1000000039

"i ne

¡no!)O e

ñcn

(ur

le fo ad, 20

li.

qu:

1';":

rl -

ir<

00 pr<Ju e le fond, 00 do mllins eu rendo sprh

2\ oir eam

o ,comme qUlnd on ordonoe

.\'101

de ¡.ire d:oil noe coqoel<

une de(ceme, un pbo une

vilil• .

( A )

I TER LOPE !

( C."",..

r:<- )

e.lui qui

empie:e fur les priv'lcgcs d'one eompogrue de

IOUdllUd ,

en l

:Uf.nl

fm, lUlOne

méme COlOmcce< qa'olt ,

ellOS 1: m!me mdro;\.

V.ya

s ,

P; .

1C1 2?p:1Ic: 2UtTi

"\.'lJAU/r;~rI.

n'y

;J...

que

les Anglu's qui l yenl des vaia;

'I:url.

de cene

elpece , dom le eom ntree 9u:)'que Ires-lu:r2lif ell une

n ie comreb.nde dOIll les rtl(¡Ues fonl grand , puirqu'¡1

s'y

ag I

pos

i"olemem de

conh fC1llioo des

mlr–

eh_odifes

des v.ilf..Ul ou de lo prifon

des

mJr.:hln ,

'llLlnd i1s foOl farp';, por

gardes-cllles,

mlÍ5

mtme

de la vi ; C'lr c'Clt fous cen peine qu'" eJl in erdi.t pu

les Efpogn Is dan

100S

les élats que le roi polfede 3Uf

ludes occidenClles.

L es

1'"

rao

le Holbndois 001

.om

qoelques

i,,-

u rlopa,

be.ue

up moindre nombre que les An–

glois, qui molgré les périls dom on vicol de p1fltr

1'0111

por ce eOmmeree des pr06ts immenfes.

VOl'r<.

V i-

8io"". dt

ClJtnmtrr~ .

INTERLOQ 'JER,

"~o

(J"ri[. )

li¡¡ni6e ordon–

Jler quelque ehOle de pr<alable avane de J" er le rood

d'uoe comenaríon .

Voya.

INTERr.ocuToIIO::.

(A).

INTE R-M '\XILt:.A IRE

,(Iiga",,,u)

A"atom.

nom de deuf ligamens, un • ch.que

c61~.

Ce lig_mem

.eU

a\laché en hall!

la faee euerne de l. m:lch ire fu–

périeu,e , .u-decrus de la drro;'re dent mOlairc,

• I'ellrémieé

poll~"eure

de la Ii¡:ne f.¡llame OJliq"C d<

l. face eXlerne de l. m.ehoirc

inf~rieurc

au-dellu! de

deroiere

d~m

molaire .

I NTE~MEDE,

(Littlrat .)

ce qu'on donne

en fpeébcle

et'Ir<

les. es d'une p;ece de

Ih~

lIe, pour

smuf« le peuple, landis que les

eur reprenlleul h.·

leine ou

chan~em

d'habils, ou pour doonc, le 101(ir de

ehan er les déeoralions .

Voyn.

C o

DI E.

Dans I'.ncienne lragédie , le chreur eh'OIoie dans les

¡"'"ondn,

pOllr marquer les inrervalles eOlre les . él s.

Voya.

CROEUR, ACTE,

&t.

Les

;nttrmed' l

con!illt!Dt pour l'ordiu!1ire che?

n OQS

cnanfons, danCes, ballets, chreu" de mufique ,

&t.

A rinare

Horaee <lonnen! pour regle de ehanrer pen–

daoc

inttrmtJa

des chanfons qui loicm

tir~es

du fu–

jet pliocipal ; mais de, qu'on eut 6eé les chreors, on io '

Iroduilil les mimes, le danCeu,s,

&t.

pour amufer les

(pe Iateor .

Voy'~

ARCE .

D ill,OItn. d, TrttJo"x.

E n F ranee on y a [ubllitué une fymphooie de violoDS

d'autn::s inllrumc:ns .

ISTERMEDE,

(8,lIn·ltttr"

M"fi~,u.)

e'en un

potme burleCque ou eomique en un ou plufieurs .éles,

compoCé po, le pO;;le pour

~lre

mi, en muli ue; un

tn–

tumeát

ell ce

rellS,

e'dl la

m~me

choCe

qU·Utl opéra

pouffon.

Voy'~

OPERA .

N ous avons peu de ces ouvrages; R.gonde, PI'lée,

le D ev in de

Yilla~e

fom pre('t¡ue les feuls que nous

pommo"s. Les Iralteo en onr une in6nilé.

