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1
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I1 me ·reproche ensuite d'avoir
;etran~Q.e
di,i
te"Xte le prix que la monnoie paye de la pias–
tre, et
ceh~i
qu'en paye le commerce; et il
en
conclut que
c'est pour ltt faire une maztYaise que–
relle et induire plusfacilement mes lecte11:rs ene rreur
Mais si
a
la
m~nrioie
on
paye
la piastre
a
raison de
10
deniers 19 grains , ne
l'y
vendra–
t -on
pas plus cher qu'en la livrant
a
un orfevre
sur le
pied
de
10
deniers
1?
grains?
Qu'im–
Forte
.la
quotite du prix?
I1
ne s'agit que de sa-
. voir si un marchand p,referera la perte au gain.
Voila un chapitre pressure : passons
a
celni
de.
mes
pretendues contradictions.
J'ai
di:t
qt1e
LA MASSE
des anciens Louis n'if–
toit pas au
titre;pi~isqu"ils
n'etoient
qu'a
.2I
ka-
rats
H-·
Remarquez qiie j'ai bien specifie la
!'-.
6
MASSE
des anciens
louis~
et nan les louis pris
isolementi .:
¥·
Soliguac trouve plus commode
de falsifier ma phrase, et de
me
faire dire que
Jes anciens }ouis etoient
a
2 .I
karats
i-,
afin
de
pouvoir me donner un honnete dementi, sous
prtfrexte que plusieui-s particuliers avoient
por-
te
des louis
a
l'affinage,
Oll
ils avoieut
ete
rec;us a
21
karats
B- .
Mais pourquoi parler de
louis isoles, tandis que
j'ai
parle.delouis
pris
en masse?
Pourquoi ne pas dire
que
lc.:s louis
de
rann~e· l726'
de toutes les
ino.wnoies, n'etoient
M2