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M ER

Hollandois le fom paílCr par le Pie de Tcneriffe ,

qllt

cll la plus

hauce

monu$nc

monde ;

dam

les voyagcs de longcours, ds commenccnracomp–

ter lcur long1rudc par le porc du partcmc:nr.

~cla

lcur el\: plus facilc

plus commode pour

pou~tcr

les canes marines ,

a par

plus de ccrmu–

dc d:rns lcurs ellimcs. Le Mcridic:n détermmc le

peine oU les Afircs íonr plus éh:vés Cur notre Hori–

fon,

cela s':tppellc

HAHllHrmtr1d1ennt.

On appellc

L1gne

maidwmt,

Une hgne qu'on

uacc

Polc

Nord

cclui du

Midi •

qui

défi.

gnc íur un plan le ccrcle i\•leridicn. E.lle cll:

to~-

{:1~a~~:K;~~~~~i:a:::·~rl[Í~i;e~f~~tf;r:~~i~~:

des Aílrcsdans les cadrans vcrcicaux.

ME R

m. Vicux mot que R:igueau a cmployé

d.ins la lignific:uionde 5crgcm.

MERIR.

v. a.

Vicux mor. Récompenfcr, cendre la

pucille.

Ditu ft 11ou1jfAurab1tnmtr1r.

MERIS.

m. Vteux mor. Sorre de javclotanc1cn.

¡~l~:;u~·r~u;~ :.r:t~~l~~~f:ir~t~~i~~~~;:1~l~~~ii~

fe. Ce fruicelt plus perir&plusmenuque

cenle.

Le Merifiera le bois

fort

dur. Son écorceen blanche

forr

liíl'éc,

fcsfeuillcs dcvicnncnr rougcscom–

me du feu avam qu'clles tombem.

MERITE.R. v. a. Ene digne, fe cendre di¡;nc. On

~~Í;~:;,r;::t~s~',~~¡~~~~~1~~~~:rii~~cg~:::'~cl:e:

~;r,:;j~rq:.a ~~ifi~c<l~ª:.,~~~:~cc:pil¡~~;~(~~~~~

~~~~;~~lech~f::P~ ~~S~e;i~~~e;;~~¿u~ss~i~[~1~~~

raifon.

MERLAN. f. m. Poirfonde mcrquialesyeux grands

clairs

les dcms pemes. Sa bouche en moyen–

nc ,

chair inolle

legerc.

MERLE. f. m. Oifeau qui adu rapport avec l.t gri–

ve. ~clqu

Oifelic:rs appcllcm le Merlc femelle,

Ji.fafrffe.II

c:fide coulcur de fme

a l'efiomac femé

de perites raches de blanc fale. Le Merle mile en

noir,& a lespmbes Jaunes

le becd'une autre Corte

de pune ql\i urc fue le rouge. Cec oifoau chame

agre.tblemcm,

apprc:nd d1ve1fes chanfonsqu'on

lu1 cnfeigne avec un fifficr.

joue de la rrompctte

&bacle

rambc.ur.

auift un

e force de poiíl'on qu'on appelle

Merlt.

rell'emble

uneperchede riviere,

a la

bouchegarnie de dencs eoinrues

crocbues.Sacou–

leur en encre bleu

no1r.

11-IERLE.TTE..

(.f.

Tenue de Blafon. Oifeau fansbcc

fans piés fur un écu.

D'or

l'orledt

h111tmerletus

áefabi<.

MERLIN. f. m. Tcrmede Marine. Petlt

corda.ge

ligne

rro1s fils.

On~·en

fcrt

fuire des

raba.ns.

MERLINER. v. a. On ditc:n cetmcsde

mc:r,

Merli–

nerNne11ode,

pourdire, La coudrc

la ca.lingue par

cenains cndroi1s avc:c du Merlin.

MERLON. f. m. Tcrme deguerre. Monceau deter-

~!l~~(le~nr~~~~uexli~~b{~;~~rpi~~u~t;:~~1[~~~ c~~

nons ,

de fix de celuide la campagne. ll a fix piés

de hameur,& fon

~patlfcm

eílde d1x-huit. Onadir

::¡';;;:::~e~:~~~~:~;il1~:n~L;.~~idé~1~º~~·~rt

venuMerlon.

MERLUCHE. f.

ífpece demoruequel'on foit

fc–

chcrpour la garder. On dit auffi

Merlu1,

&ce mot

viene de

M1tr"

ni1,,.

Blochec de mc:r. C'en un

poiíl'o.nde hautemcr qui croit jufqu':l unecoudée,&

qui el\: de la longueur d'un oudeux p1és.

Sacha.ir

eíl

molle &fonfo1e uCs délicac.

Ua.le

dos grisccndréJ

ME R MES

le venere bbnc, laqueuequarrée

la 1Cte avanch

applatie.Ses ycux fonr srand5,de mCme que J'ou–

vcrrure

fa.

bouche, qw efl garnie de denrs coar–

bes &a1gues.

MER VE. ILLE.. f.

Plante dont patle Mauhiole,

jeteanr plulieurs Íarmcns

qui

s'agraffem de cOcé

d':imre aux herbes

aux arbnife.tux vo1fi11s. Ses

fcuilles

fonr

femblables

celles de la couleuvréc

ou de la vignc , mais bien plus petircs

plus dé–

chi9,ucrées tOUt

l'emour.

S:a

fleur

cíl:

jaunicre

reficmblc

cellc de concombre,

Con fmir fe

termine en poincc des dcux bouu , écanr prefquc

fait en mamere d'c:cuf. La peau en eíl chamue

couce couvcrre de pcrnes bort"cs poinrues. Le

fouc

d:~j~~~ Í~ug~ J~ªr.~t~

¡¡~:o~:r: ~¡ í~·~rr~~~

fon

focilemcnr.

la grame femblable aux angu–

ries, mais plus pccice •

unepclure groffc ,graRC,

gliffance

forr rouge. Sa ncine eft: rrCs-menue.

;~/e~!'~ f:~~~~[ p~~~e:~~~Íu~~

d'~~:~~c~Í~:=

rée avec la cÍé:coetion de plantain, guerit les playe'

imerieurcsdu corps,

quelqucs-unsen

fonc

grand

cas comre

coliquc. Onappclle cene piame

B.1/fa–

m1nA,Yulctlla,

Momorálca;

afin qu'On nes'a–

bufe pas

ce dcmier nom , le mCme Matthiolc

fa.ir

remarqucr que quclques-uns appellcnc

Mo–

m.,

áic11

cene cípcce de geraniumqui

le~

feuillcs

plus gr3ndes

que

les aurres

prefque

mCme

5randcur que celles de la mauvc.

p3Cle cníuicc

g:~~~:~~:~(~rs.:':e::u~:~,~~~i~:~r!n:~;1~~

ne de JUS ,

d'oU ÍOrtem

quanricé de fones bran–

ches.

Ses

feuillcs

fom de

la longueur de ccllcs du

íaulc: , dcmeléc:s couc

l'cntour. Elle a fes fleurs

grandes

purpurincs, avec une queue rorruc de

derriere , d'oU forr un frun en

fa~oo

de poirc ,

