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T..J ~ TT'RES É~LPAN'FES
1Uont.jns11n
concluisait
en
li e u
de
sureté ,
fut en1c,-é; 1e
Perc
ne
fut point dépoui1lé,
·Plr~Ís rr ~u t
seulemcnt un coup de sabre
_sur les reins
ou
le ventré , que sa ceinture
~t
ses
h abits
parerent. Ainsi moyennarÚ
h
~1
i
t
pago
des
et son com·e ' .
011
le
laissa
aller. Cette Mission a peu souffert de l'ar.,
.mée de
Nis ~r~,
qui gardait une
exac~e
clisci–
~line
:t
ne
pillait
g_uere que sur les
Pay$
ennem1s.
C'~st
le Révérend
Per~
M:}ttin ,
arrivé
:l~e-ureusemeut
¡e
r3,
qui
a
élit
cec'~
LETTRE
.fJu
P ere
T1·unbloy
,
fr.lissionnaire dans
l~,
Roy~tunw
de
Canzate
_,
a
JY{onsieur
**~~
L·1NTÉRET ,
JVIonsÍeur ,
que
vous da1gne<V
prendre
~
ce
qui
me regarcle. , me fa it une
'}oi de
VOUS
ins~ruire d~·
ce
ql,ll
s'cst passé.
dans l'Inde
depxüs
que la
Providence m'a
~onduit
dans cette lVlission.
Ce
fut
en
17
34
que
j'y
arri va i. A
la
vue
des
~ravaux
et du gen
re
de vie d es Nlissionnaires,
j~-
crus
y
terminer
bit!utot mes jours. Tout ce
qp.'on peut se figurer de pénihle n'est rien
?n comparaiso n des dangers, des fat.igues ,
'(1 es
chaleurs
extremes
et de mille
incommo–
dit~s
ordinaires dans. ces Contrées .
Ma.isla
f
.
~
;.
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:-
.
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