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MEM

d'infhnt oii notre tempérament, nos psllions

&

notre

c!tat n'occafionnem en nous quelques-unes de ces perce–

ptions, que

j'app~lle

fonJammtalu .

Nous

y

réuffirions

avcc plus ou moins de facilité,

il

proportion que les

iMes que nous voudrions nous rctracer, ticndroient

it

un plus grand nombre de bcfoins,

&

y

tiendroicnt plus

immédiatemem.

Les li1ppofitions que je viens de faire oc font pas gra–

tuites. ]'eh

~ppelle

a

l'expériencc'

&

je fuis perfuadé

que chacun remarquera qu'il nc cherche

a

fe rdfouvc–

nir d'une chofe que par le rappon qu'dle a aux circon–

rlanccs oii il fe trouvc,

&

qu'll

y

réuffit d'aul3nt plus

facilement qoc les circonfbnces fom en grand nombre,

ou qu'élles ont avec elle une liaifon plus immédiate.

L'attemion que nous donnons

il

une ¡¡erception qui nons

atfeae aauellement, noos en rappelle le figne ; celui-ci

~n

rappelle d'autres, avec lcfquels il a quelque rapport;

ces derniers réveill<llt les idées auxquelle1 ils font

1

iés;

ces idécs retracent d'autres fignes ou d'autres idécs,

&

:tinfi fucceffi

vement

.

Je fi1ppofe que quclqu'un me fait une difficulté,

a

Jaquelle je ne fais dans le moment de quelle mankre fa–

risfaire. 11 erl cenain que, fi elle n'efl pa1 folidc, elle

doit elle-me me m'indiquer ma réponfe. Je m'applique

dO~C

S

en confidérer tOUteS les plrtÍCS ,

&

j'en

t!OUVC

qUJ étant liécs avcc quelques-uncs des idécs qui enrrent

dsns la fulut1on que je cherche, oc manqucnt pas de

les révcillcr. Cclles-ci, par

l'é~roite

liaifon qu'dlcs om

avec les autres

1

les retrac<nt fucceffi vemem,

&

jc vois

enfin tout ce que j'ai

a

répundre.

D 'autres excmples fe

pr~fenrcront

en quamité

a

ceux

qoi v udrollt rcmarqucr ce qui arrive dans les cércles.

A

~ce

quelque rapidité que

la converf:ttinn chan¡;e de

fujet, celui qui confcrve

Con

fang-froid

&

qui connnlt

un peu le caraélere de ceux qui parlent, vo1t tOUJ9JrS

(1)

!-'illuftre l\tueur_ Je cet

:~nicle

en f-1ifant

le ric:be

T.:~bleau

qu'il a

fau de

la

m~moue

n:uurclle , fc:mble "voir

nac~

celui de

ll

me·

?"oi~e.

:mificiel!e, il cft

domrn:~ge

qu'a)':'lnt le pir.ceau

i

la

mai11,

11

n att . p.u fa1t ce. fcconJ ', en nou' mcuant

lou•

In

yen'< u ait

par tr:ut le• .avantilgc• qu1 en refuhent,

&

tl~s

rcgl..:t pr:ci(c,,

po_ur

Y

p.uvc.nlr ..

C'¡;:o(}

un vuide qu'on :hHoit

~Jefirc!

qu'i1

di.•

rem·

r t.

tle

(3

mllft'

en

cenah qne la mcmoirc n:uurelle ne

r~uroit

("'"

le fccouu de l'ardficitllc birc ces

C'OUpt

de prnJigcs, qui mcr.

t~nt

une

fi

gr;1nde

Ji~rcnce

enu e let opbations de l'em"l!nJement;

e

dt

pour cela. qut: quc:lques un• la qu11if;ant, je ne dis pas de fi•lc

feulem;nt, ma1s de

filie

la plus digne

Ju

·(,1votr, lui donnerent

1

J~1.:

mre le premier

nng

parmi les

facuh~s

de l'ame , ce qni

fh

dlf_C

a

d'~UtfCI

qu'eJic

étoit la mere

0

&

(on

u(.lge

le pere

Je b

Phllofophte

le• l'oCcet :mrit-uent J.1ns leuu

fi

ioq' la

n~Hfo~nce

Jes

mufc-s

1

Jn:mrr

&

a

la

m~moire,

app(lléc p:n le

grce EfioJ,

Mn~

m~fin.t .

