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.

\

MAC

cace s'obfervoit le vingt-cinquiemc jour de lcur mois de

Cisleu. La premierc de ces lettres en de l'an

169

de

!'ere des Séleucides, c'eCl-?·dire, de l'an 144 avam

J.

C.

&

contteOt les neuf prem1ers verfets du premier cJ>api–

tre. La feconde en de l'an

t88

de la mc'!me ere ou

de l'an

ll.f

av•nt

]

. C.

&

commence nu verfet ,; du

j.

ch.

&

tinit au

18

du íitivant.

L 'une

&

l'autre de ces lettres paroilfent fuppofécs ·

il

n'in1porte

oU le

compilateur

l.es

:1

priíts.

La

premidr;

appelle tri:s-mal a,propo. la

f~te

de la dédicace' la tete

d es

ta~crnaclcs d~

mois de Cisleu .

C>r

quojqu'¡ls

pul~

fent

b1c1~

porter a lfl tl)a!Jl quelque verdure pour

tn.u–

que de 10ic daos cette folemnité, ils ne pouvoient pas

nu creur de

l'~iver,

coucher dans des cabinets de ver–

dure, COtntne

Oll

fªifait

a

la

f~te

des tabernacles . )Js

n"~uroient

pas

m.~me

trouvé atfe1.. de

verdur~

pour en

faiTe. ,Pouo la feconde lettre, outre qu'elle en écrite

a

u

nom de judas

Msu<hrzbée,

mort il y avoit alors fre¡ue–

llx

ans, elle coo1ient tant de fables

&

de puérilités, qu'il

en

im~offibl¡:

qu'elle ait été écrite par le grnud confe1l

des ]UifS, atl'en¡blé

a

jerufale m pr¡or fOute le nalÍan,

COITII1Je

Oll

le prétend.

e

1).

Ce .qui

lP,it

dans ce chapi¡re, aprcs cctte feconde let–

tre\

e~

la préfi<ce de l'auteur de

1

1

abr.é,;6 de l'hi!loire

d e

J alo~},

q1.1i

comntenct au r. verfet du

iij.

chapirre,

&

conpuu-:: Jllfqu'au

37 du dcrnier. Les deux

verfcts

qui Cnh·ent font la cooclnOon de l'auteur. L e Jafon de

l'hitloif!! , dont pre[que tour ce

lh·re

ne comicnt q:te

1'-abregé! é¡oit

!'"

juif bellénille de Cyreoc, de(ceodn de

ceu~

Qlll

y

ayo1e~t

été envoyés pnr Ptolomée Sorcr.

11

avoit écrit en grec, en cinq livrcs,

l'~itloire

de Ju–

das

~acc)!abée

&

de fes freres

¡

1~

puri6catior¡ du

~cm­

pie

<!~

J érufalem, la dédicacc de l'aucel,

&

les guerres

cor¡tre Amiochus Epiphones

&

ft>n

ti

l. Eupator: ce i'ont

ces

cioq

liv res done cet auteur don

u¡:

ici l'abrégé • ' •

( 1)

Il

impon~

fort pcu pour le dogme

~tholiqtte ,

qu' on. facbc

:\YCC

Gertimdr:, quelle t:fl l:t fonrce Jont l':um:ur lacré-

a.

1miCJ ce

qtl'll

a

in.f~rc!

dan1

l!!s

HvreJ canon'iql\es. p3rce q1a'il n'y n au.

~foen!~~:~,~uec·~en ~~~~ ~~~~~' ~;¡ J:uf:c~f¡ ré~nr;~~~~ ~~ ~~~e·~{¡~~

avec trap

d':audUce.

que le celebre npreur de cet article

c~nfure

Ct!A

deux leurcs d'unc maniere

Ji

peu refpeel:ueufe pour In foi ,

&

llOIIf la creduliré catholit)UC:.

'

L:t

pr<'micre

de ces deux

lenre.s~

ne Uit

p:u

que les Juib fuffent

temu de

cc(~I!Fer

1:1

fé:te des caticrn:tcleoc dnns le mois

:tppcll~

C.JIIttt ,

pui('iu'c:lle fe f:ufoit dnns le· 'moi.s u'f.,;: on

y

eXhorJC feulemcnr

ceu-x- des Juifs qni

JemellfOÍC:nt

en bgypre,

1).

fotemnífer

pcnd:.tnc

hu1t

joun,

i

cornpter

du

1f

du

mém~

m0is

de

C4slt~H,

la

!'~r..:

de

la

dédicacc ,

&

de'

Jo.

purific:uion du

temple,

faire

'r''lt

Juda~,

dt:

~~nd:~re h7;~"ij~:uq.u·;~~~~eto~~~t ~bern~~~~~o;q c~:ct~=.,~~ ~~ft

1

a~;7~~

ces

para

les tlu

cextc

nu verfcr

6,

cha¡•.

