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LE T
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RE S
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TE S
)) c'est pourquoi je vous demande vptre
ami–
)Y
tié ' et vous fais savoiren mcme-temps que
»
notre puissan t Monarque voulant que son
»
pavillon soit replanté dans tous les
~n.,.
·»
droi ts o
u
il ha ttai t ci-devant, et que les
·~)
Mores nos ennemis nous ont
enlev.és,m'a
>>
ordonné de me transporter _de vos cütés.
>J
Dans peu je compte mettre ses OI'dres
a
'» .
exécution . .A.ussitot que je serai arriré
,
)) je ne manquerai pas de vous en douner
)>
avis et de m'aboucher avec vous; car
je
)) vous dirai que j'ai hieü des choses
a
vous
>>
communiquer touchant les intentio:hs de
~>
mon puissant Roi.
Si
vous voulez vous
;) joindre
a
moí' c
1
est-a-dire' vos forces aux
)>
rniennes, nous ferons des choses dont on. .
t>
ne pourra s'em.pecher de parler
éternel.le->>
ment. Geréran-Pandet, mon Procureur,
_ D _
qui est aupres de vous .·' .vous dira le reste.
'>
Il
est instruit de mes intentions. Je vous
~>
souhaite toujours beaucoup de réussite
) dans toutes vos entreprises, et un enchaine–
~)
ment de victoires qui
ne
puisse jamais
>.>
finir , etc,
>>
L'infortuné Chandasaeb ne fut pas des
derniers
a
apprendre les heureux succes des
Fran<;11Ís ses bons amis·, et il ne
manqu~
pas d'en féliciter M. Dupleix, le priant de
continuer d'honorer de sa protection ( ce
sont ses termes) sa femme et sa famille re ...
Úrées
a
Poñdichery. On ne rapporte point
~ci
sa lettre, non plus que toutes celles que
~M., Duplei4re~ut~ de
d,iver,s
e:udr~its a~ mh~1'