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( 271 )

sans

diminuer

la

valeur

de leut

capital~

Norr;

l'on ne peut toucher

a

cette partie des

fonds.

publics,

sans

en faire soudain

tember

la valeur

1'"

¡ans porter

un

grand

désor<lre

dans les aífai–

res' e' est ruiner meme de fond en comble

ceux qui, avec peu de moyens qui leur appar•

tiennent, se sont cha.rgés ,

sous

la sauve-–

garde de la foi

publique:»

d'une

forte somme<

tle rentes

commer~ables.

,,.

'~

Il

fau.t l'avouer,

Messieurs,_le

systeme

qui

voudroi

t

mena~er

la

propriété

des

rentes ,

se.–

présente ici

saus

une

forme

singulieremen1!..

bisarre

~t

choquante;

pourquai

done

le

titre

de

rentier

porteroit-il

avec

lui quelque

chose

de plus

funeste

que toutes le_s

a11tres

ctéance•

sur

l'état,

dont a u

cune

n'est

acquise

a

des titr€S

plus incontestables et

plu~

sacrés

Quclle

in–

concevable p'1rtialité, que de

séparer cette

dasse

d'eífets publics de

tous les au tres

eff

ets,

pour la frapper

seule

d'une

impo~ition

?

>~

'<

On vous parle d'imposer les rentiers, en

leurs qualités de capitalistes. !"1ais ne peut-

. -on

pas

regarder

aussi comme capitalistes,

la

plupart des autre-s créanciers publics

?

Assayons

done aussi une imposition sur les

cautíonne–

mens,

sur

les effets suspendus, sur les

rembour–

~e¡ne1u

échus

et

a

te.rme , sur

l'

emprunt de I 2)