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quoí I'an r 1I1toil

l'iI

Ion do

dúe,

PlliJ1'"

v.1n

,~ fJ."/~~, j~

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J,

1'11,;

11

a9uil a([C1. dll

ud<'

que

Qoiomlt

~I

'1

UD

",u–

",.¡,

poil,

poor

(Iire oOleo<l.. qoo cnte (ois-eI cMO–

geant de Oyle, il .IIoíl le q011í6ct de

p.ile

",,,11,,..

o

Alar. le.

110 m

do

Vt,til,

dI p.r, leí dan l. IIgniñearioo

que l'lnloo

nuCe

101 1

aflign~e;

&

I'i,..it

o'y (til

.0-

con

chln~ement

o C',1l la pfOgolltloo

ellli~;

c'ell l.

peo(~e

qoí oc doit pu Ire prlCe pollr

~

qQ'dle ¡nroll

~tre;

en on mor, c'ell dans l. peoCte

~"'e(l

11 figure o

JI

y

a al'parence que le Po Jooveney 1enlefldoir .ínr.,

poiCqoe c'e(l pumi les Iiguru de

pen(~es

qo'il place

l'i,Mi"

'"

Quin 'Iien n'lOtoíl pss re'a(d6 eomme un

trape le

1Ii,,,m

.p,;",_

quc CletronOappliqoe 1 Mar–

eellu.,

,'í!

1001 fail rdllerioo que ce mal (uppore un

jugemenr leeetroires, '" pe," eo effel re

~dr¿

par one

propoficion iocidente,

'111;,{I

1Ii, opti....,

o

(B. E oRo Mo)

IROQUOIS,

(GI.,;)

"arlon confiMNble del'Amé·

rique

Ceprenrrioo.le

, lutoor du Ile O nlario, .utrement

dil d. Fromeolc, '" le Ioog de la rivlete qdi porle les

aux de co

I.a

dlns le tle"ve de So Laorenl, que les

F

rln~oi

• •ppellenl par cute rairon,

la

,i1l;,,,

4<1

[".

'l"Oil o

" s 001

S,¡

o rd les ""gonqulos,

i

l'IL la nou–

nlle Angleterre, .u

S

le nouvau Jeere"

/le

la Pea–

íj'lv.nie,

¡

1'0. le- lae Er;t!.

Ce, barbues eompoCen!, eioq nnioos; les plus proehes

des Anlloil ront les

Atli<t.;

i

10 Jieu., de-liI

(001

les

A",ug''''';

i

deul

io.rn~

es

plus loill Cont les

O"o",a–

XMU,

qui onl pour volfins les

GOJago"i';l;

enfin, les

ilernien ront les

7[o"".",."a"t,

i\

eeol Iieues des An–

g.'ois. Ce

rO~t

les

Uni

/le

les IUltes des Canvages guer–

ners,

.ífe~

uo's entre eUI, tlnlOl

altaeh~s

'UI

An5{lois,

&

tantOl 'UI

Frali~oIJ,

Ccloa qo'ils croyem

y

/rouver

leon

iorer~r, .

Le pays qu'ils hlbilent, ell aufli ft'oid !ju'" Queb,c;

lis viven! de ch,ie

boucann~e,

de

bl~

d'tllde ,

/le

de

fruil5 qo'ils trou.eOl dans le boil

/le

Cue les mOOlaghos ;

i1s nc reconooiífenl ni roi, nI chef; loutes leurs aff.iros

g~nérales

re Irairenl dans de, aífemblées d'anciens '" de

Jeunes ¡¡ens. lis rone parroqés par familles, dOn! Ics Itoi,

principales ront la famille de l'Ouu, celle de

la

Tortue,

'" eelle du Loup . Ghaque bour¡¡ade ell

compor~e

de

ceS

Itoj~

familles;

/le

eh.q~e

ramllle a ron chef; leur

plus grand commeree ell de eallor, qu'ils !roquen! con–

tre de I'eau·de-vie qu'ils aimem pamonnémeOl.

Leur .rgem

/le

leur monnoie conr.lle en grains de

po~eelaille;

ces graios de porcelaine viennenl de l. 00- .

re de Mana!he . Ce rOn! des burgos, Cortes de lima·

~ons

de mer, bl.ocs ou violets, lirans rur le nair; íl.

en fOil! aum Icur priocipal oroemem; i1s Ce mal.cheDl

le virage de blano, de noir, de jau"e, de bleu,

/le

rur–

tOUI de rauge. Se

maelllcbtr,

ell Ce peindre; leur reli–

gion o'en qu'un eomporé de ruperlltrions puéeiles, '"

leurs mCC\1CS barbares y répondent.