10 du deuxierne livre des

M;acchabées •..

Er

eHm

l41i1 f.. ditbtu

~Elt1

t_fuunr

i11

modum

t•-

6trrrtttt~l•rt~m.

C'eft' ain{f

que

les facrés comin.:ilt.lteurs · ex:phquent u:•

paraJes r.appanée-t

do.ns

Id rremit:re

tenre

Jes

Macch:tbées , ch:ip. a.

ver(.

9

&

P~une

frtqumr•u

diu Sunoplugi•

mtnfi.t C41/tu.

L'o.urenr

· de

cet ariÍcle 'fe riampu

done lorlqu'il pcnk qu'on

f

exhartoir

les

J uiftt

d'Egy¡ltc:

a

ceietm:r

ht

fCte

les

r:tbernacles, Jans

le;

mois de

Caslen, ou <¡U'6n

l~s:

e,.;:hortoid. folemnifur une:

fé.te

qui fíi.r fcmbkahle en.

taut :\

cciJe des

tabel"~tclel (ar¡.~

amente la.

moindre des cérémonies

qa'on avoit comucne

d')"

J•t~dqucr.

·Ce

que

le

m~me

amcur

ajov.rc

fttr

13

léconde lc;:urc qu'on

lit

d::uu

le

~. ltvr~

des

Ma<"ch:~bées.

elt

avanc~

fans

rc:Rex.ton.

&c.

f:~os

cot}feil,

puifque

l~! n~n:cnrs

<!:ltho.

liques

~ll[

répon.IU

avcC

Ja dcrnicrc

cf::arté,

8c

:l.Vec

~vhJcn._cc

i\

toUt ce que les hlrétiques

avoicnt

déjQ.

oprofé.

&

a\'l')ient ohjedé

contn;

la

divine

antorm~

de

ces

livres:

on ne po

rviendra

j01mnis

3.

br(~~~c:re~"m!~~~~~ d~n:~c:;y~l~~~~ie~~~:e ~~~~;ro<Jf~~de:rcrAt :~~

fie

de fcicnce,

&:.

de

doaríne,

n' ;ait pa.s Cté

pla.inc.ment

inform6: ,

8c

inlhuit d..:

la

m..l.nie~e

;lv:ec 1:\quelle

on

concille

fi

3ifemcnr let

contradiaion¡:

qu'on

remarque dan,

le

tc~te fact~ de~

bbr:ohnbées:

en

effer

RUi el\ ce

qui ignore

les difricultés ·qui

s'l!lcverent fnr

In

m;a~

nicre

de comptec' ler

annécs ,

J~tn

le commencc:mcnt de l:l

deu–

xiccne

lcure,

:linfi

qttc:

{hr le tertu de la

mbrt

de ·

Judas Mnccha.

hc!e.

Le

celebre

Melchior

C:lnus

livre

1

<(•

/or.iJ

!hui•¡,.,·,

cb3p,

~:ed:~,d~a· ~~~.nf~~·u: ~h~;~.c~~ ;r~i,j~t\~ ~~u~~;~¡el8~~1:r~.~~~~~;

~8fo~;~·¡ ih~nrl~;~~~~t:;~~~~í:CU:~~~:

q~~t ~~r:~ra:e.n"~"~é,~~~},~

r;'

fi~'~'f"(,,' p~~;~;t;u ~~~~e. (&r~n~~

1

s :~a~~:~erc~~~

0

~.apfeor

1

~n~e~

candef que les

premie~a

mots

de ceue premiere

lettrp

font .. .

po.

pltiMI

t¡~i

1ft ,·n

}~r•f•li,,!_,!

