l
·
1
75 )
l'erreur de M. Solignac, qui avoit dit que
fa
~Uclaration
du
30
octobre
I
78 5
avoit ordonnl
de ft.tbriquer les nouyeaux Louis au titre de
l.
J
-Karats
H
et j'ai dit que cette ordonnance portoit
.que les
nouYeaux Louis seroient fabriques au meme
;itre que Les andens.
M.
S0lignac est oblige
d'avouer m0n exactitude litterale; mais il se
replie d'une
m~niere
bien etrange ' et il dit :
le titre des ainciens louis est 6.xe par l'edit de
17i..6,
a
22
Karats au remede de
-Ti ,
et la
declaration ne
parle~
pas de l'arret du conseil,
du
12
fevi-ier 1726; d'o11. il suit que les louis
doivent etre
a
21
Karats
H-.
Je demande
a
M.
SGlignac si la declaration de 178 5 , en disant,
comme il l'avoue ,
que Les nouwaux Louis seront
fabriques au meme titre que les anciens'
n'a pas.
necessairement entendu comprendre clans son
systeme toutes les loi:x qui ont determine le
,titre des anciens louis. Pour se soustraire
a
la
force de cette objection,
M.
Solignac <lit que
J'arret du COnseil, du
I 2
fevrier 1726, etoi't
sans doute une loi
secr~te
de la comptabilite, ·
puisqu'elle n'a
::-
u
ete imprimee. Quoi
J
M.
So1ignac veut: parler monnoie, et il ne connoit
pas une de nos loix familiere
a
tous les mone–
taires
!
une
1
loi citee nombre de fnis par
M.
Desrotours,
son 6.dele inspirateur
!
une loi
citee