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les victoires les
plus slires , ou
plutot
~e
partage
heureux
des
prod\1ctions
de
l'art ,
qui
s'assortissant
a
celui
de~
productions du .
sol ,
est
un moyen paisible
d'alliance
entre
·tous les
peuple$~
Ce n'est pl!s
tant
'· de
dchesses
que
nous avons _?esoin , qqe
de
mouv~n1ens
qui developpen_t
nos
facultes.
La
liberte no\JS
rend cet
utile service. ,
Elle
~tta,che
a·
ces
d~~
veloppemens des
j
ouissances et d_es avantages
d
l
.
'
,.
qne
nous
per
ons
par
es
contra,1ntes
qll'on s
im-
pose toujours
a
soi~meme
' loi;squ'on vet\t ,les
imposer
aux autres. Que
s.~
cette-politique
e~t
. t.rop simple pour
n0-s
grands
Cildministr~.teurs, :
qu'ils
observ~nt
du
moins
que
rien ne
f(:l–
vorise autant l'industrie oue
la
concurrence~
.
'
.
J
-
.
~
.
Quand on ne
peu~
pas lutter d'une maniere ,.
on lutte
de
l'·autree.
Lorsque les Anglois ont
senti le
desa-va~tage
du pri:%:.
de.
\eur main..,
d'reuvre ' ils, ont
e1i
rec-ours
a
des_ machines,
'
;r
.c-
t.
\
d
'cl'
.
'
~
\...es
p~nec
1onnemens , a
.es prqce
es
1nge-
.
0
"
.c.
•
•
1'
,n1eux..
'n eqt
.l,a1t
c;om~c
eux, s1
on
ne
se
·
fiit ,
pas
fie
aux
prohibitions ,
~t
l'avantage
Q.t~
prix de
la n1ain"!".d'
02t~yre
SCJ;"Oit
reste
a
ia
f
r~nce
'·
pare~
qu'il
ti~nt
au
s.ol'\
)~
"- Pepuis
le
trai~e
de
commerce , on pettt
Aeja
reconno'itn~·
<lans
plu sieurs
objets ,
que·
1~ lihr~
co.qq~r-ren~~ n~ t_~i;d~.
F'\~ ~
devetiit-