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1 N T

me de dellx anglc:s

;"Iern<l

du

m~me

eot.!, en tOOjOD<1

6gak

:l

d. ut angle, droil< .

k .

áJl~lrs illl~rn<l

'PP.)"

fom

\es

deus anales

s

&

J

( PI.

Glom. fig.

,6 )

formés por la ligne qui

~oupe

les

deus paralleles.

I/oyez.

PAR .... LLEU:.

1I~

Cont reCpeé1ivement ég"IJ 'UI angles

A,

11,

qu'on

appellc

a.'(la

extunes . pp.!". Chamb'rJ.

(E).

• INrERN

~CE,

r.m .

( H ifl.

m. d.)eovnyéel–

traordin,'rc du [.lU veraio pontife, 'gen< qui fait les af–

faires de \J C-lur de R me dans une CODr érraogere, en

.uendam q u'il y ai, un Onnce <sprcs

&

en ,itre. II ya

de. eourS ou. les . ffJires [e font lOuj"ur, Par un

i1ller–

nontr

&

I"ma;s

plr

un

nonce .

fI

Y

a rooJoars un

íJ1ter–

nQ1t&t

a

Bruxelles . Les

i"teru011CeJ

nc font

3ucune

fon–

élion eccléli:lOiqnc ni en Fraoce ni ail1euu.

D'¡1Iurnollcé,

110m

du

titnlairc , 00 fait

i,,:crnont;alure,

Dom

dl)

litre,

INTERO '>EUX, adj.

(¡/l1at.mie.)on

appelle ain(i

quclquel murcies qui Cerven,

i

mouvoir les cjOlgts, par–

ee qu'i1s Cont ¡¡tuts entre les interllices des os d mé–

tacarpe. On donne 3Um ce nom

a

quelques autres . On

en comp,e ordinairemeOt (ix; ces muCcles [om (itués le

long des parties latérales de< os du métacarpe , de

fa~oo

que deux de ces m 'JCcles COOl titués le long de. parties

latc!rales de 1'", du '1)ét3c3rpe qui Comiem le

doi~t

du

milieu

&

celui qui efl atoé le long de 111

f.ce

de I'os

du . mélarcarpe du doig¡ annulaire qui regarde le petit

doigt, s'avanernl enérieuremen'

&

s',ttachen! par quel–

ques plaos de fl l res aUI faces des os voi(ios,

&

recou–

vr~nt

les trois a\ltres. Ces trois muCcles [om appellés

i"eerofTellx

externes,

&

les trois recouverts [oat appel–

Us

i"UrlleJ .

lis vienoent de la partie Cup.!ri."re des os du méta–

carpe, prcs du carpe,

&

van' s'inCérer ;\ la p1rtie Cu–

périeure euerna du rroHieme os des doints

1

en

s'uniC–

eam avec les

lombric.ur

&

par dilférens plaos teodineux

avec l'cxtcnCeur

cornmulI.

L'inlC'./Tmx

",ué

á

la f,ce latérale de I'os du méta–

carpe qui routiem le peti,

d()i~t,

Ce 'ermioe

a

la partie

fupérieure de l. pre.niere

phalang~

de ce doi¡:t.

.Ge demi

inluojJ",X

de I'indel , ou J'abduaeur in–

terne viem de la premiere pl)ahnge d'l pOUlle au etlré

externe de la blle de l'os

trape~e,

&

Ce

termine

a

la par–

rie

Cu~ériellre

de la premiere phalan'le du doig. index .

Les

'~IOYolJ'/()( dl~

pié Com des muCcle< qlli meuveot

les orteils,

&

qui correCpondem cxaaemem

a

ceuI des

rna¡ns par Icur nombre, leur

ufage,

leur infertion, avc!c

cel'e différeoce qu'ils Ce termincnt

i

la partie poUérieure

des premierc phalanges.

Voyez.

¡NTERosséux

de la mail1.

I NTEROSSEUx, I;~4me'¡t

,(

An.e.?

l/oJa.

L,GAMENT.

INTERPELLATION,

C.

f.

(JllrifPrud.)

e(l une

fommatioo

&

requitirioLl qui

dI

faite a quelqu'un par

\10

juge, Cergem, notaire ou autre oflicier publ ic, de dé–

elarer quclque choCe.

Le

juge

i"tupell_

uoe p"tie ou un témoiode déclarer

la vértté [ur un fait.

U

o notaire

inlupel/e

ceux qui [oot parrie'

d.n~

un

aéle, de le fillner.

