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·feval\le le produit du droit d'impc rtation
a
3
on 400 mille liv.
>f.
" On m'a
:fait observer , depuis. que
j'ai
prononce
mon
opinion , que le comitc pro–
poso~t
un
droit
de
50
liv.
par
quinr:~·1,
et
non
50
sous ; ·
(t
en
effet ,
M.
R rederer
-a
parle de
5t'>
livres. Mais j'ai pris celd p our
une erreur , ne pouvant pas supposer qu'il
pf1t entrer clans sa pensee, d'exiger
un
droit
de cinquante livres par quintal, sur
unc
clenree
q1ii ne
1
vaudroit che.z nous
qHe 10
liv.
S'1l
n'avoit
eq
en cela
po.ur.obj et que . d'em–
pecher
entie~ement
l'intro.duction du
tabac
etranger , autant et mieux valoit-il Ia pro–
hiber.
A
2
liv.
10
s. par quintal, le droit
pourroit rendre quelque chose :
a
50
liv.;
il ne ·rendoit rien du tQttt
~
et ' des-lors, mes
c~kuls
sont bien plus vrais ''·
Le produit des taxes est
d()nC
le veritable
impot que propose
le
comite
H.
" Or
je soutiens qu'en admettant la liberte
de la culture du
11bac ,
les produits des taxes
\ auxquelles on v 7udroit s'assu1et9 r le aroit
ex.clusif
dE'.
fab riquer et de
v cndre
cette denree,
n.e
pro.duiroit qu'enviros 2,80@,ooo liv•
.«
PoHr arriver
a
c.e resultat '
j''!-i
suppose
<Jtl'un
pareil privilege exclusif seroit impos...
y
3'