&

qu'encore

q1~e

d;tns la

notre

Vulgat~,

on no trouvc ncn

qaa

dlvtfc

ces dcux:

lcnres, cependant

Belllrrman

ob(erve qu'il n'en

elt. pas

de

~nt!me

dans

l' édhion

sreq9e.

qlt'iJ

IJ'y

tronve une divifion

immedifttCment

aprCa cea me.rnes rnou,

•nno an–

tlfiPJo •lloj,tfi,;,•

'ofltt

'f.lo

. C'e(t

fans

dome ce

qui

;~

pon& Tornicl • l

;J.V!J.fiCCr

que

les

lettret

des juifs

de Jcruf:tlem

~

ceu1t d'Egipte font

"":tu

nombre de trois.

que

~~

prernicre

et't

cellt:

de

JUdas Macch:\bée

1'

nn 'aro

du · regnc

d:!~t

grec!,

&

qu.'elle commei'}CC

par ce•

mou.

p•pul~<~l

qu•'

,p

J<rof•limú,

lnquelle

ert r.1ppqnée co fecor¡d lieu

par

J'.mteur

du

1-.

Hvre

o

que

la feconde fut

cnvoyée

H

:ln

169

dtt me–

me regn.e des grees •

qu'il

~n

cft (ait mention dans 'le 7·

vcrfet,

du 1.

hvre

chae. 1.

que la trqi6cme

en fin erl- de 1

nnn6:c

t88

du mc.!–

me regnc des gr

a,

quoique 1' ;autcur du (eco'1d li'fre

~3

place d.'1n1

le prl!niicr

pqg .

Voici -Ione' a·ne h yporhefe

uifonnt~ble

qui refoud pnrfaiteroent la

&rande

difficulté'

propo[ée

pu

l'

auteur

tole cet :lrticle .

M l\_

e

C'e!l de cet abrégé l'ait au(!j en grec,

&

des pieccSI

~OIH ¡'~i

pa{lé, .qu'll a compofé le ret;ueil qni

portc'le

•:ere de

Cec~nd

hvre !jcs

Maccbabées.

Cela prouve que

1

>_IJtcor

é~O)<

au(fi hel lénílle,

&

apparemment d' Alé;;an–

dne; car

ti

y

a une expreffion p.articulicre qui revient fou–

vent dans Ce Jivre, qui en elt une forre prcuve · c'ert

qn'el} parla

m

do ·temple

d~

J érufalem , il

l'app~ll~

tou–

JOUrS l_e

grand t<·J?'ple;

ce _qu.i en fuppofe véritapiCI)ICnt

un n¡qmdre'

&

ce plus pem ne peut etre <¡Ue -cclui d'

E-

gypte,

b~ti

par

O

nías.

·

Les J uifs d' Egypte regardoient cettc derniere majfon

70l~e

une filie dé

la

preinlere,

a

qui

ils

fai[oien t tou–

JO~:s honne~,:-

COOlll).C

a

la Jl?.Cre. Alors

il

étoi~

natureJ

qu ds la tranatl'ent

de

grand temple' paree qu'ils

en a–

vqient

UU

IJlOÍil~te;

Ce

que !es juifs des nutrC$

p~fS

n'au–

fOICO[

pa~ _p~

fa¡ re; c:'r aucun d'el.}x. ne

rccqnooilfoit

ce

¡emplc d Egyp¡e,

&

tls rcga. doient

m

eme co•nme fchi–

fmariques tous

c~:ux

qoi

otfroient

des fa'erifices en

queiT

qn'<r¡droit que ce

f.lr

,

e<ccpté dans

k

ren¡ pie de Jén,..

lalem . ¡:>ar cot¡Céqnent, ce ne peut erre qu'un Ju;f d'E,

gypte qui reconnoi!liJI! le petit ¡erpplc;:

d'Egyp~c

anffi bien

que le grnnd temple de Jérn(illem' qui fe ro;t

exprim~

de cene manic:re, & qui foit l'q.urc:ur de ce livre. Et

comme dé cous l50s J uii's

d'E~yptc,

ceux d'Aiexandrie

~toi"m

les plus

poli~ ~

les plus C.wans ,'

ll

y

a

beau"

coup

d~a_¡.-..par~I!Ce

qq.e

c'dl~l~

qu'il a été écrit, 1nais ce

(econd hvre n approche pos de l'e'"éb<ude do premier.

Ou

y

trouve meme quelques errcurs pa)pables; par

exemple,

<.

iv.

l?aut<Ur dit que Ménélaüs qui obtiot la

fouveraine facriticature

1.-.

