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}!ltix des matieres, l'autre de !'elevation du prix·
<les especes; et v9ici mon raisonnement.
1.
0
M. Solignac en proposant, en
1786,
de
ma,intenir le prix de l'or
a 828
liv.
I 2
sols, et
d'e–
Jev,er Je prix de l'argent
a
55 liy.
IQ.
sols, au
lie~l
de 53 liv. 9 sols
Oll
il etoit,n'imputoit-il pas in–
fllirectement
a
la declaration de
17
8
5'
l'elevation
du prix de l'or et subsciquemment de
l'ar~ent,
puisqu'apres qu'elle av,oiteleve l'or
a
828
livres
i:
2
sols, il
so{it~noit
qu'il falloit porter le prix de.
!'argent
a
une elevation proportionnelle
!
Il n'y,
a rien_de clafr
SOUS
le ciel,
OU
cela ,est evident.
2.
0
M. Solignac n'accuse-t-il pas les assignats
de l'elevati..on du prix des especes:lorsqu'il ajoute
-
Une pareille operation
not~~
aur·oit parfaite–
ment convemi tant que nous n'aurions pas eu
.d'
assigna.ts,. ·ou
,meme absolwnent
tant que i:iou,s
n'aurions eu q\1e
400
millions d'assignats; mais
vous ayez
decn~te
pour
'800
millions d'assignats
au-de
le\
des
400
millions, etc. Au surplus., !ors..
que M. Solignac s'echauffe contre les assignats, '
p. 19,,
l.
23 et 29; p. 20,
1.
4; lorsqu'il s'ecrie,
p.
2
r,
1.
I ;
homza!J,te
mases
de
r
200
miLLi01n
d'as.
signats'
et toujours apropos de.s especes' com.,,
Jllent interpreter ces exclamations?.
Jene parlerai des autres pretendnes supposi..
tions
qu'a
releve.
M.
Solignac ,.
qlle
pour prou.r'.
M
4
.