Les

~r.1nds h~mmc1

lu1 omt 11.m•

Jonné

Jc1

~r.1nJ:~

Jeoo.

~lnJtlons .

Ctréron

1

.\flpclle

b.

rorce

d iVÍ l C

o

les

UDS

le trdor d:

1

,homme, d':lutrca I'Occan , cc:ux ci le ciel , ccux

U.

en

fin

la divi–

nu~

bum:1loe ,

C'cft

une eh~(

e furprenante

&

u

re qu'qne grande m!!moirl!.

Aoffi

~n

coute.t.tl

be,1UC011p de

peine

~

qui

VCtlt

l':tvoir ,

&

qui

la

roae(l

e clt rt'g,u

J4! comroe un ho1nme ;\ proJige•, tcl fut

Miui–

dat~ .

(u\Vant le temoJgn:tge ,Je l'line.

o•inc, d',Ault Gdle ,

&

de

rluhcur•. i\UHCS ·

11

eotretcnoit p:tr lui

mérne,

&

fttu

Ínlerprctc

une

pletne

c~me_fpondaoc~

:avec vingt ..te

u

:e

ni\tion•, q\li lroicnt

fo!•s

fa

liOmtntUton , en fe fcrvant

de

ICt\fl propres langagcs .

C•~f!e

Amba(f'.ldrur de

l'irrhu, connl\t ..tcux

jours :lpre,

qu'

1 fut

Arnvé:

:t

Rome. tou' le_s Scnareuu Romain•,

&:

le• apprlla

p;u

Jeun

noma. Sénéque

r~pctolt

drux mille nofr'\s avcc le

mc!m: ordre qu un

~~tre

les _lu1 avou

diu,

&

il

recitoit deux cent ver•

de:

rebours

lfU•

Roa des

l)erft1 harat"lgua"t fon armée compofée de

rrent~

mili.:~

homrnes nomma rous

fí:s

fohJats

p;~r

leun propret noros. lu–

:rn

~

1

1'

100

ht

1.1

m~me

chofe en

p:arlant ao Peuple Roma•n.

Thc~

oc1e en

flt

auraot en

portJ.nt

la p.trole

a

fts

ci~oycns

• on rae.

:~.ntc

dau

1

ffi

Je nos jouu

de' chof

e_, furpren:ante• llc je.J.n Pie de l.a

'.: 311

• 0

e •

odd'~n.

Jeuae Cor(e ,

6c

Je Magli.1b:cchi, qua avoitnt une

racrnolre rr

tgteQ(e.

,. 1Ccs.

~xe.m¡llc•

&

une

in6nit~

d'autret p.:noiuoient incroyablea

1 1

d

0

c:ou:nc

éu.y~.

de .tcmoign:ag

authcntiqne

&

dignes de foi;

:"

de~e.

opp.tnt ntolf\moma

«t

prodigu,

it

ne p;1roit p•• qu' on

/

o~

ve

1.:~ Gloir~

1

1:~

fcnle

m~mo1re

nature.llc, m:tis enrore

a

q~~t ,

~n.t

o;

a

1

~mbue

l'invcntion

:\ SimoniJe

~lelicon

PoC!te

Liri~

d'un

af.:n~~t

/

tcro~lc!'lcnt

1l'unc m.1ifon

o

q~i :uri~"

dan' Jc tems

facri

S

q

on

t

f:ufon • T\lut fut en deforJrc:, let convive.t

m

3 (.

il

le•

t

;ec:n~~rrc:l

olOt

l'or~rc . ~vec

lequel ils

ét~ien,t

affi.t

a

Table..

::~t;n

d

1

t. tous • quolqac deme.mbrés

&

eouereroent

ti

figuré•

pe

ion eru cuÍ

fture

'.lonacr une leruhurc coove.nable . Me.uoJorc ·ce:

ueellentt trc'

premtc~

. ,rerfcttionncr cc

t ar

t,

e<

Ci,éron

en

fir un

re

LAurem"~~ :IIQ.umull~n,

.s4nc!que .