étoit frcre" de SiJÍ>on ·le B"nja–

mite de la famille de

l ~>bie.

Or cela ne

Ce

peut pas;

car il

p'y

avoit que

c~ux

de la famille d! Aaron gui pulfent

etre admis

a

la charge de fouverains pomiles :

e

2)

Jo–

fephe ell plus croyable daos cette rencomre;

il

dit poli–

tiv~ment,

/lnti'{. liv . Xll.

<.

vj.

que

~éuélaüs

étoit

fror!'

S'il

prenoit jnmail cnvie

:i

quelqu'uo de vouloir

perfiA:tr

3.

foaf-o

cenir que

la.

(econde

li!trre

écric..:

;aux Jni(s

d' Egnne, dbit

abiolu~

ment commenccl- pa.r

ces mou.

Amu

anufimo oUogtfin"

•O~ttJo,

il f:.u..

droit

nécc::ff.drerTten't que

ce

qu~lqu'un ·~

(olltnh

a

ne

j:1mnis obtc;–

pir. que

les Cnt.holiques

accordent

que

l'on

pa.rlc de JuJns

M.accho...

bée dans cecee fc:cOnJ.e

lettre. '"puifqU'il

étoit mott long t('m:>

ll\':u:tt

)•nonéc 1

U ' On pOurtó\ dire <¡u'il

y

e)\ ·

fnit mtlncinn

d'

An llobule

fils de Jeaq HirCJ.n,

anquel on

donnoic

nuffi le

nom de Judas,

(e –

lon l'alfcrtion

de Jofcphc

llans Je livre

ving.ti~

mc

d.:s

;antiquitC.c ,

chap. 8; oU que:

1' on

y

(tOt1e

de Judas 1'

E~fl:nicn

qui

étuit

'en

grande

conli"derati-:Jn

nuprC1

des

J

ui(~

1i

c:a.u(e de la haute

fagelli!,

&:

du don de

prophétie

dont Dicu

avoir

doné, fcJon

le rá'I>Ort dn miSme;

J

ofepl)e daos le

1

J•

livt'C des

llf!tÍ~~hés

chnp.

::t\er~"~'iv~

1

¡ d~ft¡~.:v~

1

;¡~é "~~e ~:h

1

i&~~~:' ~~~sq~.~~~~n

&

n~~:~,!~

h1:

porefe

¡

Ce: qui

doit

furprcnUr.:

d'.:Lvamt~ge

les

!~d:eu,r• c:u~'?IÍ<.la!cs ,

eft

lt!

ton

tl".anlJranCC

a,VCC

lequcl J'o1Uti!Uf

de

O::Ct

;J.ftlcle

déCatJe

que

~auédr~~¡~~~~ece

1

~~t~~,:~~ ¡~

1

¡~

1

i~C~l~~~~~ ·d~j~ Jt'rfe

1

~~ ~~r ~~~é~réri~q~:

Calvin o

les écravam .. c.uholiqucs,

ont

excellemmcnt

rl!ponHu ,

&

fán1

replique

a_

tO\ItCS

(c:s

Objcé\.iOOJ

qu'on

:I.VOit

foites

¡\

CC:C

esard;

on peut voir

ii

cc:rre

occalion

ce qne Bellarm'n

en

écrzt

an

1.

h–

Yre de verbo Dei.

chn¡l, 1'".

ai.n(i que

Mclchior

Canus de locis

Theolq~

livre

1..

ch.lp

·.

1

1 , Neül

~ic,.;::mJ_r':_ dn~s

1'

hi~oire

écch;–

fi"t\iqpe de

l'nnc1en

te!l.lment,

fermc1o~ d•flcrt.

.l.HO

~\

nn 1cl7 8.

pao–

potition 1 ,

&.

pm6cur1

a~ur~s Théol~gtena ~ogmauqu~s

qua dt!mon-

rrcllt l'inritF..f,¡,nce Jcs ob¡eétton'

ca.lvmJA:eiJ. (

W)

·

{1)

Qo

t3~t!

avec

rcop

dt). facilité

druu

cet

nriicle

l"éctiv:tin f."lcré

' d'é¡re

tombé

dnn~

une

errcur

pa.lp

;:.hlc

fur

le vc:cfC¡!t 13 du

chap.

du

fecOnd livrc::

de•

Mt~cchnHI!es ,

p;arce

que

M~nl!lnns

y

eft qualifié

frc:re tle

Simon

h:

Benjnmite.

