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( 260 )'

es

articles

fondament~n

X

qui en font la base!

c'est une étrange

maniere

de remplir ses en–

gagemens'

que Je dire

a

son débiteur: voila

votre

titre, j'en

reGonnois

la

validité;

mon

honneur m'en

fait

une loi, mais la p·:ncipale

condidon cesse de me convenir; et

j~

ne veux

plus

y

satisfaire

! ''·

" Je vous le demande, Messieurs; quel est

le droit social qui s'oppose

a

ce

que'

dans

une obligation de

rentes

que la

nation

con–

tracte avec un

citoyen,

elle

lui

laisse par–

venir les rent€s entieres qui sont stipulées dans

cette obligu.tion? Tout ne dépend-t-il pas ici

du traité

?

Si vous imposez originairement les

rentes

d'un

dixieme ;

eh ,

bien,

dans

la

cir–

constance

011

vous les créez,

je ne

vous

eé–

d.erai aussi

mon

capital

qu'ai1

moyen d'un in–

téret

Flus fort tl'un clixieme. Si vous déckrez

ma rente

non imposable, vous aurez alors

1r..on

capital

a

meilleur prix : cela n '"; rcvient-il pas

a.u meme

pour les contractans?

».

'( 11

est

clair que, d< ns tous les cas, l'

em–

prunteur

a

consulté, non

les

avantages

clu

Dré–

teur,

mais ses propres besoins

et

sc-s

con

v

·–

nances. C'est ici

l'état,

qui contracte av ec

lG

particulier :

1equel,

je

le

d emande,

cst

l e

te

1-

'f

ateur?

C1:mbi

0

n

te

renti ers, au se i1 el e

1e Ltf