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( 258 )

J.es

principes~

subtilisent

a•ec

les

m<>ts ; fon

ic1 une distinction. Ce n'est

pas,

disent-ils,

un retranchement

de

rentes, une retenue,

dont il s'agit; ils avouent que c<t seroit une

banqueroute partielle,

1u1e

violation de l'en–

gagement national: c'est un6 simple

imposi•

tion

qu'ils entendent,..

une

taxe

levée sur

les

rentes, comme sur d'autres propriétés.. Je

~is ~ue

cette distinction est des

plus

frivoles;

gue ce

n'e~t

qu'uneJvaine subtilité;

imposer

une

¡omme quelconque sur les rentes, n'est-ce

pas retenir cette somme sur leur paiement

?

N'est-il

pas clair que

toute retenue non-con•

¡ent1 e , est

un~

imposition,

que taute

imposi-

1ion

est une

retenue

?

>~.

'( ivíais

voici

le

fait ians replique, ignoré.

peut-etre de

ph1sieurs

=

c'est que la

clause

d'exemption renfermée dans les édits d'em–

prunt,

ne regarde pas

seulement une

reienue

vaguement exprimée, mais l'imposition pro–

premen

t

di

te.

11

a'y

a pas un seul

ae

ces

édits, de–

puis

1

770,

quin e porte cette formule;

les rentt$

seront

exemptes

a

toujours

de

toutes impositions

généralement

qudconques

H.

(<

Il est

un

petit nombre d'édits d'emprunts,

dans

lesquels

les rentes qu'il.s constituent sont

assujeties

a

la retenue d'un

dixieme

d'amorti¡..-