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1 N T

prenant de meme le prindp:11 •

Oe

iI

e/laife! de voie,

t

o. que

ti

M

el1

un

nombee emiet> que l'unilé, on

4 ( . :

¡)..

> [

+~.

(á ..

i)-

_~

+

mid ... -

I

~;1dm_

ti

,c3r

-

a-

--;¡;;--

+ ----..--

___ j

l. .a

"'.m-r .M -1.

tI" -J

+

------,¡-- ----

&e.Voy<'"

PUl S S

A N

e

E

&

B I

N

o

M

E;

oe

e~tte

quamilé ell évidemmenr égale

a

I

+ ;! +

une quanriré réelle polilive; done elle ell

plus grande que r

+

~.

1.0.

Si

m

=

t ,

les deux quaDlités font égalcs, com–

SIle il ell ues-airé de le voie.

.

3°. Si

ni

=

7

l

on aura

(~)

T

<

I

+

~

ou (

+

..!..;

car en élevant de pan

&

d',utee

a

la puiITan–

.

,

d'

J ... ;

&

d

¡

ce

p,

o n aura u

part -.-; e I'autre, r

+-¡-+

une quanrité polin e.

4 0 . D ela il en aiCé de voi, que Ii

m

en un nombre

feaélieJlloaiee

quelconq.ue

plus grand. que Punilé , on

'11-

(

4. ')'"

"',.

ra en général

ti

- .1-

>

a

+ - .- ;

&

au COntroir!, Ii

'" ell un nombee fraaionu.iee quelcoDque plus petit que

l'UOlté,

D one en général, quand on en emprunle ..

i"tlrE,

comp? Cé , la lomme dae

¡lit

plus foete ,'il

y

3

plus d'un

an écoulé , qu'elle ne le fer,Oit dans le cas de

I'intl.."

fim ple;

&

3n

conteai,e, s"1 y

<l

moins d'un an écoulé

la fomme due e/l moios forte que dallS le cas de

I'i,,:

tlr<t

Ii

mple .

Pour rend re fenlible

:1

lOUS nos leaems celte obCer–

vation

import~llte,

CuppoC

lOS

qu'un paniculier

pr~.e

ii

un

autre ulle

Comme. d'argent 3 3

pour 1

d'itrtlrit

par an ;

cene uCuee e.orbllante ne peut Cans douce jamais avoir

lieu en bonne

mor.le;

.

mai~

I'elemple etl choili pour ren–

dre le calcul plus f.c,k: 1I ell

elalf

qu'au commence–

m,'nt de

lo

pr.emiere année , c'en-a-dire dans I'inllnnt du

pr~t,

l. débiteur devra IimpJement la Cornme prc'lée r '

qu'au comlpellcelRem de la fecoude annér

iI

dev,"

1;

fomlnc

4,

&

qUe" cene f.)mme

4

d~v3m

poner fon

;"e

tlrlt

a

3

pour I , iJ Cera da au commencement de la troi–

fi&!lne anl1ée

la

fomme

4,

pl1l5

tl.

on

16; enCorte

que

les COIIIOles

1,

4, 16, da.s au comOlencemellt de cha–

que année,

c'c:I1·¡\edin:

a

des intervalles égaux., forme–

rom une proponi"o qu'on appelle

gloml"Íf" .. ,

c'ell-a–

dire daus laquelle le "Oilieme tenne contient le

f~cond

comn.e celui-ci

cOntiel1t

le

premier.

O r, par la

melne

raiú,,\,

fi

on cheech.c l.

(oq>m~

dOe au milieu de la pee–

miere année .. on trouvera que cClte

fomme en

2 , paree

. que la [omme due

~u

milieu de la premier. année doil

former aullí une pr" ponion géométrique avee les

'Com–

m es

l

&

4 dues au commence¡nenr

&

a la

fi

n de cet–

te

aun~e;

&

qu'en etlet 13 [omme • en contenue dans

la 10mme

2.,

coonme la [omme

1.

I'en dans la '[',mme

4. Pré entelnelll dans le c.. de

I'intlrit

limpie, le dé–

bitem de l.

