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':Au mime
instant on
fa
lectur~
de
ptusieurJ
pieces qui apprirmt
l'
arreseation de
M
esoames
a
.Ar.rzay-le-Due. L'une de ces pieces hoit Le proces–
perbal de la commune de cette ville. E ile rendoit
eompte
J ·:.
tfi.vt.fipour;
t~squels
elle avoit cru devoit
s'op o
<..
"-'•
p.
·
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de
Mes-lames ,
ju1qu'J. ce
'}/LC
Le d!paru rm.
St
t 1t
exptque
ace
Slljet:
dle
avoit pmse que
!a.
petition
d~
La commr;ne
de
Paris
sur la dynastie regnante
,
devoit empedt.r Leur
depart;
tt
elle avoit apper9u une conuadiction
emre le passe-port du roi
et
le renvoi qui avoit eti
fJrdonne de cctte petition art comiee de constitution.
La lecture de cette piece occasionna de longs
Jebats. Quelques membres regardoi'ent La conduite
de La commune d'Arnay#l.1-Duc comme illegale:
suivan~
eux, la liberte, la eonstitution
,
la nation
tt.voient besoin qu'on u
·at
de Severi
ti
envers elle; its
demandoient que sa conduite fut improuvee.
D'autres r/clamvient en sa faveur !'indulgence
Je l'assembtee: il itoit beau d'excuser une erreur
Jue au patriotisme. Its concluoient
a
ce qu'en
renvoyat l'aff.aire au pouvoir execwif.
MI
RAB EA
u
eut besoin de f.zire de grandes
instances pour avoir la parole :
(( Je demande la priorite' pour la redaction
que je
vais proposer ; et comme <::ette ques–
tion
me paroit avoir
c:o~omme
beaucoup de