( iS9)
erreur
arithmetique:
erreur
dont
la
'Cons·eqi.1ence
que
j'ai
tin~e
de mon calcul est
entieremenr
independante
(I)'
de sorte que ma. veritaUe
atrocite
est
d'avoir raison.
(
t)
Je le prouve en rectiEant tout le c11lcul. M.
S.0-
lignac dit,
1°.
que la piastre n'esc prise da1;s le com–
merce que
sur
le pied de
10
deniers
18
grains;
dcmt":
cC!le a ' grains de moins que nos ecus.
2°.
1l
convienil:
qu'eJle Se vend
a
raison
de 53
!iv.
)
sols le
UUHC:
done
le grain vant
4
s.
:i.
d.
-~t
;
dcrnc aussi
3
grains vale1
~
l
:i.
(
4
d.
'if:
done enfin
le
mare
de
nos
ecus
devroi!I:
SC
vendre
)3
!iv. )
f.,
plus
12
[.
4 d.
h
OU
53
Jiv.
~7
f.
4 d.
fT.
Voyons combien
ii
se vend, et rectifions toutes
les erreurs. Les assignats se vendoient , lorsque
j'ai
ecrir
~
a )
~
pour cent
de
perte ' coupons deduits , c'est ce
qui a
te verifie: done
SUr
200
li\r,
on penloit
I
k
!iv
3
~t
on ne donnoit que
189
!iv. D'apres cela,
le
mal'C
d'ecus
valoit
~z
li.v.
13
f.
11
d.
~-
D'apres
les
d0nnees
de
M.
Solignac, ii devoit se vendre
n
!iv.
17
r.
4
d. -:':.
Dor.c
on
le vendoit trop peu
1
liv. 3
f.
4 d.
~.
Air.·si.,
pour recrifier route erreur, ii fau t lire :
CepellaJrit comn
e
l'assignat
de zoo
Liv.
ne perd qw:
11
Ziv.,
le
mare
de
nos
ecus
ne se vend que
s
2
Liv.
13
.f.
1
1
d.
~ ;
d'
oli
il
suit qclen
disant-de l'ouvrage dont
il
s'agit:
~c
d i.rez. le:
ii
contient !es vrais principes;
c'est
comme
si
l'.on adrc-ssoit aux mar hands d'argeru:
as
paroles:
vo us ne
vendez
·vos
ecus que
sur
le pietl de
s2
l-iv–
t
J
f,
11
d.
~ le
ma-re;
VGllS
etes
<l~
intbeci!Ci :
-ve.nde~.