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a besoin d'un de ces
metaux' et
que leurs pro–
pri1haires n'ont pas besoin de denrees. M. Soli–
gna.c ajoute : -
C'est
la rared ou
f
abondanc~
des
dendes
qai diterminent la valeur des metaux .
C'est-1~
une lourde erreur. L'abondance ou la
rarete des denrees, ne determinent que la valeur
de;; denrees;
quanta
la valeur des
metaux,
c'est
l'abonda'nce ()u
11...
rarete de ces memes
i_:netaux
qui determinent leur valeur.
Poursuivons. M. Solignac dit que je
sus
inin–
t elligihle, et il pretend eclaircir mon obscurite:
Page
I.Ifcomment
s'y
pnmd -
il?
.
D'abord
·~1
convient avec moi que l'or fin se
;vend
828
liv.
12
s. le
tnarc'
et meme plus' quand
merµ.e maintmant on devroit le payer.en 4c·us.
Ceci
n'etoit
don~
pas inintelligible.
· '
11
ajoute :
mais il est faux que ce 111:lme
mare
J'
or se vende
a
ce prix
clzez.
tous nos 1'1JisinS:.
11
me:
semble
~u'll.
y
a bi.e
i
la
du dissentiment, mais
non de l'inintelligibilite. Or, qui a raison, de
M.
Solignac ou de moi? Encore une
fois, si
l'or,
chez tous nos voisins, choit
au...
dess~us cl~
8i.81.
12
s.,
ne ,baisseroit-il done pas aussi-tot en
Fi-ance? A la
verite,
de ces voisins, M. Solignac
veut bien
ex~epter
seutement l'Espagne et le Por-
,
£ugal
,
qui ,
s~nt
les vrais 11e12dcurs de ce· mltaA
Ce
~ont
les propres
tenn.el>de sa
br~ch\'lrc.'
Aipsi
>
I