~

'

·

· Pour pouvoir COil'?'·Üna:e

d'

errcur ¡•hiftorien

(acré .

il

f3udroit

produirc. des

tt~moignnga1

p!us

~uchttntique.'

que

ceux de

1•f•ph•.

po. "'

f:tire V'Otr

que

Mém!Ja"4s n

~to1t

pns

véraab!emon~ fp:~e

de

Su~o!l;

Be

il

tmdroic .:auffi

dé:mont1et

.wel:

auta.nt

de

C'etutl!3t!

qu~

le

dtvtn

~cdvain

des livre, des

Mac~h~bt!cs

no

s'cl\ p:u

fcrvt

du

mot

¡,,

com~

me

d'une

d~nomin.nion g~nérate,

roais qu'il

·a

cmenc.Jn

p<lr

' e~

rnot

fr'"•

rcconnoltae

M~nél.;tU~

pour

!'rere

de

Simo!\.

felon

lt•s

loix de

la·

n:uure,

&

feIon

les

drcii~.s

du

(,,ng ; rn.ais

une

de' ces

pr~uve•

ve–

nnhr

a

manquer,

on

ne

~~tu

(:uu

nne [;t(\ndc audnce c;1xer

d'~r~

ieur

ft"lpilble ce

qui

(e

trouvt>

écrit'

d

ms le

'4·

ch"~iue

·au li\•re

Ct.e,

Macchnb~es

dqnt on

viene de

p:~tler

Chocun vott

rnnimenant

1"~, ~~

0

n~i~éndr:r:~i~ ~~b:rf~~}=n~!'¿~,~~e~edi~ ~~:j¡~e ~· t'¡n;ri,i~, ~~~:

me il

em

l'lmpi.c~d

de

fe

ptqcurer une

~elle di~nité pt~r

une inJi.

J;ne

Íimonic, eq exc!tt.1m

Oni~s

qui

~c~m

le

l~gtt~rpe

¡;r:tnd Prétre.

t

:\ qui nniqtlemcnt

i1

app:lttenon

le dro\t

d

1

oc

~per

C<!t'tc: pbc..:: l:mr–

hente .

L"..!Crivaih en rcdig::ant

ces

fniu oc J it p:u que Méni!Jnus a

ét~

le yr.\i ,'

'&

lé"gidme

gra.nd

rrérre

~

qnoh]u'il

fflt

d'unc

famillc

fmu~gere ~

l:t

faCcrt.lotalc;,:

il

rend

compre

(,

ttlem.cn~

de

l:l

man~erc

inJignc

avcc

fac¡ucilc:

11

u(urpn

cettc

C~p~e".'c.

d1gnaé.' .

rrtai.

que

l'qn fiuve

a

la

'bonn~:

hcttrc 1 opmaon dn

Jlllf

Jofcrhc

c'd~~~

djrc 'IUc

Mrln~laqs

ait

ért

tr~rc

d'Ooi:n

&

de

Jnfon .

&.

qu'on

chanselt alors

le

OOI'Il ,

O.

la m::an1cre

c.Jc

~

g;req,

p~nrrt~-t~on

:IVce

tout

cdn

taxer

'd'erreur, l

'hiftori.cn

f.'lcté t'our avoir

appdlé

Mén..!–

lnn-t

frcrc

de

SimOn.

le

Berú:amfte

f

DO'l

~qninemt l\t

r~lifquo

daht

b

fninre licrirnre

on

a coumme d'apllCilcr

f rt"u

ceux 9111

p~a­

fetfaqi In meme religion ,

on

qtti

fqivenr

le: mCme

.senre Qe vte .

foit

eq bien-.

foit

en mal:

en effct

d:up

la prcm1ere

leur~.

lt;•

juifs

d'Ectrue

&

cetax

de

jC'tqf,Jl~m

fqnt

qo:lltfi~s fruti~

n cfi al

pas dlt auCfl ' dan,

l'Evt~ngile

frlon S. M:ltbieu ch.1p

11

v-erfct

fO

~ue norr~'

Seig!J..eur

)

c(U~ ·

Chrift appelloit fes frerec. (eJI

l~qr<."• ~

a mere.

c~

:uS.Ia

qul fnifoient ex01étemcn' lo

volonté de

fo;c:r~';•tr.