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ou Latine; celles-la,

en

ta:tfg1fé

Péravienne·

ó il'

Mexiq.íne

!'

l l

eCi

évid'ent qu'il

y.

allrti

dans

ce votumt

q"'Uelques

Vérités

l)Ue

j'entendrai

&

que

je

co~npr! ndr:~~;

&

qu'i~

y

_e~ alir,a

~4fo·

itn

grand

nombre,

&>

un peaucoup pfas

grand

lzamlire

,'

ou ¡e n,

comprertdrai ríen.

Mais les

ptopofi.tions

qllle .

j; ~htrai

cd-mpri-·

fes',

&

dónt' j"aurai bien

faifi

&

oiea·

feáti

l'év kt:ef.lé0 ,

ceífe -·

ront-elles-

d'etre certaines p

1

(;)Uf 1noi ;

parce

qUé'

dans·

te

meme

vblmne '

il

y

aura

d'áttitres

propoforons

ou

je

Ple cóm(.~,

prerdr~i

r!~ , ? Non, fa-ns , doure.

. ,

1 ,

Telle eíl:pour n·ous la ~atu~e; tout n

y

eíl

pas

Iµm·iere

tour

n'y

eít pas ténebres.

L'enfemble

des chofés eff comme·

· un grand Livre

,

oir fon~

renfermées

une infinité de vérités ,

dom les 1mes font rracées · en ca-raéteres pour ñous

int~lli–

gibles ; & les aurrés

,

en

caraét:eres p,our no,us ininrelligibl'és.'

11

n'efl:

pas

donné

a

l'efpri.t humain ' ~

de tout

voir

~

<'e·

tour

comprendre,

dms ce grand 1.ivre,

dans

le' grarid

Tout

de la

Narnre;

ou

fe

déploie

toüre

l'infinie

inteilí'g<hiée

dd

~et

Ef

rit incréé

&

ctéateÍlr ,

a

qui

i'l

doit

fo12

exiffénce~

Mais lá

partie

cmaine

&

luminetife

de la

ºNarure,

Q.e p·erc(

r,ien de

fa

certit~1de.

&

de-

fa

lumiere, ,

pour

etr.é

;itTez

foil- •

vent

placée

a

coté

d~

l'obfcur

&

de l'incertairi:

par

Jfa

raifon

que le

certain

y

eíl:

indépendam de

l'inc~rtairi;

~

qilé

l'évi–

flent

y

efr difiingué

&:

féparé de

l'obfcur.

:2

I.

'CoROLLAIR.E.

U

refolte

.dela

que ,

qu,útd

Ílllt

Virité

efl foliderñent

établie

par quelque preuve

convaincan'te

,

defpJ-..

tulation

ou

d'

expérience , on doit

adhér;r

itnptrtu·rbahlement

a

~ette

vérité

connue :

quelles que

pu!íl'J nt

c~t'é

d'ailleµrs .

oi\

les

tenebre's

qui l'enYeloppent, ou

l~s

difii:c1;1ltes qui

l'at-~

taquem.

_DIVERSES ESPE9LS DE DÉMONSTRAT1.0NS.' .

'2.2.

Í)ÉFIÑI'I'ION. Óh

nomme

Démonflr,ztio,i

,

uh

raif~á –

nement,

ou

un'

eñchaínemem

(t-e

raifo1mel'néns,

qi,i

prouve

&

qui érablit

invinciblemen_t

une propoficion avancee; o á

qui fait voir' ~vec une_entiére

&

compleue . ce;timde~

que

C~tte-

propofition

aVa!)Cée

efi vraie

!

quel

q~ ':

foir

l'@bjet,

de

cene propofüio.n ;

füq 1:1~el

peut etre indifférdnmefrt,

on

une

verité

de

f~ít '

ou-

une'

~fr ité

de t'hécrie.

.

La propoÍltioo qui

é~

pfo\1vé·b·

&

étahhe~

par·

tlll'

ráifont–

nement convaine::.añt,

6U'

.paf un

énchafüe·menlt:

de

raifc¡ió~

n~mens

~onvaincan_s,,

e1l,,_

ú~i1

Propvjltion d'éinontrée

·;

E'2

un-e

propofitioñ' qüi refutt e

:

dl.f

lJ'lii-

q:é'cou l1e d'úú'e pr6pofiti'6ñ

<lémomrée,

eíl: auffi une

propofoion vraie

&

inconreftablét,

·a

laquelle on donne le nom de

C0roll4ire.

La

démonfüation , -comme l'obf~rve Ariíl:ote_

l

8{.

CQmme

~

e

ij