U"

huimer

interp.lle

ceUI auxquds il parle daos

Con

exploit, de déc1arer leur nom,

&

de (igner leur r6poo–

fe .

11

fait memion qp'ils on! éré

de

ce

ú,reype//"

{tú–

'Vant

/'ordon"a",~ ,

c'efi-a-dire,

Cuivant

l'ordonnance de

1661. (A)

.

INTER POLATION, r.

f.

(B,IIa-Lettrrs. )

terme

dont [e Cervent le critiques , en parlant des anciens ma–

lIuferi¡. au'quels on

a

f.1j,

oes ehangemens ou addition>

poflérieur., .

Pour ét.!>lir une

intcrpolatio1l,

le

P.

Ruinart donne

ces cinq regles .

11

faut premierement que la picce que

l'on veut dtlnller ponr ancienne, aic I'air de l'antiquité

qu'oo prétenJ lui amibucr;

lO,

que l'on ait de bonnes

preoves que ceue piec.

a

été

i"terp.lle,

ou retouchée;

3°. que les

int~rpolations

cooviennenl 3U tems de I'ju–

terpolateur; 4

0

.

que ces

in¿trpolatiolt¡

ne rOllchenr poine

3U fo'nd de la piece,

&

ne [oiem poim

fi

fréquentcs;

<¡u'elle en foit tout-a fait déñgurée;

so.

que les reflitu–

UOIU

que

I'QO

fah , revicnnent parfaitemt:m nu n:fic de

la r ieee.

/)i/1. de 'I"rlvollx.

NTERPOLATlON

des fories,

voyez

l'artÍ<le

SEIUE

ou

SUITE.

INTERPOSITION,

C.

f,

(Ajlrol1,)

aruation d'".,

corps enrre deu, autrcs qu'il cache ou dom il

cmp~che

)'aél:jan.

L'éelipfe de Coleil ne Ce fait que par

l'intupo}tio"

de

la llloe elltre le Coleil

&

nO\IS,

.sr

eelle de la luoe par

I'interp.jieion

de la lerre

~orre

le

Col~il

&

la lune; eel,

les des C.ldlites de ]Qpiter

&

de Saturl1e par

l'int.rpofi–

,ioll

de

J

upirer

&.

de Saturoe emre ces !átellites,

&t.

P'Jez:.

ECLIPSES.

Cha",bers.

(O)

1 N T

T NTER~05ITION,

r. f.

( J llrifprIl1. )

e un terme qui

eQ ordloalremCOt 3VCC

celol

de

Ju rel.

00 :1ppell..:

ínter–

pafilio"

de

4eu"d

un Jugcmenr reodu 3\'t:e la Plrtit: fl i–

fie , qui ordonne que le b ien Caili rédlcmeur fer3

ven.lu

&

adlagé p>r deere, .

V OJez.

CIOÉE , D ECRET, S ... I–

SIE-RÉELLE.

(A)

11

Y

a aulli

",lerpo!itiO>/

de perCoones, 10rCque quel–

qu'un Ce "o'lve plaeé entre deuI autres rel. ú v<menr

i

quelqlle .éle on diCpo(i!Íon .

On appelle aum

inlerpo/iti."

de

p~rfoanes,

10rCque

quelqu:un fe préCeme poor un autre qui nc vem pas pa–

ro!tr" "."érelfé dan I'affaire, comm, dan< les fideico.n–

mIS ..

c.tes

&

dan< les tranCportS qui

fc

lit

fJit 3U pru6t

de perCoooes imerpo Cées. qui

pr~tem

lear ao m

a

q'.el–

que perConne prohibée.

(A)

INTE.RP.RETATION, r. f.

(Gra ...",.

&

J ",·ifP.)

en l'expltcauon d'uoe chofe qui paro!t

am~igue.

JI

Y

a des aéles done

00

élend les diCp,,(i rions par

des

interprlt"tion,

favorables, tels que les teOamens

&

autres aéles de derniere volonté .

D'aueres

ou I'on

s'3uache plus

a

la

tcrtre,

comUle

dans les contrats

&

autres aa·s entre·vifs , ou bien fi

)'00

en

forcé d'en

venir

a

I'interprdation

de quclquc

d auCe, elle fai, contre eeux qui ne fe fom pas er pliqués

alfez c1.iremem,

i"

'1"0'11'"

fuit p.s,jlate legem apertillJ

ái~ere.

.

En matiere eriminelle,

l'il1terprlta,íon

des faits

&

des

aaes Ce fai, tOIlJOUrs a la déeharge de 1'.ccuCé .

