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2-08
L'ORPHEUN DE LA CHINE.
Tandis qu'en Oc-oident je
fais
v,o1er mes fü,s,
Des l'Ilurs de Sam-aircande
a1ux
h@rds .du Tan.airs.
Sortez : demeure, 1Octar.
SCENE VI.
GENGIS,
OCT
AR.
GENGIS.
EH
bien
1
.pouvais-tn croire
Que le sort m'éleva't
a
ce com'ble de gloíre?
Je
foule aux pieds ce treme, et je regne en des licux
Ou
mon frout avili n"osa lever
IJ.esyeux.
Voici don
e
ce pafais, cclte superbe ville
Ot't,
caché dans 1a foule, et cb.e·rchant un aúle,
J'essuyai les mépris qu'a l'abri du danger
L'orgueilleux ciloyen proqigne
a
l'étranger.
On dédaignait un Scytbe; et la honte et 1'outrag·e
De mes vreux ' mal coH~us dcvinrent le partage.
U
ne femme ici meme a ref Úsé la main
Sous
qui
depuis cinq an
1
s tremb1e·1e genre 'humain.
OCT.A..R,
Quoi
!
dans ce :haut de.gr.é de gloi,r.e eJ: .de pu.issance,
Quand le ..monde a vo,s pieds se ;pxo1>.te,rn.e
e,n
siile.nce,
D'un tel ressoµveni~ v.o,us s.eúe.i .p~c.cupé !
.G-EJN:GI<S.
Mon
espTit,
j,e
.l'av0we, -eR
:füt
>t:01•1j emir-s
f.ra-P'Pé.
Des affronts atta hiés
a
IDiO'l'l
'lm-rnmle for-tu,ae'
C'est le seul dont je garde une i.clié,e .iimp,0r-t1irn.e.
Je n'e·us
;([·blle tOC 'lilil
«D.ID:C.D
t
de
ffai:bJeBs.eet .d.'e rrteu.r :
Je crus trouvei· ici !ie ;riepos :d.e mon -ereur;
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