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suc

tl CCESSJO'

f. f.

(en A./lronomú.)

la

JIlCUjJioh.

des fignes , eíl: I'ordre.dans leq\.lel ils fe {uivent ,

&

{uivant lequel le {oleJl

y

entre

(ucccelIivement.On

appelle auffi cene

[ uCCfjJion,

ordre des íignes , & en

la in

con(et¡uentia.

f/

oyt{

J •-.

et ordre eíl: expri–

dans le deux ers techni ues qui fuiven t.

um aritS

,

taurus

,

gtmini, caneer ,

ÜO

irgo,

Líbraqut ,[corpius, ar iunens , cap", amphora ,PiJctS.

uand une p anete eíl: direae , on dit qu elle va

fuiva nt lordre

laJuccifJion

d fignes ,

0 \.1

in con–

fiquentia ,

c eíl:-a-di re ,

d'aries

en

tallfltS,

&c. Q uand

elle eíl: retrograde , on

~r

qu'elle a contre I'Qrdre

la

[ucujJion

des figne ou

in

a nt/!.C

denua,

c'eíl:-a–

dire , de

gemini

en

[aurus ,

enfui te en

aries

, &c.

r oye{

IR

T E , R ÉT ROGR DÉ ,

&c.

Chanzbers.(O)

~ u

.

10

,(lurifprlld.)

en général, eíl: la ma-

niere dont quefqu'un entre n

la

place d'un autre ,

o u r ccuille fes bien & fe droits avec leurs charges.

n (uc cde

a

une per(onn

ivante

0\.1

décédée

an .. un officc , dans un b ' né/lce.

n pe It au([i (ucce: er au:x biens , droits

&

char–

el

une per onne i ante, foi t par donarion, vente,

échangc, tranfport fubrogation ou autrement.

Mais I'o n ntend plus rd inairement par le terme

e

fucajJion,

la maniere dont les biens , droits

charge d'u n d ' fun t fo nt tranfmis

a

(es héritiers ou

1

\ga ires.

.

n nte nd auffi par

Jllcc~{!ion

0\.1

ft¿rédilé ,

la mafre

oc

bien , dr it

harges qu une per(onne lai!le

apre (a (.lOrt.

e

[Il' ''ffions

aux biens

&

droits d un défunt (ont

légitim

1I

tdlamcntairc ; on appelle l ' gitimes ,

u

tlb

illlcf/at

elles qui déri ent de la loi {eule ;

&

t

flamelltaire celle qui fonr fond ' s {ur le t íl:a–

cm du dl unto

n appelle

h/rititr

cclui au i recuei lle.

llneJucce.f- •

Jion

(.'n crtu de la l i,

II

qui eíl: in llitu ' h •ritier par

r

11.

ro nf.

n app lle

L~gatairt

ellli qui recueille

fu

cr(finll

n tOut Ol! n partie par teíl:ament;

a

itr de l gs ' non

a

rirre d iníl:itution d'h '-

suc

597

L'héritier qui cra'nt que la

Juceeffum

ne lui [oir

plus

o_~éreu{e

que prof1table a deme moyen de en

gara nur ' I un eíl: de renon r

el

¡afoce (Jion ;

l autr

de raccepter par b .né/lce dOin -entaire: o

'

L addition pure

úmp

e d h

~rédit '

, obil e in '_

/l ~ men~oaux

det.tes; I'addi_tion en acceptation par bé–

ne/lce d II1ventaJre , n obl ge aux dene que ju qu'–

concurrence de l'émolument.

_ Le deHe fe e1ivifent entr les héritier ,

a

pro or–

tlOn de la pan que chacun prend dans le biens.

Le biens d

uneJitce.l/ion

ne s eiliment point que

dédu ion faite de dette .

Le partage de biens de la

Ja ce/flon

{e

it par

fouches ou par tete - par fOllche ,lor{quoil

a li u

él

la repr '{entation; par tete , lor{qu il n

y

a point h '–

ritier dan le cas de la repréfentation.

n y

a troi odre diff,' ren pour les

Jucce.fJions

1'..

gitimes ou

ab inteJlat ,

c lui des enrnns

T

autres der.

cendans; celui de a{cenda n , & cellli d collaté.

{ceurs iennent par r -

'iennent {elon I ur pro

i-