( 191 ) ,
du
pretendre autre chose que de prouver que,
si.
ron fabriquoit' des louis de 24 liv.
a
30 aumare;
ceslottis auroientpour 24 liv. 19s. 2.d. de va–
leurintrinseque, puisque l'or se ve11do:t au moins
828
liv.
12
s. le mare; et voila ce qu'on appelle,
une atrocite. Et, de ce que j'ai Qonclu que pa(
cett@ operation' l'etranger notre crea ncier ga–
gneroit plus de ·deux millions, et que je l'ai.
prouve,
M .
So1ignac pretend que je le denonce
lui et
SES PROTECTEURS
com_me
qes
~GNORAN S
et des monopoleurs, et il s'ecrie, queile fa us–
sete
!
quelle noirce1.i-r
!
quelle atrocite
!
Et moi ,
je declare que je ne connois ni
M.
de Solignac ,
ni
SES PROTECTEURS;
que
je
fa
is par
ma
natur~ ,
fort peu de cas
et
cle qui protege , et de qui se
laisse proteger; que je defie enfin la malveillance
la plus dehontee de me trouver ici un autre .in–
terer que celui de relever des erreurs qui pour–
roient devenir trop prejudiciables.
Me voici
a
la dernih.e atrccite que l'on me
prete: et veritablement e1le est t res- comique.
M. Solig.nac, apres avoir conseille de reduire les
krnis
a
22
liv.
10
sols (ce que j'appelle v ole'r clans
nos poches. trente sols )' cle les reduire ensuite
a
22 liv.
5
sols, lorsqu'on feroit une
refonte
gi–
nerale,
quoiqu'il eut dit
qu'il n'avoit pas L'idee
d'.une refonte generale;
ajoute que cette r efonte