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ces du produit;
imposer
l'avoír du cap'italiste,
qui consomme, c'est done faire une opératio1
fadsse, c'est
¿·
minucr par contre-coup le re–
ve~n1
de
toutes
les autres
imposition .
»
"D'ailleurs, en aclmettant les im;.-ositions
in–
directes a..
nombre <les ressources
nat~on-
les'
n'atteigncz-vous pas le rentier, par e moyen;
n,est-il pas soumis dans les objets de se
dé–
pcnses'
a
l'imposition dont vous tro
rvct~z
a
propos de les charger? Seroit-ce pur g
i'
n pour
le fisc, qu'une retenue, qui , en
apauvrissant
les rentiers, <liminueroit d'aliltant les droits
le–
vés sur leur
coLsommation; sur-tout
$i
l'on ré-–
fléchit qu'en faisant
passer
ainsi de petits ren–
tiers, de l'état d'aisance au pur nécessaire, on
les
prive
de cet
ordre
ci
e clépenses
SlU
les-
!elles principalement reposent lesimposition
jndircctes.
~)'
»
Et,
~v1essieurs,
considérez, je
vous
prie;
cette
notabl
différ nce entre l'imposition des
terres
et
cdle
des rentes;
quand
les
terres 'a–
chetent, quand elles se tr
nsmettcrrt
dans
les
ar
~1 f!b,on com¡~t'~
sur
la
taxe
qu'dle
paient~
et e' es t , e écluction
fai-
e <le eet
te
taxe , qu'on ·
'value 1 ·u r r evenu, et 1e
capital qu'cllcs
re-
1
r
'sen
tent. De
serte
qu'il
est vra · <le di re
que
les imposi
J.Ons
territoriales sont bien plutót