On efl quelquefois obligé

d'i"terprltcr

eertaines lois ,

Coi, paree que les législateurs n'on, plS prévlt

[QUS

Ics

eas

q

ui Ce

reOCOl1erent, 00 paree

que

les terlnes

de la

loi préCemen, différeos feos.

11 Y

a néanmoios uoe maxime qui vcut que 1'011 ne

diningue poim ou la loi 11'3 pas dilliugué; mais cela

s'enccnJ

qu'on

De

doje

poim

admeurc

d\~xeeptjon

:)

la

loi

t

13ns une rairon

p:lrticulierc, tirée

de la loi

m~mc

On du morif fur lequel elle en fondée.

e'efl dooc dans l'eCprit de la loi qu'on doi, eo cher–

cher

l'interprltation .

Si la diCpolirion efl contraire au droir commulI, elle

nc doir point

recevoír

d'exten(ion

d'un

C3S

a

un

~lUtrc,

ni d'uoe perCoone a

¡lile

autre, ni d'une chofe

a

une

autre.

e'di

:lU

prínce

qu'it

appartÍcut l;1aturcllement

d'il1ter–

prleer

la IDi,

eju,

ejllelf.em

interpretari cujlls ejl /ege",

,ondere.

C'en une

m~:

..ximc

tirée

dn

drnÍt

romaill.

En France nos R ois

Ce

fOOl IOlIjaurs réCcrvé

l'inler–

prltatifJP

de

lenrs ordonnances.

Chademagne ayant trouvé l. loi Jes L ombards

dé–

f.aueuCe en pluficurs poims , la réf .rma ell SO l ,

&

aJo a–

ta que dans les choCes donreuCes

iI

voul" it q ue les jug. s

eulfeO[ recours

a

COII

amorité, Caos q tl'i1 leur far permis

de le, décider Cuiv3m leur caprice.

V or.ionnance de l6Cí7,

tito

j.

arto iii.

\'eut que,

6

par la

ruite du

tcms,

llfa.~e

&

expérjt!nct=, aucuns

aui..

eles de cene

ordonn3.nce fe

trauvou!nt

COlllre t'utilitc!

ou commodité publique,

ou

tere IUJe[S

a

¡»tel-prltntio".

déclaration ou rnodéra,ion, les

caur~

puilfent en

"'lit

tems repréCemer au roi ce qu'elles jllgerom

a

pro?O',

Cans que, Cou, ce prétexte, I'exéeution en puifle

2tre

CurtiCe.

L'arl,

vij.

du

m~me

titre porte que,

fi

daos le juge–

meot d", proces qui Ceroot pendal15 au plrleOlellt ou 3U–

tres cours,

il

furvient quelque dome ou diOiculté Cur

)'cxécurioo de quelque artiele des ordonnanees, édits,

décIaratioos

&

)etrres, Sa M ajené défend aux cours de

les

interprlter,

mais veut qu'eo ce cas elles ayem

a

Ce

retirer par-deve" S. M. pour apprendrc Con imomion.

11

réCulte de cet articIe qlle les cou'"

m~tnes

ne peu–

VClll

inltl'prlur

la

10;,

lorrqu'il

s'agit de

le

faire

contre

les termes

&

le Cens é videll' de la loi.

Mais quan;!

I'int<rrrétati'",

peut Ce tirer de la loi

m~me,

&

qu'ellc n'n

rlen

de

contrairc

a

la

loí , les cours

Com en poffeflioo de l. faire Cous le bon plaifi r de

S. M.

C e pouvoir

d'i"terprlJer

les loi

dI

une prérogarive

qui

n'ilppan iem qu '

3.UX

juges

fOllveraÍns, lefqucls repré–

rentent la perfonoe du

roi,

&

vice [acr:í principiJ ju–

dica1ft.

Le, Juges inféricur Com obligé de Ce eonfor–

mer

a

la I¿ttre de la loi, ou Ce re.irer par-devers

M.

le

chancelier poor Caroir quelle en I'illtomion du R oi.

I/ovez.

au code le tit,

de I<gibrlf.

'L orCqll' il

y

a COnlrariété entre deux arréts rendus en

des tribunaux, entre I<s memes palde

/l:

pOllr raiCon du

mcme fait,

011

peue fe

pourvoir

en

interprétntlon

au

grand-conCeil .

Mai.

(i

les deuI

arr~ts

fone émanés du meme tribu–

nal, ou que dan;

UII

arr~t

il

Ce:

trouve deux diCpulitions

qui paroitfcne

comrairei IC$

Wles

aul. aUlrcs,

on

ue

pelle

pa,