\

'c.tr

~rque

• k.wenne • le re.

"Ticu

d

&'

e.~ume

e l

ordr~

de

' t- tm1 m

e• , C6mc ltof<liu

1

du

l'cru~:r ~r;n

.avant lul

~ombt'rch

J.lt' \f.ue•

Puhlitio •

~bt\..oolo

de.

~

llre¿t

:.uffi~~~~ ~1onlc?n '

l'orra ,

Gefu ald o

,

&

plufienrc autrcs,

t-'r~ll

tort

1 l;

t,

IY~U·

U;lltés • je .ne

pro:te.ndt

pu ncaQIOQÍOJ f.lite

p.nlé avee

IJ.fU

~ Olr~

_due

i

, Anft ote , &. l

l'l:non ,

qui

en onr

tc:nt

l

Ico

r

{i

..t eruJmon,

d

aut.tM

plus que nos mn ternes remon.

Poas

.

~Urce

&.

pu f.:nt

dan5

ce• e:\UX pretitufet

c.iralc

rb~~~h~ J~ v~to:,

dirc

quch¡ue.

c~ofc

de

pl~u

tu;

cene prin·

(o?rCc-t divine.s

d:

{i

~ntcndcm~nt

o

en

f Utf.tnt

parct~lemen

r_ d 1 n

•, ce.

f'u¡et, Je l'e.nwi(l

c~en~e'

k

de

\u~terea,

ce

'\IU

con\

'te.nt

.a ce

«

qu 1

'~R,rde ,se;?'~

O\l•

Jcux po•nu Jc

v~c,

le prc:

mter

pour

tcur , c'cft.

