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( 424)

les victoires les

plus slires , ou

plutot

~e

partage

heureux

des

prod\1ctions

de

l'art ,

qui

s'assortissant

a

celui

de~

productions du .

sol ,

est

un moyen paisible

d'alliance

entre

·tous les

peuple$~

Ce n'est pl!s

tant

'· de

dchesses

que

nous avons _?esoin , qqe

de

mouv~n1ens

qui developpen_t

nos

facultes.

La

liberte no\JS

rend cet

utile service. ,

Elle

~tta,che

ces

d~~

veloppemens des

j

ouissances et d_es avantages

d

l

.

'

,.

qne

nous

per

ons

par

es

contra,1ntes

qll'on s

im-

pose toujours

a

soi~meme

' loi;squ'on vet\t ,les

imposer

aux autres. Que

s.~

cette-politique

e~t

. t.rop simple pour

n0-s

grands

Cildministr~.teurs, :

qu'ils

observ~nt

du

moins

que

rien ne

f(:l–

vorise autant l'industrie oue

la

concurrence~

.

'

.

J

-

.

~

.

Quand on ne

peu~

pas lutter d'une maniere ,.

on lutte

de

l'·autree.

Lorsque les Anglois ont

senti le

desa-va~tage

du pri:%:.

de.

\eur main..,

d'reuvre ' ils, ont

e1i

rec-ours

a

des_ machines,

'

;r

.c-

t.

\

d

'cl'

.

'

~

\...es

p~nec

1onnemens , a

.es prqce

es

1nge-

.

0

"

.c.

1'

,n1eux..

'n eqt

.l,a1t

c;om~c

eux, s1

on

ne

se

·

fiit ,

pas

fie

aux

prohibitions ,

~t

l'avantage

Q.t~

prix de

la n1ain"!".d'

02t~yre

SCJ;"Oit

reste

a

ia

f

r~nce

pare~

qu'il

ti~nt

au

s.ol'

\

)~

"- Pepuis

le

trai~e

de

commerce , on pettt

Aeja

reconno'itn~·

<lans

plu sieurs

objets ,

que·

1~ lihr~

co.qq~

r-ren~~ n~ t_~i;d~.

F'\~ ~

devetiit-