11, Y

exeel·

lem. C'dl-lii qu',ls monuelll plus

peul'~lr"

enCOre qUe

daus I!,s dral1lcs Cérieux, eomQ,eu

(un!

prori'nds com–

politeues, gf3uJs imitaeeu" de la oalure, grands déda·

mal<urs, Stand. plntomi nes . Les rrt.lits de

~én:e

Conl

,épandus a pl';ncs mains. lis y metleUl quelquct'olS mm

de ¡'orce, q"e I'h )mme le plus flupide en efl

frapp~,

d'aUlr<s

is taUI de Mlieatdrc, que leors eompolilioo

Cemblenr alo" .voir é,é t. j¡e; que pou, un Ircs-pe–

lil nombre d',mes feufibks

d'or';lIes privilegiees .

T ouI le m nJe a élé enchaOlé dans l. ' erv.o.e

M~! ·

Iretre de I'air

a Serpi"a P'"¡'''tt;

il efl p' lhélique ,

.oil~

ce 'lui

o'~

échappé • p<rÍlmnc

m.is

'1m

d I ce 'lui • feod

que ce

palb~dque

etl hypoerilc?

dO fai,e' pleure, Ics

[pea.leUrS d'uo goOI eommun ,

ri,e les fpeébleuls

d'un goOI plus dtllé.

NTF.RM~

.DE,

(Chimi• . )

les C/1imifles prenoeot ¡ce

mOl daos Iro'S

11:115

différeos.

•

P,emielement ils délignem p2f le mOl

d' j"ttrmtde

corps qu'ils iuterporem eOlre le feu employé

quel'lue

opénrion

le Cujet de cene opérttlÍolI; dlns ce Ceos le

mOl

",'um,d,

efl fyoooyme du mOl

haj" ,

qui efl pour–

t2nr be2ueQ\lP plus ufilé que le premier .

'oCi .ppliquer

Je fc"

une cOrnue chargée d'one mntiere que!conque

p2r

r;'f/~rmtJt,

avec ou m0r.en03ot

1';ffur",tJ,

du ra–

pie , des

cen~res , d~ I~

limallle , de reau, c'en

m~p,e ehoCe 'lu exporer ce v.ifTeou

lo ehaleur d'uo baio

pe f.ble , de cendres de linuille ,

du baio -marie .

V"'ye~

FEU

C HI MIE) ,

.,:<",.:1=

DI ,

ih ' p lIen

i. J.·. la

C<l1 'H

qu lis

m~I<"I ,

par tim?'.

coniu~

, 1

C.,u ."

ml!

ur Icor pr

U~r

une dlfcon

u\lil~ ~

une:

qt:~ t~

plus l1eh<, 00 lene

".lre

. lré

o!>o-d\lmlque,

qUI

les dirpofe

ep '·cr plo. e,ñc.tccmenr,

m'tUI

(oul<ni,

1',

ioo

f<'\l .

e nple, il

rnéknr

la crc qu'ils "etl COI diRilltr, du r"blc, du eh.o

~e ,

1, rilllfe

011

.mres e

s fe

1 le< .

d.fIiUs" n de

la e'",

de.;"nl

.hu

.if«;

Illé

lle fon 'In11 re "Iu.

..dk _k,

Celoo

préten . o de cerrains c milles , / '

l itE .

roppd l. les

¡".,.-""ohl

geore

J.,r

"'~

challlllttl.

. .

T roHiemenl (

e'el1

' Cl

le fens le plus

ulJl~

plus prop,e)

,."r","'<

til\ni6e 1

m~me

chofe qu'

,.t

nu moven ehiJOiq"e de décompofili n, moyell

j>rtS

I'ordre de< menllrues . C'ell

ainli

qu'on

dé

mpofe le

niue

Pl1,UrlfuJ

I'lcidc

~itri

!i'tue ,

o. do

Y,iuiot ;

le vilriol p r

1',,,,,.-,,1tI1t

1..

kalt

D%e,

&.,

es ,a–

Itr'mdn

'font les ..

si.

uniques inn rumen de 1'" nI1

f•

menfi nlellt;

ils ne fOIll .UI,e chofe que de< menl fUes .

précir'~.ns .

VOl<

MENH_UE, M ES TkUELLE ,

,o, SAI.Y E,

PRfC'PITA TION .

(8)

TERMEDI IR

,Id¡.

