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Je continue avec d'autres numéraux.
D e tL'é
Iroquois
Onondaga
Mohawk
Cayuga
lekeni
=
teke-n·i
tekh1u , tegni
=
teg-n i
tekkinih
=
tekki-nili
teku i
ticknec
teghia.
dekanee
=tele-n i
=
tick-nee
=
teg-hici
eneca
One'ide
Nottoway
=
cleka-n ee.
91 8
Le radical est le sumérien
tab,
deux ;
lúa.
est theme démonstratif,
de meme qui
ni
déja connu. Le premier appartient aux formes su–
menenne
en
b
et ne doit pas etre con idéré comme rare, puisqu'il
se présente , dan d'autre mots, par exemple, comme dé inence de
beaucoup de ºnom
de paren té.
9 19
lroquois
Onoodaga
Cayuga
eneca
Onei'de
Iroquois
Tu carora
Nottoway
1-IuiL
telwero
tegueron,
tekro
til.·km.tgh
tagheto
sateko '
nakreuh
dekra
=
tek:ii
X
ero
=
2
X
4
tekiro
=
tele
X
ira
=
2
X
-!
=
tek
X
ro
=
2
X
4
=
tik
X
keugh
=
2
X
4
=
tagh
X
eto
=
2
X
4
=
ci
X
teko
=
2
X
-!
=
nak
X
reuh
=
2
X
4
=
clek-rn
=
2
X
-!.
920
Quatre a t.rois forme· : celle en
r,
provenant de
8an
ou
sin ,
quatre
de 111eme que le
sa
de l'iroquois
921
et celle
en
k
et
t
du seneca et
de l'one'ide qui appartiennent a
tabba,
quatre, déj a connu.
922
Le P ere Cuoq lit «quatre» en le décomposant en
.~ate
et
kon
et
en lui donnant la
ignification «autant ele l'un que ele l'autre cólén ,
c'e t-a-dire quatre eloigt a chaque main, non compri s les pouces.
922 "
Mais bien que cette décompo iti on parais e bien exacto, j e ne la crois
pas accep table, car elle n'explique pas la formali ou elu meme nombre
dans les autre
clialecte ; et en outrc, parce que toute l'analyse cst
ba ée sur la suppo iti on que
sale
signifi e «égal , également>> . Ainsi
satekon
signifi erait nécessairement égalité el e
!con,
et pui que ce clerni er
mol ne signifie ni main ,
ni
doigl , ni coté, il
'en uit que l'analyse
de Cuoq est parfa itement illusoire.
922
I-Iaupl,
Akkadisclie
etc., p. 151.
J
ensen,
J.llythen
wul
Epen, B erlin,
1901,
p.
331,
z.
46.
~·'"
L e:r;iqu e ile
hi
langue iroquoise, 11Iontrea1,
1 82, p. 69.