'·
I .
194
mieux
en
b~ter
la
publication ;
qu'en foigner
la 'redaaion.
Je
ne
m~attacherai -qu'al~~
·ob}ets . les
plus
importans ; a.infi, je ne
rele~erai
pas les im–
proprieces
d'e~preffion
(
1),
qui
cependant
entrainent
la
confo.fion
des idees
~
les
apers;ns
v.a~Bes,
Jes notions
ohfcu,res ,
&
j'exarninetai
feulement les
mauv01is principes
&
les
faits
inexaas ou entierement
faux ,
car
nous
en
trouverons des
·_uos
&
.des
aotres..
· M.
Solignac
pretend
que la P'!rtie
politi·
que
<ile
la monnoie . confifre
fl.
favoir
choifir
&
determiner polllr un etat ' claps la fabri–
c-a
tion des
efpec;es,
la
proportion de l'or
&
de l'argent qui lui convient
le
micux,
rela–
t.ivement
a
celle .
des
mon!}.oies (..;. ).
Le
travail d'e,
la proportion des metaux
precieux, eft un
ft
peti.t
accefioire de
la fcience
tpofletair~,
une operation 11 fimple, qui derive
: -(1) Par exemple...,. M. Solignac
<lit (
·P· 3 ) que la
ttJ011noie conjliwe
k~
finance$,
,quoiqu'elle ne fo!t
qu'u~
n1oyen
de
facili'ter , ,certaines operations d,e finances.
I
dit que
la
monnoie
efl:
la
~cfc
des imp(m ,
tandis que
~'eQ.
la richeffe territoriale qui efl: cette bafe.
II
dit
que
'la
monnoie ell
la
mefure
de
l'impot
(
ibid.),
tandi~
~e ~'impot
pourrolt erre p'cr9u en
clenr~es '
&c. &c. (l,.·c
· ('2)
.Pae:. ) ,
lign: ·2p
a
24 .