¡

..t' e

~~~Í:e

le. (econJ ponr ce qui concrrne

l'on.

b

dircllioo

de.uf

..

e~:;! r:::o~ee.

;f&imo

de •ie,

&.

a!ui·ci pour

MEM

par quelle liaiCon d'idt.'.s on parTe d'one matiere

il

une

aotre. j'ai done droit de conclure que le pouvoir de

réveiltcr nos perceptions, leurs noms ou lcurs circon–

rlances, viem uniquemcm de la liaifon que l'auention a

mi

le

entre ce> choCes,

.&

les befoins auxqoels ellet fe

rapporrent . D étruiCe-z.

cette liaiCon, vous détruirc1. l'i–

magination

&

la

mlm•cre

.

Le pouvoir de

l1er nos idées a

fes

inconvéniens

1

comme fes avanta

0

es . Pour les faire sppercevoir fenú–

blement, je fuppofe deux hummes; l'on ch<-z. qui les

idées

11

1

m jamais

pQ

fe liec; l'autre chez qui elles fe

l~em

av

tan! de facilité

&

tanr de force, qu'il n'efl

plus

le maltre de les féparer. Le premier Ceroit fans

imagination

&

fans

mlmoire,

il [eroit ab[olumept incl–

pable de ré6exion, ce [eroit un imbécil!e. Le fecond

auroit trop de

mlmoin

&

trop d'imaginstion ; il auroil:

3 peine l'exercice de fa ré6exion

1

ce [eroit un fou . En–

tre ces deux exces

1

on pouro;t foppofer un mil ieu, oii

le trop

d'ima~ination

&

de

mlmoire

ne nuiroit pss

a

la

folidité de l'ef¡>rit,

&

oii le tmp p: u ne nuicoit pas

a

fes agrémens.

Peut -~tre

ce milieu efl-il li difficile, qu e

les plu grands génits ne s'y

[onr

encare trou vés qu'i

peu-pres.

~e

Ion que dillerens cCprits s'en écarren t

1

&

tendent vers les extrémités O?pofées, ils onr des qua–

lités pl us ou moin>

in~ompatibles,

puifqu'elks doivem

plus ou moins participer aux extrémités qui s'excluenr

t,lut-i·fait. Ainfi ceox qui le rapprochem

d~ l'ex~r<.!mi­

té o

u

l'rmagmation

&

la

·n¡imoire

dominen!' perd<ot

a

prop rtion des qualité> qui rendent nn efprit jufle , con–

féquent

&

méthoJ¡qu~;

&

ceux qui fe

rapprochcnt de

l'autre es¡cémité

1

perdcnt dnns la méme proporrion

d~

qoalité

qui coocoorem

a

l'agrémenr. Le, prem1ers

éc~l­

vetlt avec plu1 de ¡¡.race

1

les aurce

a vec plu

de fu ue

&

de pcofundeur. Lifcz

l'e.fJtli fur l'origint

dn

colmoif–

(ancu humainu ,

d'oii ces réQeiions fom tirées.

(

1 )

M¡::-

Le. rcgi'"De. de vie qu'on fe Joit pre(crire, pour. avoir une. fer!flc

&:

b~u

reulc

mémoire, paroh d'aur:tnt plus neceffllfC,

~u'

die

re.11J1.:

d.aru la

p.mi.

.: la vlu.t (ragilc

8c

ht plus

Mlic~te

t!e l'homme.

S~néqo~

entr'rn

mes n

mu

l'arprcnd affirmativc:rne

lt

daru

la prdacc

d-= fon

Jivre de• declamatiq:u . lct

G:tllinici~ns

marchant fnr

le~

traces

d~•

ArHlo~t'lieieru

,

&.

,les

¡>J:uonactens , qui

di_lhn_gucr~nt

. les

t

ro~•

oper;

uioru

6

vam~cs

dans le ccrvean,

(:l'f'Oir

tmlgtna_uQn ,

r.ll•

(o,ne

;rne.nc

,

&

mémoire.,

pret~n

lire"t que

c~uc.

Jcrn1ere

r

ece

..

vo'r

ron o

1élion

d'qn

efprit pur

&

fubtil ,

ils

,, J,quer:nt en. coa–

f.:<~uence

J'une maniere lliftinac, les moyent

pro¡Jrc~

• .done

•1

f..tl•

lou

fe

f:ryir, pour con(crvcr

&

(-acílitcr les opcrar¡on! de

cec

d prh, quoi qu'il fott trC.• difficilc de péneuer d .ms Jcs plu

&.

re–

p!is

tn,;n;.

de-

1'0

\,(cur labirinrhe Jn eh:( humltn .

po~r ~n

é'purer

les befo

in~;

il (emblc eepenJant,

&.

on

t~tH

mbne J 01Uurer •

9ae

leurs expeJiens co

11

tribucnt la plu•-p:Hr

l

pcrfcaaon 1er

1~

ml!t_nonc ·

C'ell done Jan' les obfc:rvations Pbifiques , 'lu'o

o .dou

