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~73
)
biteurs, et
de quelque
m2:1ihe
que
Ic:w>::; fc:
J.dssoient
placés
ceux, qui
ont des rcrl.tcs chcz
les particuliets' ne
sercnt
ras
n:oin.s des
c¿:_..–
pitalistes
ii
ranconner aue
ceux
0
1
.ui ont Ge::;
4.
..
.1
rentes sur
l\~tat.
Et
si noLs eTI:}_:rassor:s
de
te
!s
•
•
º1\
l'
I
1
i
pnnc1pes , nous vo11a
1Vres aux recncrcnes
les
plus
inquisitor1ales sur les fortunes
des
individus,
et
sur l'emploi de
Lut~
capitaux;
i1
.
"bi
1;'1
'
-
e::;t
1mposs1
,i.e ci e uder
ces
cons~quences.
Lz!
nation n'a ¡Jas nlus de dro:t sur 12s fonds ph-
i
L
cés
entre
ses mains, que h0rs <le
ses mains :
que dis-je? elle a de plus,
<l clns
ce
prem~er
c2s,
les regles de la
pud
eur
pubr
que
~'t
observo· ,
puisque
les
fonds
de
ses creanciers sont en
sa
p111ssance. ')
H
~1ais
quand il
seroit
poss1b1e,
qli'a
la
ma~
niere des despotes , nous prissions ainsi cie
1,
\
1
.
l
l'r<
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argent par-tout ou es c1toyens ete
r..rnpire
'
.
1
J'
,
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,•
n auro1ent pas
su
e
aeron.:=r a
nos regaras ,
quel
droit
du moins
avons-nou~
sur la
for-
d
'
.
td
'
1
tune
es etrangers
qu1
ncns on
·Onn~
ieur
confiance;
cenx
qui
nous
proposent
l'op¿ra–
tion de fi.nance
aue
1c
disn1~e,
savent que
J,
,>
-
les étranacrs
oot une
e.rancle
oart
dans
nos
b
.
UJ
.L
empruntg, et s'iis nous discnt
qL~e
nous ne
<levons
voir
dans ces
er:m;nmts
ou\1n
n~t¡cnd
')
~
J,
'
ce<> étrangers
vir.>ndront
~vcc
nos
1ettre;-pa--:-
Tomc IV.