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se
viese siempre cuyo era aquel detestable
parche. Hizo enterrar vivas á las AcLLAS
de QurTó, mandando desgalgar peñascos
sobre ellas ip1putándoles por delito qe sa–
crílego adulterio el hecho de haberse reído
cuando le oyeron decir, relatando el traje
y
atrn.ad~ra
de los españoles, que
ést~s
encerraban los genitales en unas como pe–
queñas chozas. Estos y otros iguales proce–
dimientos caracterizaron á RIMiñAHUI el
Quiteño cuando por el contrario el · de
nuestro propósitq fué moderato, prudente
y extremadamente fiel á sus Incas.
Lo que suscintamente se ha dicho en los
anteriores parrafos de las leyes de la gen–
tilidad, conducentes al intento, parece bas–
tante para formar mejor idea del contenido
de la tradicion : para. principiar con ella
solo se agregará que á fin de metodizada,
no se valdrá el que escribe este papel de la
opinion del Dr Valdez que fija el hecho en
tiempo del reí TUPAc-INcA-YUPANQUI y lo·
pondrá en
el
reinado de un Inca sin desig–
narlo; pues la narracion general solo nom–
bra á ÜLLANTAY y á
Ru~uñAHUI.
toujours voir.
d.
qui appartenait cette hor–
rible peau de t3:mbour. Il fit ·enterrer vives
en les couvrant d'une masse de pierres,
les VIERGES o'ÉLITE de Qurro, leur im–
putant
a
sacrilége adultere d'avoir ri en
l'entendant dépeindre le costume et l'ar–
mure des Espagnols et dire qu'ils 'enfer–
maient leurs parties génitales dans des
especes de petits sacs. Ces actes et
d'autres du meme genre, caractérisent
l'CEri-DE-PIERRE de Quito, tandis qu'au
contraire, celui dont nous noils occupons
fut modéré, prudent et extremement fidele
a
ses Incas.
Ce qui a été succinctement dit dans
)es
paragraphes précédents sur les lois 'du
_tern,ps de l'idolatrie, en conduisant au
but, parait suf!isant pour donner une meil–
leure idée du contenu de la tradition : pour
en venir
a
celle-ci, on ajoútera seulement
que·pour y procéder avéc méth,ode, celui qui
écrit ceslignes nes'appuiera pas sur l'opinion
du DrValdes qui fixe l'événement au temps
du roi TouPAC-INcA-YouPANQUI, mais le
· supposera sous le regne d'un
In~a
·quel–
conque sáns le désigner, puisque
la
tradi–
tion générale nonune seulement ÜLLANTAI
et CErL-DE-PIERRE.