~~~;:en~~~b~ae~lefo!recscld! :~¡~;su~:~ r~~~~c~~;:

de vcncs dcvicnnem 1aunicrcs ,

crevenr d'ellc5-

mCmes qunn<l elles íom mUres. Elles Jeuem une

g1-aine qui cíl femblJble aux lenrilles. Les racinc5

de cene plante font

fort

groffc:s

bien munies,

quclques-uns lui amibuenr la mCmc vertu qu'i

l'aurre cfpcce.

MES

MES.Pronom pofteílifqui a été émployé dans le: vicux

langa.ge

pour le fingulier Moh.

Mt1cNtr11HtHit

di-

rt le1formtJ 'JNI fNrtnt

mHl'a

tn 110H1JtANX corp1.

a Jignifié auffi

Plus ou Jamais.

cefl nt 1JONJ

'fJa11drA mn r1e11.

MESAIR.

m. TcrmcdeManége. Cenainairqu'on

fuic prendre

un cheval en le maaiam encre le terre

cerrc: & les courbecres,

qui tic:ntmoiué de J'un

&moitiédcl'aucre.

MESANGE.

Pcdr oifeau qui cll une eípecede

pinfon, gros commc la fauvcrce. mais dom le: chane

eíl c:xrrCmcmenc défagrcable. II a la cCce noire

blanchc, l'eílom:lc cirant íur le ven,

l'échined'un

violerobfcur. II

a une

Mefon~c

commune,

uno

aurre

longuequcue. Cec oifeau. appellé en Larin

JJ11r11rttft11or,

vit quatre ou cmq am. it iténagc:

fuit venir le mor de

Mdan(t

Meftb ,

mor Al!c–

manct , qui fÍgmfic b mCme chofe.

MESAULE. f.

Petirccour

101

guc corredeuJ" corps

de L>gis. C'en l'explic,uion que M. Pcrraultdonñc

3. cemor.

ME.SCHANCE..

f. Vieux moc. Méchancecé.

HtJ ft

'TITAI Dw1

t¡Hi mefthAr.(t

N '1t1mt1

pomt

•

1umAlil111tl'.