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( 274 )

tentes d'empnmt

a

la main' ils nous

montre~

ront qu'ils sont textncllement invité ,

dans

ces lettres-royales '

a

prende part

a

nos em–

prunts,

ils

nous

prouveront

que

nous sommes

forc(;s

de le

reconnoitre,

et leur qualité de

rentiers étrangers ,

et le

<lr

it qui

exempte

d'imposition,

puisqne cette qualité

et ce

<lroit

sont

légalc:nent reconnus

clans leur

contrat

/\

mcme.

>~

~{

Si quelqu'un osoit faire

entenclre

que du

moins

le mal

que

les

érrangcrs éprouveroient

ele cettc

opc;ration ,

ne

retomberoit

pas sur

cet Emp!.re, une telle morale vous feroit hor–

reur ;

€t

vous

sentiriez d'autant

mi~ux

tout

ce

qu'il

y

a de révoltant dans une mesure

fondée sur

de

tels scntimens et

de

tels mo–

tifs.

H

" On prétend que ces 'trangers doivent

etre

imposés

<l~ns

leurs

rentes en suite

de

h

protec-

- tion

accor<lé'"

par l'état

~t

cette e

pece de

pro–

priété.

Je

me

d 'fierois

i

nfiniment,

messieurs

~

cl'un

droit que

nou

pré':

ndrions excrcé sur

<les ca¿ ·taux qui

nou~

ont

áté

pretés

par nos

voi in ,

tcndis

qu~

ces

voisins n'ont jamais

e. ere' un droit

sttrbhlble,

a aucnn

titre,

sur

l '?s

C.i~Jitau

·

étr.

ngcrs qui

leur

ont

été

con–

füt ,

t

C

C iº J.

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