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( 421 )

francs e5t

deja

une

gene~ iv1~is

ceci

tient

a

la police generale du royaume. Dans les ar:ran-.

gemens politiques , on a mis les impositions

avant tout, et

1'911

traite encore de chimeres,

les

idees

simples

qui concilieroient

les

avances

sociales avec la liberte et la franchise de

toutes les prod-uctions.

faut clone se con–

former

a

cet ordre, bon ou mauvais, qui au

lieu d'assortir les

impositions aux

maximes

generales du commerce et de l'industrie, a

voulu plier celles-ci aux impositions. 11 en a

r~sulte

des ports francs ,

de~

lieux privilegies

que la

fiscalite

respecte:

c'e~t

le

depot

naturel

~

le domicile des marchandises etrangeres. Cela

n'empe~he

pas que les

commer~ans

ne fassent

aborder et decharger leurs vaisseaux clans les

ports non

privilegies,

si quelque

specu-

lation particuliere les

y

invite.,~

.

'' Ainsi, tout s'arrange te moins mal possible.

En

laissant au decret de l'assernblee nationale

toute sa latitude , le comn1erce de l'Inde sera

libre pour tous les

fran~ois,

c'est-a-dire que·

,cette liberte ne sera modifiee

que

par

les

resultats necessaires du s.ysteme

d~s

imposi–

tions. La puissance legislative dit aux com–

mer~ans

de l'Inde

~ '~

nous

avon

s besoin d'im–

n

pots ;

nous

croyo.qs

que les.

marchandise~

· -Dd

Ji