[ 164
J.
· est-il
clone
aucun moyen de 1' atte1n<lre
pa
l'ir.~
posi
tion,
et sarl
e
s'"approprier
une
partie
úe ce qn'on luí cloit
?
>;
,) Une
distinct~on
bien
s'mple
snffit,
1\.1es_,
sieurs,
pour
éclairer cette
q
tcstion.
Il
ne s'agi'
que de considérer
da11s
la
;.n~me
personne
le
r
ntier
et le c!toyc11; comme
citoyen,
cha–
cun
cst
impo'-, é,
··en
ier
ou
non,
selon
5es
fa–
cu Ltés
; mais le rcntier,
en
tant que rcnticr ,
ne doit ancune
ímposition,
sclon
le~
termes de
son
contrü.t;
il
est trop absur<le
<l'en
conclurc
<1U
i1
seroit disot:nsé
oar-b de contribuer aux:
,
I
L
c~1arg'"'s
puGliques,
puisque
l'cmploí mcme de!
ses rdntcs, le met en prise
á
toutc~
les
impa–
sztzotzs
com1nun
nr.
';/
>'
S
roit-ce
patee
que les
rentes naro1sscnt
trop avantageuses aux cré,mcicrs, trop oné-
' 1'
/
t
'
r
l
•
1
I
l •
re us
~s
a
e a
t ,
qu on prctenoro1t es re(
mre
p :i r cette
étrz..ng\:.
imposltion? Ivlais ceux
qui
connois~cnt
la
mat~cre
des rentes ,
savcnt
qu'il
en a
été
eré~
de
tout prix ,
selon í'intérct
-\-ari
1ble
de
l'arQ' -~ nt,
et
les c:rconstanccs qu·
,
•.I
rendoient les emnrunts plus ou moin
fa-.
ciles.
Si quelquefois <les eff ts royaux,
tom~
b6
en cliscrédit, sont cntrés en paiement
des
con titutions de
rentes;
~i
qnelqPefois
des s'_, ' -
.culatears
ont
acqui:i
d.
bas prix des re
t