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tentes d'empnmt
a
la main' ils nous
montre~
ront qu'ils sont textncllement invité ,
dans
ces lettres-royales '
a
prende part
a
nos em–
prunts,
ils
nous
prouveront
que
nous sommes
forc(;s
de le
reconnoitre,
et leur qualité de
rentiers étrangers ,
et le
<lr
it qui
exempte
d'imposition,
puisqne cette qualité
et ce
<lroit
sont
légalc:nent reconnus
clans leur
contrat
/\
mcme.
>~
~{
Si quelqu'un osoit faire
entenclre
que du
moins
le mal
que
les
érrangcrs éprouveroient
ele cettc
opc;ration ,
ne
retomberoit
pas sur
cet Emp!.re, une telle morale vous feroit hor–
reur ;
€t
vous
sentiriez d'autant
mi~ux
tout
ce
qu'il
y
a de révoltant dans une mesure
fondée sur
de
tels scntimens et
de
tels mo–
tifs.
H
" On prétend que ces 'trangers doivent
etre
imposés
<l~ns
leurs
rentes en suite
de
h
protec-
- tion
accor<lé'"
par l'état
~t
cette e
pece de
pro–
priété.
Je
me
d 'fierois
i
nfiniment,
messieurs
~
cl'un
droit que
nou
pré':
ndrions excrcé sur
<les ca¿ ·taux qui
nou~
ont
áté
pretés
par nos
voi in ,
tcndis
qu~
ces
voisins n'ont jamais
e. ere' un droit
sttrbhlble,
a aucnn
titre,
sur
l '?s
C.i~Jitau
·
étr.
ngcrs qui
leur
ont
été
con–
füt ,
t
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