( 188 )
cecfe.
D~aiJieurs
il
est clairque Ie calcul
qui
se
t:rouve dans cet
alinea
est
le
resultat
tres–
detel.'mine de
la valeur du
louis
de
)2.
atr
mare~
d"apres
Ie prix
du
taliif, M.
Solignac
n'a
vonlu
persuader
qn'il me
trouve
inintelligible , qnr.
parce qu'il appen;oit
trop clairement combien
ce
qne
j'ai
dit
a de fopce contre lui.
M.
Solignac vent
r&duire
nos louis
a
22
I.
xo s.; moi je
veux
prouver
que
eette
opera–
i.ion
est sbsurde, et
qu'il
y
aura
de l'or pour
plus que cette
somme ;
et
comment est-ce
que
re
le
prouve
?
Je
dis l'or
a
deux prix'
cel'ni
du· tarif
qui
est
a
828
liv.
}2
s.'
celui
du com-
-
~L
So-merce
qui est
a
840. C'est faire grace
a
M. de
~:~nr~
Solig,nac, de prendre pour base l'or au
prix
le
ffeL
S.J-
plus bas.;
c'est celui du t:irif, et je dis:
n'Jva–
IDgnac . err
luons ce prix que sur cdui du tarif:
J
e
dis
ensuite:
c:g.fllvrer,t
I
C!KEJ•r~-
110S.
}ouis SOnt
a
Vingt-Hn
karats ~ :
done
fe mare
M_
So- vaut74}6-liv.1i. s. Divisons 746
l.
12s. en
trente–
Jjg.imc ne deu:.;
louis,.
et
nous
trouv
rons que
chaque louis
~Ep-.'ls le
.
·
,
.
me~~
cont1ent pour 23
I.
6
<,
7 <l. d
or:
Je
suppose en-
core qu'on
aura
employe
tout le
reme<le
de
Rien de
poids
~
et
je
prouve
que les
louis
vaudroient
~nt ce~~
encore au moins 23 li.v. 5. s.
1
cl.
Voila
ce que
u est:
nic
.
1
.
,
.
.
. b.
Jl:lr
1\.1.
So-
M. Se
ignac
nose
pas nxer,
et
il
voudro1t
ien
lign11c.
que
cela
filt
inintelligible.
Son
chapitre
de
t
atrociti
comprend la fameuse