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des- cateuls sur l'exaClitude desquels on peut
compter
H.
" Les produits bruts de la ven'te exclusiv·e
du tabac
Ont
monte
a.
.·
5
I
,03 'b49
5
J.
16
S.
Les frais d'ac.hats de
ma.-~
tiere , de fabrication et autres
de ce genre' ont ete
ae
10,354,654
I.
I IS .
4
i:l.
17,532.,492 }.
'g
S. ll
I.\
L1
depeme enfrais ctegarde,
de regie
et <le
remises,
a
ere de
7,177,837
l.
11
s.4d.
l\'lais comme sur cette der–
niere somme , quatre millions
Ont
ete
empJoyes pour Ja
gar<le
des frontieres , cette partie de
frais ne devra plus ccre
comp–
tce
a
l'avenir..
Sans la deduire ,
ii
y
a eu
un produit net de.
•
.
33, 502,003 · 1.
7
~.
11
d.
Er en la dedursant, puisque
la perception des traits rend
deja la garde des
frontie~
in·
di~pensable
, le produit setoit
de.
.
•
•
•
•
•
•
•
37,5e!l.,003 l.
7
s.
q
d.
«
Prenons denc
cet
exemple
pot.trbase
~
et
voyons si
la
reduction
du prix
d.~
cinq
SOU$
l'once'
a
trois
son·s
l'once' permettr_a de portex:
le
produit
de l'impot du tabac
a
30 millions'
ainsi que je l'ai ann-once.
»
»En 1788, la recetce dont je viens de
parler
a
ete
:aite
p~r
la vente de quinze millions
deu~
cent
~oixant@·
d!x-sept
livres de ta.b'1c :
os
.f