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184
)
ver encore qu'il me fait dire
ce
que
je ne
cli~
p as.
1 •
0
Tl est faux q ue j'aie suppose que nous ne
pourrions pas vendr e notre or
a
l'etranger
plus
h aut que
780
livres
17
sols
4
deniers, j'ai
au
con tra ire critique ce prix.
2.
0
I1
est fa ux
q
ue
j'a
ye
di
t
qu'il
n'y
a
voit
que
l e proprictaire des min es qui
flt
la Joi
a
l'ache–
teur des metaux, au co ntraire j'ai dit litterale–
ment q ue le prix- de l'or
dependoit,
comme
matiere
premiere ,
de
celui
qui
eq etoit pro–
prietaire , et j'a i aj o ut e : " Or, qucls sont les
" propri.etaires de l'o r?
1.
6
L'Esp;i.gne et le
"Portugal, qu i
en
possedent les mines;
2.
0
les
"
tzation s c!uz. lcs.7udles le cpmmerce a transportl.
))
ccs
maii'ereS-
au-de/a
de
teurs besoins ;
et
qui
en
,,
coasequen.ceen fon t
des
speculations
contre les
)~
nations qui en
m :uiqut.'1.t. ,,
·Pourquoi la soustraction de ces quatre lignes?
P oarqnoi cette fals ification? Pour
a
voir
l'air de
n o us npp rendre
qtJC
a
le commerce ne se
fait
pas
})
p~ r l\~change
d'un met al contre un autre' mais
~)
par un
echange
de
d e• · r~es
contre un
metal. )~
'E t
remarqucz qu' en-:o re cela n'est pas exacte–
ment vrai; car si effcct ivement on echange des
cl ~nrees
coi'ltre'des metaux ' on echange aussi l'or
co ntrc l':.irgent et
l'arg~nt
contre l'or, lorsqu'en