Previous Page  158 / 352 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 158 / 352 Next Page
Page Background

140

T..J ~ TT'RES É~LPAN'FES

1Uont.jns11n

concluisait

en

li e u

de

sureté ,

fut en1c,-é; 1e

Perc

ne

fut point dépoui1lé,

·Plr~Ís rr ~u t

seulemcnt un coup de sabre

_sur les reins

ou

le ventré , que sa ceinture

~t

ses

h abits

parerent. Ainsi moyennarÚ

h

~1

i

t

pago

des

et son com·e ' .

011

le

laissa

aller. Cette Mission a peu souffert de l'ar.,

.mée de

Nis ~r~,

qui gardait une

exac~e

clisci–

~line

:t

ne

pillait

g_uere que sur les

Pay$

ennem1s.

C'~st

le Révérend

Per~

M:}ttin ,

arrivé

:l~e-ureusemeut

¡e

r3,

qui

a

élit

cec'~

LETTRE

.fJu

P ere

T1·unbloy

,

fr.lissionnaire dans

l~,

Roy~tunw

de

Canzate

_,

a

JY{onsieur

**~~

L·1NTÉRET ,

JVIonsÍeur ,

que

vous da1gne<V

prendre

~

ce

qui

me regarcle. , me fa it une

'}oi de

VOUS

ins~ruire d~·

ce

ql,ll

s'cst passé.

dans l'Inde

depxüs

que la

Providence m'a

~onduit

dans cette lVlission.

Ce

fut

en

17

34

que

j'y

arri va i. A

la

vue

des

~ravaux

et du gen

re

de vie d es Nlissionnaires,

j~-

crus

y

terminer

bit!utot mes jours. Tout ce

qp.'on peut se figurer de pénihle n'est rien

?n comparaiso n des dangers, des fat.igues ,

'(1 es

chaleurs

extremes

et de mille

incommo–

dit~s

ordinaires dans. ces Contrées .

Ma.is

la

f

.

~

;.

.

:-

.

{

. .