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trouvet clans cette septieme page, ainsi que
d,rns
tout l'ecrit auquel i:l repond., excepte
a
la page
vingtieme,
j
e ne dis pas seulement le nom,, mais
m~me
l'indication de ce
M.
de Richeb-ourg.
Pourquoi done
M.
Solignac se permet-il de
multiplier
a
ce point ces sortes
de faux?
J'en- ·
tends bien que les irreplicables observations·
de quelques pages de mon ¢.crit ont
pn
lui
inspirer quelque humem= ; mais est -
~e
ma
faut~
si l'on a tant vante son pa_mphlet qui ten–
doit
a
diminuer d'un se.izieme ie numeraire d'or.,
et
a
faire voler trente sols par louis clans nos
pocheS'? Qtte
M.
Solignac prenne communica–
tion de
l'arrete du cpmite
du
commerce ,,
relatif
an
rapp0rt du comite des monnoies., il
verra que
ie
ne suis pas le seul
qui
rejette
1
i'a:
dangeureuse prnposition de reduite lcs louis
a.
1~
liv.
10
sols.
Je vicns au prix .de l'or, et
je
ne
f~is
que
deux reponses
a
tout ce qu'a <lit M. Solignarc,
contre l'elevation
de
ce prix. C'est,
1°.
qu'en
i.7~
5,
ror etoit si cher
a
.Amste1'<lam, qu'it se–
!'oit revenu, rendu
a
~aris,
a
83
2
liv.
IO
soJs
payes
~12
icus,
et non
par
la
voie
du
change..
La
P.
7--
&.
- preuve en existe dans des lettres d'Amsterdam,
du
22
janvier
1786,
en reponse
a
celle des. ban–
quiers, du mois de novembre
178
5, et je con-
M 3