( 31)'}
que <l'autres citoyens, ni ·que des acqufreurs:.
dusseilt etre mis
a
sa place
>>.
~
.. Je
n'a pas non plus · entendü soutenir
que ' les créanciers de l'état dussent
et~e
payés –
par les biens du clergé, pursqu'il .n'y a pas d@
dette
is sacrée que les frais du culte-,
l'
en-·
tretien des temples, et les
a~1mortes
des
pau~
vres
H.
«
Jé
n'ai pas voulu dire non plus ,
qu'il
fallút
p~iver_
les. ecclesiastiques de l'adminis–
tration des biens
et
des re.venus
~Óiít
le _,
pro–
duit' doit
le~1r
.etre assuré. Eh
!
quel intéret
aurions-nous·
a
substituer les agens du
fi~c
a
des économes
fid~les,
et des mains toujours
pures
a
des mains si souvent
~usp~ctes
..,
?
«
Qu'ai-je '1onc, Messieurs, voulu montrer
?·
Une
~eule
chose: c'est qµ'il est,
et.
qu'il doit
.etre de príncipe, que toute nafion est seule
et véritable propriétaire
des
biens
de
son
clergé.
Je
ne vous
ai
demandé que de .con-–
sacrer
ce
princip_e, parce que ce sont les
er~reurs .ou les vérités
qüi
perdent ou qui
sauve~t
les
riation,s, Mais en , meme tems .,.
afin
1
que
personne ne plit douter de la générosité de
la
nation
fran~oise
envers
la
portien
la, plus:
necessaire
et
la plus respectée de ses membres
~
fai
demandé
qp.'il
füt décrété qu'acun
curé
~.
X_
3._
I