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¡
I
!>>
Prertez · garde ,
Me~sieurs
;
que si
vo1~s
r/'admettiez pas .les príncipes,
~ous
yos de+:reH
sur
l e~.
biens 8e la .noblesse,
S~lf
fa
contribu...–
Úón pr-pportionnelle, et s:ur f,apolition de
s.~s
.pi·ivileges'
tie
seroient plus que
de. vaines
loix.
Lorsque -vous
avez ·
c.ruque vos
décrets
.sur
e.esimportantes ·questiops
n~ .
P?1;_t9fent
po.in_t
a~teinte _ali droit
de propriét-é,
voü.s
avez
été
.fopdé·s
5llf)
~e
que'
~e·
nom
ne
qon:v~eQ.oit
point}t
eles
,·prérogative.s '
-et
a
des exftnptions .
que } a
loi
n'avoit ·_poin.t sanctionnées, .
qu'
qüe
fin-
.
/
'
.
r
téret public
~toit forc~ ,
Gle détruire. Or, les
..
m~mes~-
príncipes pe·
s'appljqu~nt ·-
ils
pas ,
::aux
' fondations
particul1eres
~le
réglis.e
.? " ' .
i
·
. ~>
Si
votis
pensez
que
·d~s
fo.ndateurs,
·éest-\
a-~ire
,
1
d.e
simples
citoy~·ns,
en
dóirnant
leu:rs .
h!~ns .
é\!J ;
cJ~r·g~
·, ._et
le
c:lergé,
,ep
1e~.
receva:nt,
oni
p1~
créer un
corp~
dans
l'e~~t
, :
lui
.d.o.nuei::
~ fa cap~~it4
d'acquérir,
pr:lYer
la,nation
du
droit'
. <le,
la
d~ssoudre,
la
fpr~er
d'iJdmettre
dq.nsson
.. ;sein,
c.o~ip,e · proprj~tªir..~ ,~
·:tl'n
gra,Fid .
~;orps·
ª•
.
q1~.i,
t 5111t
de
sourc~s·
~e
,
C::fé~~t ~qnnept
dél,a
_t ant de
p~tissance, ~l,or$ , ;~sp_~ct~z
la
p~~opriété
.
~u
cler,gé;
fo
décret
qu~
je
p:r.~pp,s.e
y
porter~it
, attein'te
~>.
, .
1
»
Mais ,
si'·
malgré les
fondations
.Particu- ,
lier~~,
1anation est
:i;-es~ée
dans tous
ses
droits,
• 1