(Gr"",,,,. )

dil d'un

obJ<t pl.c.! entre deux o, p ufieurs lutres .

liIut qu'il

y :lit

entre

Ic~ O~JC:IS

& nous

611idc

,,,urml.J,,,/rl

qui

nous les f.lfe appercevoi, ou qui nouS les tiaúe

t.o~eher

des yeox . i

1\",

difpof< plufieur glObos de fuue

'lu'on fmppc

prcm:er, le mou..m ·nl femble (e

f~ps·

rer des

j"Jtr'nldi¡J;ru

fe ,amarrer fur

le:

dernicr , les

Cenls qui fe fép1rem de l. 61e. i l'I1n fro.ppe

I'exrré–

miu! d'une poutre, le eoup le plu It!g<r len. emendu

d'une orcille plade

I'JUlre

cXIf~milé:

quclque COtn–

p,ac que foil le eorps, quelque longuc que foil l. pou·

lrc,

quelque

~r!\

que

(\lil

I"ef~acc IlIurmlá,4ir~,

1:1

If."fmi ffion du bruil o'en ell poine emp!ehé< .

N T E

M E

I A I k

f: ,

'urti7JJ<I,

(

A. AJ.",. )

Voy',–

CARTILAGt..

1sT

E R M

I ., I

E S,

liga",,"', ( A"#••,,,. )

Voyn

L ICAMENT .

0IN7'E MEL1UM, f.m .

(l/ifl· a" t,) eodroit de

lo viij

r~gion

qui nous efl lour-i-fatl inconnu . C e mOl

fe ((nUVe

daos T ilc-Live;

mIJis su licu

d'i.l6mtli"

::1

qui IiCcm

indemtJj~

• INTERMIN AB L E adj.

( G

."..)

qui ne peul

étce lerminé. On dil un hruil

illurmi1labl, .

Son. ulle

'UlOril~

infaillible, les difpllles de

reli~ion

fom

'11" "''''-

1I,wl" .

L .

m~pri f~roil

un muyen b,en . ua; sOr que

I'auloril< . Les Théologiens ne dirpuleOl guere 'luaod on

ne le, éeoUl< pas .

INTEI$M I ION,

(1IIIJaj", . )

c'cn I'imervllle

'lui ligoitie deu. Ieee. de 6evre Inlermitt<nrc, Ce mOl

( n

ry~nyme

d'apyr.,rt<.Voy,x

PYRE

a; .

(b) .

INTE RMITTE

(POUL .)

Voya.

Po LS .

INTE RMITTENTE, (FIEVRE)

V')" ~fo",I,

mol

F lfvRE.

•

I N 'rERMON7'IU/rt ,

f. m.

( N,

•

"t.)

vallée peu

profonde,

filu~e

emre deu. h.meurs, I U monr .pitolin.

Le ijaureurs

~toienl

pl'lIlé« de

ch~ne,

. 'éloil "n li

I:'cré. Romulus youlut que ce fO I un .fy" OUl coupa–

bies .

en a QU; phcenr

I'i"ttr,"onrj"",

•

I'<ndroll ou

I'on yoil le cl)evol d' Amooin, d'au"e :1U pit! du roe

Tarpéien.

TER-MU SCULAIRE, LIGAM f:ST ,

( A"••. )

VOI'ft.

LI GAMEST .

I N rE R N E, Adj .

( Gra",. )

qui ne plrol! poiot

:lu-dehor"

en d,ffieil. d'dIigoer l. différence d' lOlt–

rieur

d'¡"",,1<.

lis

re dife m tooS le< deux 3U phyO'lue

au mnral. On dit I'imérieur de I' homme , un ho,n–

me: m(érieur

1'00

ne die

piS

I'i,,'.,.t

d'un homntc,

ni un homme

i"ttr"e .

Voil:i un de ces :nats

(els

qu'iI

y en aUlle IlIfinhé

d.ns

les 1 ..,Poues, qui dev,oiwr bien

eonuincre de la diffieuhé d'éerire puremeOl une langud

élrongere ou mnrte.

INTERNE,

(G/om . )

les angles

i.,,,",,

Conllous le,

on~le.

que formenr les e61és d'une figure rcéliligne ,

pris l U dedans de

celle

figure .

Voyu.

ANC LE .

fomme de tOUS les angles

i"ltr1l"

d'une figure re–

a iligne queleonquc, en égale • deux fois aut. nl d'sn–

gles droi", molns qu Ire, que la figure • de eblés .

D on, uo n i.ngle lel que

K L M ( PI. Glo",,".

fiK'

19. )

les angles

COn! d I

i"uTI'"

oppoCés,

por

ropport

l'angle

eXI"" ,

K M

qui

~g.1

10US

I.~

deul enfemele .

On appelle eoeore logles

"urr.tI

ecol 'lul

(001

for–

mt!s emre Jeux paralleles por l'imerC.aion d'une trni/ie–

me IiJln•. Tels (001 les ongles

~,y,

{(

x .l.

(

PI.

Glom.

fiJ!. .

36.)

formt!s enlre les p2raUeles

JI ,

de eha–

que c61é

la fécIDle

S T ,

Daos ces p"2l1eles l. fom-