Je n'enlrerai poiOl dans les déeaill: on peul conrul–

tee fi I'on veur la réluion que M . de l. POlherie a don–

D~

des

¡ro1,ro;1

au eommcneemem de ce fieele daos ra

dereriplion de l'Amériq uc lepreOlríonale; mais il fauI Ii–

re Cur ceyeuple I'ouvrage

r~te",

de M. C olden , inti–

tul~,

HiJl.'J

O]

tbt

fiVt

".,i.""

Landon, 1713 ,

i,,-8°.

e'en uue hilloire égalemea! curíeure '" Judicieure.

(D.

']. )

IRRADIATlON,

f.

f.

(Gra",.

&

Pbyfi'1.

&

Phy–

jiol•.{.)

011 dit

I'i"adia,i."

des r.yons du roleU; c'en

¡'aaIon _par laquelle il les lance . II faul que '

I'i"adia–

,i••

palfe par les pinule de l

'alid.de

, pour que I'obrer–

'Ulion Coil juOe. 011 di! aum

l'i..,a4i",io.

des eCprits

.nimlul, ou lenr mouvemeO! aum prompr que la iu–

miere,

/le

leur expenfion en lOUS rens par les canauI

des nerfs qu'on imagine leur

~rre

o\lvetts; en conCé–

quene< de laquelle le. mouvemens volonroires s'elécu–

teO!,

&

r.ns

laquelle le membee ell paralitique

lRRATIO!'lNEL, adiea.

(Arilh....

&'

AI¡;.)

les

nombres

irr4/;._tIJ

COO! les

m~mes

que les Dombres

fourds ou incommenCur.bJes.

V~ez.

INCOMMf;NSURA–

liLE , SOURT>,

&'

NOMBaE.

(E)

• 1

R R E'CON C

161

A BLE, adj

(Gr."...)

qui ne

peUI re r«oneil ler, lerme relatif

i

la haine,

i

I'covie,

i

la ¡aloufie,

&

a

d'~urres

plmObS odieures qui divirem

les homme, '" les animeO! Couveot les uns conlre les

.Ulres . L'envie ell pi us

irrlto",ilia.',

que la lIaioe;

iI

De ÑUI Jamai, Ce:.

rI,.,.,il;.,..

avcc les méehat\S; il

Y •

des hommef dans la rociété cootre

leCquel~

ti

cQ

pe~

° I R R

749

~lJe

es

de De

amm

rir~ I'~~e;

m.ü

G

00

I'~

&.ir

ooe

~ ,~fj

brOI.. le

fourTOU.

1

R R

E O

U C

T

1

B

L

E

(CAS ) ,

GI.

...

J7.rn

C .,

nlJl. DUCTI LE.

' Jl.atDuc n a u : ,

(CM",ie . )

re d' de

12

par'e des

. C2ies

cI.ux

m~ulliqoes,

lelleml:<!

déeompo(~e

por la

Cllcinalioo, q "1e impofli le e l.

r~doirc

pu l'lPplicl–

llon

l.

phu eooveaable dn

phlo~i/li

ue.

I/') t~

GUA

X

WETALLlqUES ,

&

Rt n CTlO'<'

( j )

·1 R

RE'F"O

R M B LE,

adj.

(Gr"....)

'101

ae

fal

~re

r/!formé . Lo(rque le

J'J~emeor

do poblic e(l

géo~ni ,

iI

patro p,>ur iof2l1ible '" PO"'

i,..rll. r_"iI/r.

• 1R R g 'F R A G A B

LE, ..

dj. (

Gramo)

qoi ne pCUI

llre cootredil avce avanuge :

n

y

3

pe1l

de t<m.,ins

i,–

,...fr"l.b/rt;

I'erptr~nce

en one preove

irrlr",.{AJI. ;

Alcnndre de H..leJ a

él~

Cumommé le

" . fft/l'

irrl–

!r'1-/

t •

IRRE'GULARITE',

r.

f.

«;n,,,,.)

d4fsut

co"'re les regles; psr-IouI

00

il

J •

un

C1(1~tne

de re–

gles qu'il impone de ruivre, il peu!

y

avo" éare de ces

regles , '" par eonféquenl

irrl""'ari,l.

11

n'1 a aueune prodotlion humaioe quí ne roiL (u–

(eepnble

d'i"/~"I,.,.itl.

On pCUI m(!me qudq"efoi en aecurer le. ouvr:>ges

de I1 """1re; mais alors il

y •

deuI mOlir, qlli doivenc

nous reodre Ires-cireonCpea; la néeeffité "bColl,. de (es

lols , '" lo peu de coanoiaanee de

r..

variélt

/le

dé: ron

op~ration

.