put~er

EG

fonJer le regime de yje

0

qui (ert

a

torme.r la pr,c

:mte.re

l•:trt,IC: de

J:a

m~moire

.3rtlficielle. Commc cene

fo1cult~

de

1

clpm d

e

1

hom–

m!: a

pcut

~tre

uqe phu

~troite

rehtiQn, que toutes

les

?4cres • a•ec

les m'luvcmens

de

no• 6bres, oa efptiu vnlus: •. qu1 .rervem.

:~u

co'llmerce de l'ame

&

du corp

s J>(nd;m

t leur un1on_.

d

efi

at_f~ .

de comprc:ndre de qucl .3Vantage

pe.ut-C.tr

~

3_

1:1

m~

rnouc ~~

{Cgtrn:

de vie,

&

d'cn deduire., ou au

rnoins c

onJe

~ur.cr"

~es r~gle.i

• qut

fcrvt:nr ;\ Jly f.1ire.

pln' ,

ou moins contri!Juer

: 11

enfuu ..t_onc:

de

ce principe que, plut un regime de \'Íe (era

pro~re ~

l{eltct nos

tibres ,

rlu•

Íl

f~:ra

U\Íie

8c

:tnnt:tgeux

i

la ml!rnotre •

ífi

.

• Ainfi

fo~eh:Jint

que

le.

froiJ

~

l'humiJ

ex,emrs font

:111

nQI•

fible• ,

ttnc

le defaut d'humeuu

&

le

ch;~uJ

vif

&

trop ..trdent •

c.;:ux

ci

roar la trop fortc contra/:\.ion.

&

ccu"t

li

p.tr

la

tro~

gran–

de J il:a . tion dc.s

fihrcs

~u'11J

OCC;"Jfionnent;

rac

b.ID

t •

dts-JC •

que

c~s

re.\'olufíons nous caufent un dcraogcrocnt

c~nliJHable

• ccue

connoiOance dcvroit naturellemenc nous

rom r.

ce femblc •

3

ua

rcgime Je vie. reglé

&.

confor

me¡\ notro: tl:m

reram

cut,

&

amo:

dcrer COD(Co}Uemmen; ces

er.ca.

O!J

def.tUU de

O.lt"

rc •

11

e(\

\'f3l

qnc l'air que: nous refpuo

nJ. &

lu

in8uences qn

i nou

,

3ff'~llcnt te~

vcnt

y

coouihucr be.itucoop , a1nli

'l"e

la l>o1Ron,

le

fommet •

la

courfc. Cependu,t lorfqu'on tient (es

fibr~_s J.1~1

uo

mou:a.~vei~6

continud q_ui

les

emp~che

Je tomber d;tn' lmlé\to.n • ceuc

1

fait des VtVC'

impreffion~

&

acquicrt

i

la mémotrC Une nouvel_e

f.lcilité . Je n'inlinerai poinr ici (ur le ron que

f

ait

le uop domut

OU le

~rop

VCiller;

i

qua clt plus (aJuuire d

'o1.Vo,

if

b

téiC ..:orerte

en dorrp.ant ,

&

de dormir

la téte haute.: un

c

b~cu~

pcut

:e

rl~Í

t;lc:r

~

Ce\ égoud (nr

les

prinoipe.s

tic

phtfiqne •.

&

YOif CC.

(J.q

~convient le mie:ux . Je dir:ti feulemt:nt qu'on dolt

p;¡r

Je• .3

emg

1

nJ!reux de vertu a(J'oupir

&

heindre

c~ucref!'ent

le: feu d&

~.~,:!~r

\"iolentes

en

leur oppof:tnt unt bo1.rrterc

tnacc:cllible •

.

~

J

1

conue

);$

atmqu.e.t des c_raintes

&

ch:tgrin~ t:~ceffif•_.

c:¡ut

~~r

e;•

enncrnU mortth,

lk

les uran! de

la

mémotre, re.lauvemffi éf

cho(i

~ni

(on'

hran¡:;cres a de (cmblablc! paffiont .

8c

1

3

.e

lelO~~:

comme

!1

c{l aif'é

de

comprcl\dre

(Q!

ce qu• a

éri du

·:;,nantte•

fent 3(ttcle pour prcove de ce qot

y

cft :n•o1.n:é con

\'U~

es

c.au

(:-• des aéleJ de no

u

e

m~moire

d

la me.•

Mai

nteno

tn~ ro~r

dire.

q~el'\ue ~boFe

.tve.c

1~

?ra'e:tt:

a~

difiin-

thode

de:

dutgcr

la

memotre .noficaclle.

qcn •

app.

rar

ha

aelle

dion me.mone

!~ale,

j'en former:ai

1a

(econde

p.unc.

(a.v~lf

le

¡¡

fe prefe.nte deux r.!6cxions, qui lui

paro•lfe~~ PJ:~f'~~·

qui

font

fouvenir

&.

l'ouhli.

dco1:

chofe• éga.lement

a ec :nr

'

le fujet de ma divi(ion •

e fauroi.s qae pro•

Pour fe (ouvenir (a.cilcment

des

cb~(a'

JC

ni

en

Ju

1

at'C'C

le

pofer en

¡;~néral

de multiplier

&::

fo~lle~·c:~.

p

~;fqve ~

cea

roinu

fccours de

la

vQe vrate ou

foppofc!e •

JbC

(¡'

rc'mbJc ou d.., cho.-

d'appu.i

qui

fi~:e.¡u

l'cnc:haincm<Dt

des e

0

u en

~

fct