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Hízose con la mayor contraccion y las

resultas fueron ir captándose de tal modo

con el tiempo la voluntad de ÜLLANTAY,

quefprogresivamente le fueron encargadas

iguales comisiones, hasta que logró apo–

derarse de _la v9luntad del rey y de su

fuerza armada.

. Nada obraba ya ÜLLANTAY que no fuese

acordado con

RuMiñAHi.rr

. Fortificaciones

plazas militares y gobierno político, en

todo tenia el primer influjo y direccion.

Sobre este pié llegó el caso de que se rea–

lizase el matrimonio de una infanta, que

amaba mucho ÜLLANTAY.

Convino con su privado en el tiempo y

solemnidades con que debia hacerse, y pre–

fijado todo, se aprestaban unas fiestas de

grari aparato bajo la direccion de aquél.

Hacia tiempo que

Ru~nñAHUI

habia en–

tablado salir todas las tardes de paseo con

su indiecillo por las márganes del rio de

Yucay por rumbos distintos y fuera de

. muralbs. Esta costumbre que era pare él

estudiosa, no causaba ya novedad ni al

rey, ni a la corte.

Se acercaba el plazo de las bodas de la

infanta, y como ésta era la estacion que

veia como la única y más aparente para

realizar el plan que tanto le habia costado,

formó con la mayor reserva el QuiPu que

en la audiencia privada afreció al Inca y en

él le expuso

el

dia que principarian los fes–

tines; la-mucha embriaguez que eti ellos

habria; el número del ejército con que

debia venir en persona a atacar la plaza;

el sitio por donde debia estrecharlos más ;

que debia entrar por las altos de Lares para

excusar las fortificaciones de las emboca–

duras del rio : que precisamente habia de

Cela se fit avec la plus grande assiduité,

et les résultats finirent avec le temps par

capter de telle maniere la bienveillance

d'OLLANTAI, qu'il lui donna progressive–

ment la charge de semblables commissions,

jusqu'a ce qu'il fUt parvenu a s'emparer de

la volonté du roi et de la force armée.

Déja ÜLLANTAi ne faisait rien sans etre

d'accord avec <EIL-DE-PIERRE. Fortifica–

tions, places mi!itaires, gouvernement po–

litique, il avait partout la plus grande

influence et la direction. C'est sur ces entre–

faites que se célébrale mariage d'une infante

qu'OLLANTAi chérissait tendrement. ·

Il convint avec son favori des solennités

qui se feraient et de l'époque, et une fois

que tout fut fixé, on prépara, sous la d!–

rection d'<EIL-DE-PIERRE, des fetes de grand

apparat.

Il y avait un certain temps qu'<ErL-DE–

PIERRE s'était fait une habitude de sortir

toutes les apres-midi avec son petit ludien,

et de se promener sur les bords de la ri–

viere d'Yucay, par des routes diffétentes,

en dehors des murailles. Cette coututne,

qui, de sa part, était un artifice, ne causait

aucune surprise ni au roi, ni a

¡;

Cour.

Le jour du mariage de !'infante appro–

chait, et comme c'était l'occasion qui lui

paraissait la seule propice pour i'exécution

du plan qui lui avait tant couté, il composa

dans le plus grand secret le QuiPu qu'il

avait promis

a

!'Inca du Cuzco, dans son

audience particuliere, et dans lequel il lui

indiquait le jour oil les· festins commence–

raient, la grande ivresse qui devait en etre le

résultat, le nombre d'hommes qu'il devait

amener en personne pour attaquer la place,

l'endroit vers lequel il devait le plus pous–

ser ses gens, ies hauteurs de Lares par .

lesquelles il devait entrer pour éviter les