I

~

IR RÉGI1LARrTÉ,

('}"'f[p,u

(.)

en manete earlo.,ique ,

e'ell un vice perronnel qoi

elOp~~he d'~"e

promd aaI

ord«s racres, ou d'co f¡¡ir les fonaiollS , ou d'oblenir

ou de conCerver des b6né6ces o

Le terme

d'i"íg"la,;tl

ne re trouve pas daos les an–

ciens canons; mais íl •

él~

(Meñé de ce 'lue dil le neu–

vielOe «Ioon du coocile de Nicée,

eal" "x_la

n."

.J–

m;ttiJ.

Tous eeUI qui n'oñ! pas obrervé I.s regles preCcriles

par les CJnons,

pouh"oi~nl ~tr.

Ir,ités d'irreguliers; mai.

on s'en r\!IOché de telle

ri~uc"

en IOUqU3D1 cenains

emp~ehemens

canoniques qui rendenl irtéguiier .

L'i,dt*laritl

n'en Jamais eneourue que dans les eas

exprim6! nomeñémenr pJr le droit; on ne 'peol p3S les

étendre, ni

.rgl1mel\t~r

d'un caS

a

un 3Ulre.

Nt.omoíos dlns le doole on doit ,'abnenir de flexer–

cice des ordets, parce q

O

u'i1 fau! rodjours prendee le

par!; le plos sO r .

L';,rlgIII...

;,1

prive loOj ou" de I'exerciee des ordres,

/le

emp~ohe

d'acqut!rir des

bén~íices;

mais· depuis que

I'ordre ne Cuppore plus nécelfairemenl le bénétiee, on

3dm.I coO!re I'anclenoe dirciplme, que

1'¡...

rl,."I.,i,1

ne

prive

du béné6ce Mja .equis , que dans les cas

011

cela

efl elprotrément

m.~qué .

Toul.e

i"lx,,~ari,1

provienl

tX

dtf~au,

ou

ex ""iao.

Les

,"lgII'a".I,

.x

d¡[<llu,

provlennem de plur.eun

caures ,

Cavoir

delta" "alali""" ,orp.rii, It.iíatÍl

&'

ex bigamiá.

D eftaU' ""tal;lIm,

c'ell le vice de la nallfance qui

r. trouve dans les balards .

Dtf.au,

,o,."oril,

ce

Con!

les difformirés dt1 corps;

mais , Cuiv.m la difoioline prérenle de l'Eglife, ils ne

formenl plus une

ir,I""I.,ill,

que qUBnd la

difformi,,~

ell [elle, que I'eecltlialliqoe ne puitre f.ire Ces fonélion!

C.ns

péeil

&

rans

rcand~le;

cela dépend de 1 .. prudence

de

I'év~que

.

Defiatll ImilaJi"

c'eO lorrqu'un clere, ou

m~me

un la¡'e, a cO P'r!

i

un jugemem dOnl I'eloéeution peut

allee jurqu'a elfunon de

r.ng

: le pape Ceul peUI dirpeo-

Cer de cene

¡"lg_la,iel.

.,

L'ir,IK*larill tX bigam;á,

enlorCqu'un h mme ava",

d'~tre

elcrc, a épouCé CuecemvemeOI deux

femm~.

ou

qu'il époure une veuve; ce qui forme la

bí~amie

iO!er–

prétatíve , 0\1 enfin, lorrqo'un homJ11e qui 3 fa;' del V<rUJ:

ColelOnel~,

Ce marie eoCuite; ce qu'on app.:llc la

higamie

fi...

i/illldiwttir6,

a

cauCe de la fimilitudo qu'il y

B

entre

le moritge eharnel '" le

m~

ri.ge

Cpirituel, qui fe coo–

traéte par d<;s v<rox de religion .

On appelle

irrlgltla,itls

ex

¿"ia.,

eelles qui peoce–

dem de quelql1e crime gnve; ceux qui f"nI le plu rou–

venl

enenurír

I'irrll,,/arill,

Com la amoaie, I'héréfie,

&

I'homicide.

'

Quand le crime ell ooculle, d'e(l-3·dire, qu'il oe peue

t!rre ¡>fouvé, I'éveque peu! dirpenrer de

I';rrlgllltrritl,

p.jl

.",.'"

pllt7f;lntti"71I ;

m.ir

fi le crime a élé déféré

a

13 iunice, 1'c!IIl''1ue n'eo peut dirpenrcr qa'apees l.

Cenleoce dOabrolUlioo .

11

y"

des cermes

a

graves, qu'on n'aecorde poiO! de

diCpellre de

10i'"'[;II',.,.ill

qui eu procede, leI que l'ho–

llrieide volontaire.

VOJle

BlaAltIJt:~

DJS9ENSE.

HÉ-

1lÉ-

. I