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( 185 ) •

a besoin d'un de ces

metaux' et

que leurs pro–

pri1haires n'ont pas besoin de denrees. M. Soli–

gna.c ajoute : -

C'est

la rared ou

f

abondanc~

des

dendes

qai diterminent la valeur des metaux .

C'est-1~

une lourde erreur. L'abondance ou la

rarete des denrees, ne determinent que la valeur

de;; denrees;

quanta

la valeur des

metaux,

c'est

l'abonda'nce ()u

11...

rarete de ces memes

i_:netaux

qui determinent leur valeur.

Poursuivons. M. Solignac dit que je

sus

inin–

t elligihle, et il pretend eclaircir mon obscurite:

Page

I.If

comment

s'y

pnmd -

il?

.

D'abord

·~1

convient avec moi que l'or fin se

;vend

828

liv.

12

s. le

tnarc'

et meme plus' quand

merµ.e maintmant on devroit le payer.en 4c·us.

Ceci

n'etoit

don~

pas inintelligible.

· '

11

ajoute :

mais il est faux que ce 111:lme

mare

J'

or se vende

a

ce prix

clzez.

tous nos 1'1JisinS:.

11

me:

semble

~u'll.

y

a bi.e

i

la

du dissentiment, mais

non de l'inintelligibilite. Or, qui a raison, de

M.

Solignac ou de moi? Encore une

fois, si

l'or,

chez tous nos voisins, choit

au...

dess~us cl~

8i.81.

12

s.,

ne ,baisseroit-il done pas aussi-tot en

Fi-ance? A la

verite,

de ces voisins, M. Solignac

veut bien

ex~epter

seutement l'Espagne et le Por-

,

£ugal

,

qui ,

s~nt

les vrais 11e12dcurs de ce· mltaA

Ce

~ont

les propres

tenn.el>

de sa

br~ch\'lrc.'

Aipsi

>

I