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que nous serions
seuls
a
soutenir;
et
-qui
n'a
J>Our
base
que
la cupidité
et
les
sophis~es
9
ne déshonnorat
a
jamais nos premiers pas dans
la
politique financiere.
»
'( Mais, je le demande : quel
droit
de pro–
tection un débiteur, quel qn'jl soit, peut-il
exig·er
~e
son
créancier,
pour
l'argent
que
celui-ci ht\ confie? Cette prétention n'est-elle
pas reftítée par le ridicule qu' cJb
p~ésente;
e
.
1''
'
. .
'
car,
encore
une
io1s,
etat
n est 2c1 qu em-
pnmteur,
sans aucune qaalité, et il
n~a
pas
plus de droit
a
une
imposition,
non
convenue
sur
ce qu'on
lui
pret~, q~1e
tout
autre
débi–
tcrnr n'en auroit
sur
la partie
la plus sacrée
de
ses dettes.
>~
'' Qu'on ne prétende
point argamenter
1c1
de
fimposition
que doivent incontestablement
le~ étrange~
1
s,
pour les
propr:ttés
fonc~eres
qu'ils
possedent les uns chez les autres. Car
les terres constituent k'Empire; elles relevent
de l'Empire, les droits du souverain s'étendent
sur
elles ,
ou ne
reposent
sur ríen . Mais
les fonds pécuniaires des étrJngers , les
écus
qu'ils
nous ont
pretés,
ne releven! point de
notre souveraineté; et quand l'état a
déclaré
lui-mcme
leurs rentes libres de toute
impost.
1ion'
il
seroit
sc¡indaleux '
rour
s'a ut criser
s
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