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4atuels
;
ce
sont
,
1°.
ltf
'fJntr~ha_J?.d~ <lo/~
-p~rsee
Jans le royaume
»,
f{
2°.
La
suppression des
11i;ites
domiciliqirf!S
~~
!
.
,,
3°, Le
tab,1c
qui a
ed
cultivi
>'i
' .
" Perpetuels-:
ce sQnt,
1!',
la suppres#an <IH
ri'1Leurs
pinalh
'-'·
·
'1
4°. La
suppression des
~.irrieres
intlrjwr.esitf
f<
C-es
trois suppressions font
perdre
toute
ltf
paramie 91te
ton
avait dans ( anaien s!"st#f71q
pour /4 qinservqtion des' produits
ti;
·
A
va~t
de
n~1.,ondre.__~
ces questio·qs , je
dQi~
~tahlir
par
des
cc1llculs,
que l'impot ., tel que
l~
prop0'se le comite ,, au lieu de foornir 8 mil1:'
lions,
ne
pro<luirc:)~t
qu'enyiroq 2,8qo,ooo
l,~t,
1°r
L.e droit de
2
liv.
10
s. par quint(Jl
5Tif
le ta'bac imp·orte,
qe
p;·odqir~
p9s
plns
d~
3
~
400,ooe
liv.
>•.
,
'
(<
1e
fo
'prouve de cette maniefe.
Il
est
possibfe
4'abovd,
et ce sernit
'un tres-gral'l4
mal ,
que !a manie de
~ultiver
9.u
tabaq
p1it
ati
point
que nous
n'eussions
be~oii:t
d'aUCl.f11
t(Jbae etranger ; et des.,,.}ors
?
ii
p'y
pllroit '
ni
importation d'e cette qenree
~
ni
commerce
.avec
l'Amei:iqtie, ni 'perception
.d~
d :-o~t.
Cette supposition est
d'autapt
plq:;
fa9lJ~
.~ a~fJn"·ef~fe
qi:1e
~
&elqn le
~omi-te
, qua
rant~
f
~