["mm~

4

au comlllencement de la Ceconde

année, ne devlol! q"e la Comme 7

&

non r6 ao com–

mellcemenl de la troiljeme: mais au milieu de la pre-

miere aunée

1

il devroit la [oplme

~

& .;-;

car I'argem

qui rapporte

3

pOllC

t

a la 6n de I'année dans le cas de

I'in.l ril

limpIe ,

&

6, c'e(l-a-qire, le

dou~le

de

3

¡,

la

6n de la Ccconde année, doit rappoCf.r

+,

c'etl-o-di–

re

b

moitié de

3

su mili"eu de 'a premieee allnée. D one

daos le cas de

l'iWI!réJ

ctln'pof~ ,

le débiteur dt::vra moins

avant la 6n de la premieee année, que dans le cas de

l'i1lllrit

limpIe. :ppne li

l'i»llrit

compofé ea favora–

ble all créandor dans ce"ains cas, il l'en an débi.eur

daos d'autres

C3S;

la

compe~tion,

il

en vrai

n'eH

pas

~gale,

puifqoe I'

avanl.ge

du débi.ellC 60it

~vec

la pre–

micce année,

&

que cd\1i

du

créancier

comtneoce

:lIQrs

pour a\ler [oOjours en croilT'\fIt

~

mefl\Ie que le nombre

<le auué.s au" meote: néanmoins

il

en

to~jours

ntÍlc

d'avoir fait cene

obrc:rvation, ne

fút-ce que pour

mon–

trer que

l'i/fllrée

limpie dans

~ef(ains

cas ,

en

nOfl·.feu–

lemenl moins

favoe~ble

lU

débit<ur, mais qu'il peur m<':–

me

~trc

reg:¡rdé

c"ml~e

injulle,

Ii

la convention ell lel–

le que le

débi!~ur

foil obligé de s'acquirler daos

le

cou-

1ant de I'.nnte de !'cropeunt .

1 N T

Si on repréCenre

les

Commes dues par les

ordC'nn~es

d'une ligne com be dont la premiere o rdonnée

l

cdle qni

r~pond

a

I'abfcilfe

=

o)

foil

=

¡,

l. Comme pré lée

&

don t les ordoonées repondaores

3

ch.que "bCdCfe repré–

Cemellt les Commes dues

a

la tiu du tems repr¿tenté par

cet.., abCd /re; il en aiC¿

de

vo;r 10. 'lile d. ns le cas

<k

r

;J/I-Irit

(j

mple cene,

~our~e

Cera ul!c

liglle

droitc:; .lo.

que

d.~s

le cas de I

",.Ir..

compolé, elle toUlllef3 Ca

"'?"

v ex lté VCrs fon :lIe;

3°.

que

dans le

ces

de

l'lnll–

"1

eomporé

/i

0 11

nomme

lf

la peemiere ordoone!e .

&

a

+

b l'.ordonnée qui répond 3 une .blc ill"

=t;

I'"edon–

née qUl répoudra

i\

UDe abCciITe que\conque

p

1

[en"

p

(

..

' )

!-'

;p

élaDl un nombre quelconque emier ou rom-

a

pu. plus g rand

DU

plns peti. que I'unilé.

Voya.

LOG."–

IUTUME

&

LOGAR ITHMIQUE. Dooc en géoér'l la

Comme d(¡e au bout du tems

p

1

C<ra

a

x (

.+-: )';

.& Ii

on CuppoCe

p

in6nimem potit, la diñérence des quan-

. é

&

(

, )"

.

tI! S

a

a

I

+

~

fera a la quanrllé

a

comme la

quanrité

p

t

en

i\

la Cou.angenre d'une logarithm'quc, qui

ayant

a

ponr prt!mi.:re ordonoée,

I

poor abCcille, auroit

a

+

b

pour l'abrciITe eorreCl'0ndante. O r la Coulangente

d'une telle log.rilhmique en fJcile

a

trou ver. C ar 110m–

maot

x

¡:ette COIl¡angente,

&

<

le nombre dont

I~

loga-

I

"

rithme etl I'unilé, on aura

a

<

=a

+

b. Voya.

Lo G

A-

R

J

T

H

M 1

Q U

¡;.

&

E

X P

O

N

E

N

T 1

EL.

Done -;. log.

<

+

10g.a=log.a

+

b;

ou .;;- =lng.

a

+

b,

parce que

,

log.

c=~ ,

(hyp. )

&

que log.

a=o.

Donc

X=---.

Jog.

4"'''

Voy.

