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169-

se

viese siempre cuyo era aquel detestable

parche. Hizo enterrar vivas á las AcLLAS

de QurTó, mandando desgalgar peñascos

sobre ellas ip1putándoles por delito qe sa–

crílego adulterio el hecho de haberse reído

cuando le oyeron decir, relatando el traje

y

atrn.ad

~ra

de los españoles, que

ést~s

encerraban los genitales en unas como pe–

queñas chozas. Estos y otros iguales proce–

dimientos caracterizaron á RIMiñAHUI el

Quiteño cuando por el contrario el · de

nuestro propósitq fué moderato, prudente

y extremadamente fiel á sus Incas.

Lo que suscintamente se ha dicho en los

anteriores parrafos de las leyes de la gen–

tilidad, conducentes al intento, parece bas–

tante para formar mejor idea del contenido

de la tradicion : para. principiar con ella

solo se agregará que á fin de metodizada,

no se valdrá el que escribe este papel de la

opinion del Dr Valdez que fija el hecho en

tiempo del reí TUPAc-INcA-YUPANQUI y lo·

pondrá en

el

reinado de un Inca sin desig–

narlo; pues la narracion general solo nom–

bra á ÜLLANTAY y á

Ru~uñAHUI.

toujours voir.

d.

qui appartenait cette hor–

rible peau de t3:mbour. Il fit ·enterrer vives

en les couvrant d'une masse de pierres,

les VIERGES o'ÉLITE de Qurro, leur im–

putant

a

sacrilége adultere d'avoir ri en

l'entendant dépeindre le costume et l'ar–

mure des Espagnols et dire qu'ils 'enfer–

maient leurs parties génitales dans des

especes de petits sacs. Ces actes et

d'autres du meme genre, caractérisent

l'CEri-DE-PIERRE de Quito, tandis qu'au

contraire, celui dont nous noils occupons

fut modéré, prudent et extremement fidele

a

ses Incas.

Ce qui a été succinctement dit dans

)es

paragraphes précédents sur les lois 'du

_tern,ps de l'idolatrie, en conduisant au

but, parait suf!isant pour donner une meil–

leure idée du contenu de la tradition : pour

en venir

a

celle-ci, on ajoútera seulement

que·pour y procéder avéc méth,ode, celui qui

écrit ceslignes nes'appuiera pas sur l'opinion

du DrValdes qui fixe l'événement au temps

du roi TouPAC-INcA-YouPANQUI, mais le

· supposera sous le regne d'un

In~a

·quel–

conque sáns le désigner, puisque

la

tradi–

tion générale nonune seulement ÜLLANTAI

et CErL-DE-PIERRE.