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tE DUC DE FOIX.

,,. Oui, mes ressentiments, mes droits, mes alliés,

~

Gloire, amis, ennemis, je mets tout

a

ses pieds.

(Asa suite.)

~

Allez, et dites-lui que deux malheureux freres,

,,. J etés par le destin da,ns des partis contraires,

_

,,_ Pour marcher- désormais sous le Íneme étendard,

,,. De ses ye~x seuverains n'attendent qu'un regard .

( A Vami'r.)

,,_ Ne blame point l'amour

ou

ton frere est en proie :

lf-

Pour me justifier

il

suffit qu'cm la voie.

VAMI R.

*Cruel!.... elle vous aime?

LE DUC.

Elle le doit

du

moins :

*

11

n'était qu'un obsfacl'e au succes de mes soins;

,,. Il

n'en est plus; je veux que rien ne nous sépare:'

VAMIR .

,,_ Quels effroyables coups le cruel me prépare

!

'\.Ecoute;

a

ma douleur ne veux-tu qu'insulter?

lf-

Me connais-tu? sais-tu ce que j'osais tenter?

""Dans ces funestes lieux-sais-tu ce qui m'amene ?

LE DUC.

lj.

Oublions ces sujets de discorde et de hainc.

SCENE V.

LE DUC, VAMIR,

AM.ELIE .

AMÉ'LIE.

CrnL!

qu'est-ce que je vois? Je me -meurs

!