CIR
'eíl par cene man uvre que ces infe8es caufcnt
une grande demangeaifon,
des pufutles au quel–
les on a auffi donné le nom de
ciron.
11
y
a auffi de
ces infefles dans la cire
• dans les omages 9ui ont
t gardés pendant long·tcms.
Yoy<{ a8. uud1t. ann.
z 6:
,2.
p.
3 '7·
Mouffct.
chuu. inflO. Yoyc;:
IRO ,
,
(
Muicc.
) ;
v~
'{
auffi
L'<
E
T
•
(
1
)
1 Ro N,
(Mcd.)
il s'ouvrc quelquefois pa1Tagc
entre la peau
•
1
épiderme ,
&
il caufe alors d
demangeaifons inconunodes: on le rcnconrrc quel–
quefois dans les pufutles de la galle,
&
dans e Ues
qui font occaúonnées par la vérolc; on n a meme
trouvé dans les dents cariées. Les r medcs huileux,
le foufre,
&
toutes les odeurs fones ennemies des
infe es en général, d tntifent cene in ommode ver–
mine.
Leuwenoeck a obfervé que la vapeur de la noix
mufcade que l'on faifoit bruler, les fuffoquoit trcs–
promptement.
11
y
en a une aurre efpece en Amérique nommée
nigas,
qtú eíl plus incommode encare que le
ciron
de notre
~ays.
Yoyt{
NI GAS.
Riegcr.
(b)
•
IRQUE, f. m. (
Hijl.
anc.?
grand batimcnt
toCtjours plus long que large , ou
1
on donnoit diffé–
rens fpeflacl es: un des bouts , le plu étroit ,
toit
terminé en ligne droire; l'autre étoit arrondi en de–
mi-cercle; les deux
COl ' S
qui partoient des extrémi–
tés de la face droite,
&
qui alloient rencontrer les
deux extrémités de la fa ce circulaire, étoient
1
s
plus longs;
ils
fervoient de bafe ¡\des fiéges ou gra–
dins placés en amphithéatre pour les (pcflareurs; la
face droire
&
la
plus étroire
toit compofée de dou–
z.e portiques pour les chevaux
&
pour les chars ; on
les appelloit
carcera;
111
il y avoit une Ligne blan–
che d'ou les chevaux commenc;:oient leurs courfes.
Aux quatre angles du
cirquc,
fur le pourrour des
fa:–
ces,
il
y
avoit ordinairemcnt quatre corps de b
u–
mens quarrés, dont le haur ét ir hargé de trophées ;
quelqucfois il y en a voit trois autres dans le milieu
d e ce pourtour, qu'on appelloit
mcniana.
Le milieu
de l'efpace renfermé entre les quatre fac;:ades dont
nous venons de parler, étoir occupé par un •affif
d'une mac;:onnerie rres-forte, de douz.e piés d'épaif–
fcur fur
fLX
de baur; on l'appdloit
./Pina cir
i.
U
y
avoit fur la
¡pina
des autels , des ob lifques , des
pyramidcs , des ílarues ,
&
des tours coniques :
quelquefois les tours coniqnes étoient élevées au
deux e:a:tr mités fur des maffi fs de pierre quarrés,
&
féparés par un petit inrervalle de la
./Pina ,
en fone
qu'elles partal?eoient chacun de efpa es des exrr '–
mirés de la
foma
aux fac;:ades int rieures du
cirque
en
deux parties, dont la plus grande de b aucoup étoit
entre la fac;:ade
&
les tours. Au-deffous des gradins
en ampbithéatre placés fur les fac;:ades du
cirque
on avoit creuJi un large folfé rempli d'cau,
&
deíli–
n.!
a
empccher les b tes de s'élancer fur les (pe a–
reurs ; ce
to!Té
s'appelloir
cuript.
Les jeux , les com–
bats l
courfes
&c.
C.
failoicnt dan l'cfpace om–
pris de !OUt coto! entre l'cunpe
&
la
pind CÍr
l;
cet
pace s'appelloir
arc.a.
A l'e tc!rieur le
árquc
ctott
nvironné de
olonnades, de galeñes d'c!difices,
de
bouúques de tout
Cortes de marcbands ,
' de
lieux pubücs.
bltimens qu'on appelloit
cir.¡uu
Rome ,
s' appe.lloient en Grece
lrippodromu. V.
HI PPODRO·
111
•
o en a1rribue lín!brution
a
Rom
Romu–
lus,
qui
les appeUa
confoaltd,
n m
pri~
de
anfi
,
dien des con(cih que qu lques-uns
e
nfond nt
a ce
Ncp une
l' ·
qu
fue.
jeux qui e cclc:b
1 01
dans
1
cir.¡uu
(e
fa.ifoiem aupara'
am
en platn
ampa–
gne
enCuite dan de gr.mch endos
de
bot>
pu•s
dan~
ca lupcrbes b;, m ns dont now.
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n~ parler.n<.dd>roit dans les
r.¡u.u
des courf
...
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CIR