LOGARnHME. Par ee m,.,yen

/i

o n nClmmedlaquan–

~ilé

in6 niment peti¡e qui

ea

dOe pour

I'in.lrte

:1

la 6n de

I'innlmt

a

t,

on

;lUra

á=

~

=

11

t

loS

¡t. "

"

'

.

C'etl ain/i que dans le cas de

I'intld.

compoC~,

on

trOUVe quel

"lll'in,lrie

fi

on pelll parler ainfi, 5 la naiCJ

fanee

dJ.l

tems;

&

cet

i~,lrit

t:qui-v3ur

a

.un

inllrét

Jim–

pie, qui feroil

a

log.

ti

+

b, au

.bou!

du t!,ms

l .

Voy~",

aDX articles E SCOMPTE

&

ARRERAGES d au"es remar–

ques fnf

I'intl,.ie.

On nnus a fair fur

cc.:t

"rlid~

AR–

RÉRAGE

une

impllttuion rres-injufie, dOllt naus croyons

nous érre Cuffil:'mmen¡ juOi6¿s par une ICltre

inCér~e

dalls

le mercnre de

Dé~el)1bre

17)7. NOlls y renvoyoos le le–

aeur .

(O)

1

N

T

t

R ÉT,

(Jurifp rud. ) ¡",nu! ,

N(rtra,

foil

ii

'lftotl

;ne~1'q¡;

c'efl

l'~lIim:\t

00

du protlr qu'une fornme d'ur–

gene auroit

pu

produire annuellement 3 un cré:1Ocier,

fi

elle loi eut élé payée dans le

I~m

oti elle dev" i. I'é"e.

Cae

qlloi~uton

dife cOlnmunémeut qnc

1I,,111111I1I nllm –

mI/m non par;: ,

cependant

on peur

employer l'argen t

en

achat

d'héric;\~cs

qui produilc nt des fru its , en couOicl\–

do n de reOles, ou

3

quelque

llé~ociation .

otile ; c'en

pourquoi Je dét>iteur qui ell <n demeure de p.yer, ell

condamné ad:!

iQcér~(s ;

iI

Y

a

3Um

certains

cas 00

il

ea perm;s de les Ilipuler.

Anciennement les

;ntlrits

n'é roh:nr

cnnnllS

que fous

le nom de

!a-nlll

0\.1

1/fHra;

le terme d'uCure oc fe pre–

noit pas alo[5 en m.u vaife part) cornme on fait préCen–

tement .

L~

loi de MoYCe défendoit nux Juifs de f.

pré.er

de

I'arüenr

~

urure les uns

3UX

autres , rnais elle Icur per–

me:;oit

&

flleme

Icur orJonnoir d'exigcr des

;ntb·¡u

de

la pan des étrnngers. Le morif de cette loi fut,

a

ce

que quelques-l1 lls croyelll, de délOl1rner les J uifs de com–

merccr :lvec les autres natians, en

{)tanr

:l

celles-ci l'en"

vie d'emp'euncer des JuiiS

a

des conditions /i

O)Ie!,~U­

Ces. M o',I;, parvinr par ce moyen :\

délourn~r

les Juifs

de I'idola\rie

&

du luxe, pour leCque\s i1s avoiem du

penchanr;

&

leue argenr ne

COI

tit poinl du pays .

S. Ambeoife remarque que ces é ICallgers,

ii

I'égard

,jefquels M Ol'Ce perroc"oir I'urure, éloielll les Amaléci-'

ICS

&

les A morrhéens, ennemis du peuple de D ieu, qui

avoir ardre de les extcrmincr.

Mais lorfque los [epI pcuples qui. habitoiem la Pale–

lline, furem lubjugués

&

eHermill~- ,

Dieu donna nuX;

J~ifs

par

Ces

prophel<S d'autrcs lois plus pures fur l'uCu–

~e, ~

qui la défendcnr

a

I'ég,!rd de IOutes Corres de

pe'Connes, eo.mme on voit dans' les

pfoaumu

14

&

f4;

d~ns ~"échiel ,

cbap. x viij.•

dans I'<;cc\éliatlique,

<hap.

xxix.

en6n, daos S. Luc,

,h.

1Jj.

omil ell .dit

mHtll"""

""It ni!;i/

il1llt

[PtranltJ,

Sans