ET CUitU:.l7SES .
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de vous instruirc de
to ut. ce qui
sera
venu
a
Síl
connaissance.
Pou
¡·
m oi je
me
born e
a
ce
petit dé tail
~
qui.
vou s affiigc ra
sR n s
doute.
1\i:ris
si' vo us
e
tes
notre
mcr~'
l\1adamc' n'est-
11
pas ju ste que vos enfans vous nwnd ent
l enr situatíon , ponr qu e vous cornpatissicz
h lcurs mi se rcs et que vous les p arta giez avec
eux
l
n
n 'es t pas n écess::lire· de vous dire
combien nous avons b eso]n du secours de
YOS
priercs et ele celles
el~
toutes les saintes ames
de vo tre con nai ssa n cc. Ce si mp le exposé vous
}e
fe ra assez conn:1itre. -C <.>pen d <;mt je puis
vous assurc r, l\1adame, qu e voilii la moindre
de mes peines; l'austérité de la
vie,
qu el qu e
dure qu'elle soit, to us ces malbeurs , 'quel–
que grands qu'ils soient , ne sont rien r n
c.omparaison d'autre.s croi x que nous avo ns
a
p orter ici.
DnignPz
done vous souvenir de
nous bien spéc ialemcn t d evan t le S eigne ur,
et
de moi en particu lier, qui suis avee le
j!lus
profond respec t, etc.
P, S.
L~envie
de vous dire les choses
co.mme eHes sont
J
me fait ajouter ces denx
mots , qui seront comme le coerectif
h.
ce
queje vous ai dit du pays Tamoul. Les virlgt
pagodes volées vers Carreponcly, opt
été
rcn–
dues ,
a
la réserve de cinq. L 'Eglise d' A ti ...
pa ca m et la mai son du.
MissiopJ?~Iire,
ne
furent point pillées par l'armée d e Ni san ,
qui n'y entra point ; mais un granel coíTre
remp)i des ornemens, et des
ruruhl e,s les–
'plus
précieux
~e
cette Eslise, que le
Pere·
Ton;u~_
.J(lfT.
Q