AVERTISSEMENT.
CBTTE
lettre d~
Ml
Jérome Carré
eut tout l'ef–
fet qu'elle ~éritait. La pi€ce fut représ@ntée au
comn1endet11ent d'auguste
í760.
On
commern;a
tard ;
et
quelqu'un demandant pourquoi on
at–
tendait si long -
tem
ps
?
C'
est a
p
parcmment
,
rép0ndit
tout
haut
un homme .d'esprit,
que
F .. .
e..st monté
a
l'hótel de ville.
Comme
ce
F....
avait el-i l'inadvertance de se teconnahre dans
la
con1édie de
l'Écossaúe,
quoique
M. Hume
ne t'e11t
jamais
e1i
en
vue ,
)'€
public le reconnut
aussi. La
co~1édie
était su~ de tout
fo
monde
par creur avant qu'on la jouat ; et cependant
elle
fut
re9u~ avec
un
succes
prodigieux.
F....
fit
éncore
la
faute
d'imprimer dans je
ne
sais
quelles feuilles,
intitulées
l'
Ánnée littéraire
,
qu~
l'
Éeo..ssaise
n'avait
réussi qu'a
l'aide d'une:
cabale coniposée
de douze
a
qt1inze cents per-–
sonnes, qui toutes, disait-=-=il
1
le ha1ssaient et le
méprisaient
souvera.inement. Mais
.M.
Jérorne–
Carré était bien .Jóin de
fair€
des cabales :
tout
París
saitassezqu'il n'est pasa ¡ro~téé d'en faire;
d'ailJeurs il n'avait jamais vu ce
F.... ,
et il J:1e
pouvait comprendre pourq1:10i taus les s,pecta–
teurs
s'obstinaient
a
voir
-F..."
dans
FréJon.
Un
Théutre.
6.
2 I
.
'