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( 176 )

'

epfrcindre ce tr.

ité,

de

e· ter 1

.. c ·em 1

(k:

l eurs posscssions territoriales qui s nt

i, po–

sables

par

l

ur naturc'

et

a

t

impositio11,

d

s

qu t.~ les

ils

se sont

soumis.

H

<~

Je dis done,

qu'il

st impossib] e que nous

SOllSCtivions

je

n ais

a

C

tt

crit:l

t~

ll1JUStÍ

e

Cr:•

v crs

des étranr-ers qui nous ont

confié

J

urs

biens

a

des conditicns inviolables;

et

j'ajout~

que les' rentes de toutc es

pece

étant

répan–

dues

dans

le

com.m~rce,

il

seroit impos

ible

aussi de déméler , parmi les divcrs propri ' -

t·1ir2

de ces effcts

>

les créancicrs étrangers

d'avcc

les

victimes

nationales. La seulc ma–

niere de

nous

épargner

cet

embarras,

c'e"t

de

rejetter l'injuste

mesure qui le feroít

naitre.

n

'' Je ne saurois voir ,

~1essi

tus ,

qu'un

eJL "

pédient

qui permit

cl'in-iposer

toutcs

les

rente ....

indistiactement ;

c'est

de faire de

nouvclles

.conditions avec

eux, et de lenr proposer cettc

alternative, ou de

se

soumettre volontaire–

ment a une

imposition,

on

¿e rece

oir

sur-le–

champ leur r

mbour : ement.

Sans cela , l'im–

p

"t

sur

les rentes

er

;t

l'impót le plu

vio–

lent , le plus torsionnaire, qu'il

ffLt

possible

d'ima

giner.

»

"

ous

diroit-on pcut-ctre

d~ :l ffrancL~r

le

rentes foibles ,

t

de 11'imposer que les rente