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( 181 )

trouvet clans cette septieme page, ainsi que

d,rns

tout l'ecrit auquel i:l repond., excepte

a

la page

vingtieme,

j

e ne dis pas seulement le nom,, mais

m~me

l'indication de ce

M.

de Richeb-ourg.

Pourquoi done

M.

Solignac se permet-il de

multiplier

a

ce point ces sortes

de faux?

J'en- ·

tends bien que les irreplicables observations·

de quelques pages de mon ¢.crit ont

pn

lui

inspirer quelque humem= ; mais est -

~e

ma

faut~

si l'on a tant vante son pa_mphlet qui ten–

doit

a

diminuer d'un se.izieme ie numeraire d'or.,

et

a

faire voler trente sols par louis clans nos

pocheS'? Qtte

M.

Solignac prenne communica–

tion de

l'arrete du cpmite

du

commerce ,,

relatif

an

rapp0rt du comite des monnoies., il

verra que

ie

ne suis pas le seul

qui

rejette

1

i'a:

dangeureuse prnposition de reduite lcs louis

a.

1~

liv.

10

sols.

Je vicns au prix .de l'or, et

je

ne

f~is

que

deux reponses

a

tout ce qu'a <lit M. Solignarc,

contre l'elevation

de

ce prix. C'est,

1°.

qu'en

i.7~

5,

ror etoit si cher

a

.Amste1'<lam, qu'it se–

!'oit revenu, rendu

a

~aris,

a

83

2

liv.

IO

soJs

payes

~12

icus,

et non

par

la

voie

du

change..

La

P.

7--

&.

- preuve en existe dans des lettres d'Amsterdam,

du

22

janvier

1786,

en reponse

a

celle des. ban–

quiers, du mois de novembre

178

5, et je con-

M 3