduite

de La commune d'Arnay#l.1-Duc comme illegale:

suivan~

eux, la liberte, la eonstitution

,

la nation

tt.voient besoin qu'on u

·at

de Severi

ti

envers elle; its

demandoient que sa conduite fut improuvee.

D'autres r/clamvient en sa faveur !'indulgence

Je l'assembtee: il itoit beau d'excuser une erreur

Jue au patriotisme. Its concluoient

a

ce qu'en

renvoyat l'aff.aire au pouvoir execwif.

MI

RAB EA

u

eut besoin de f.zire de grandes

instances pour avoir la parole :

(( Je demande la priorite' pour la redaction

que je

vais proposer ; et comme <::ette ques–

tion

me paroit avoir

c:o~omme

beaucoup de